Farid Ferragui invité de Belaid At Mejqan dans "Gar Yizlane" sur Berbère Télévision.
Jour : 10 octobre 2023
"Regards" sur l'exportations des produits algériens vers l'Afrique avec Mohand Ouramdane Larab, expert en exportation

Le festival international de la bande dessinée d'Alger (FIBDA 2023) a accueilli, samedi 07 novembre 2023 à 16h, Yasmina Khadra, au niveau de l'esplanade de Riadh El-Feth, où il a animé une conférence avec pour thème : l'adaptation de ses romans en BD.

ALGER- Des membres de l'Assemblée populaire nationale (APN) ont appelé, mardi à Alger, à accélérer et généraliser la numérisation des différents secteurs en vue de créer un espace transparent à même d'éradiquer certaines pratiques néfastes et de réaliser le décollage économique effectif. L'appel des députés est intervenu lors d'une séance plénière consacrée au débat de la Déclaration de politique générale du Gouvernement, présidée par M. Brahim Boughali, président de l'APN, en présence du Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane, de la ministre des Relations avec le Parlement, Basma Azouar, et de membres du Gouvernement. A cet effet, le député Said Hamici du parti du Front de libération nationale (FLN) a estimé que la généralisation de la numérisation à tous les secteurs et l'accélération de sa concrétisation sur le terrain "s'avère plus que nécessaire", à l'heure actuelle, pour renforcer la transparence dans la gestion et éradiquer certains phénomènes, comme la corruption et l'argent sale. A ce propos, il a estimé que le dossier de numérisation était actuellement une "priorité", d'où la nécessité d'accélérer sa concrétisation, saluant, en même temps, l'avancement enregistré dans certains secteurs, qui ont réalisé un "saut qualitatif" en la matière et franchi de grands pas, leur permettant de gagner du temps et d'améliorer les prestations à l'image du secteur de la justice. Le député Halim Bencharif du Rassemblement national démocratique (RND) a abondé dans le même, estimant que la numérisation avait fait ses preuves dans divers secteurs, dont l'Enseignement supérieur et la Recherche scientifique. Aussi, il a plaidé pour la "généralisation de la digitalisation de tous les domaines et activités en tirant profit des expériences réussies". Pour le député Ouahid Al Sid Chikh (Indépendant), la numérisation joue un rôle majeur dans la régulation des transactions commerciales à travers les transferts bancaires, ce qui permet, a-t-il dit, de "lutter contre le marché parallèle et la contrebande de marchandises". Lors des débats, les députés ont évoqué plusieurs autres dossiers, dont le développement de l'agriculture. A ce sujet, le député El Baraa Bengrina (Mouvement El Bina) a insisté sur l'impératif de suivre méthodiquement le marché en régulant la facture d'importation pour protéger l'économie nationale sans compromettre la stabilité du marché. Le débat de la Déclaration de politique générale se poursuivra mercredi, jeudi, samedi et dimanche, avant que le Premier ministre ne réponde, lundi, aux préoccupations des députés en séance plénière.

Le gouvernement revient à la charge pour l’ouverture du capital du Crédit populaire d’Algérie (CPA). Une autre banque publique est concernée par cette opération

ALGER - Pas moins de 6.000 cadres bancaires ont bénéficié de formation durant l'exercice 2022, par l'Institut de formation bancaire (IFB), a indiqué mardi à Alger le directeur général de cet institut public, Athmane Malek. "En 2022, 6.000 collaborateurs ont bénéficié des formations proposées par l'IFB qui a organisé 69.011 jours de formation, dans une offre de plus en plus diversifiée", a indiqué M. Malek qui s'exprimait lors de la 6e édition de la rencontre annuelle de l'IFB avec les responsables des ressources humaines (RH) et de la formation des banques et établissements financiers en Algérie. Le directeur général a souligné également que "les staffs formateurs de l'IFB se sont déplacés dans 20 wilayas du pays chaque fois où le besoin est exprimé afin d'accompagner les banques au niveau local". Relevant l'importance de cette rencontre avec les responsables RH "pour mettre en adéquation l'offre avec les besoins réels des banques", M. Malek a fait savoir que le catalogue d'offres de formation que propose annuellement l'institut aux banques et institutions financières est périodiquement mis à jour, en insérant plusieurs thématiques en concertation avec institutions bénéficiaires. Pour sa part, le président du Conseil d'administration de l'IFB, Amar Oudahmane, a souligné que l'institut œuvrait en permanence pour répondre aux besoins créés par l'évolution du marché financier et aux préoccupations de l'heure du secteur bancaire, notamment celles liées à la sécurité, la gestion et pilotage des risques, le traitement des opérations du commerce extérieur, le développement du service monétique, le développement de la finance islamique. Lors de la rencontre, une convention-cadre entre l'IFB et l'Ordre national des experts comptables a été signée, portant l'organisation de formations sur plusieurs thèmes en relation avec les besoins de ce corps de métier.

BLIDA - Le ministère de la Santé œuvre, dans le cadre du projet de numérisation du secteur, au renforcement du dossier électronique des malades avec des données en santé mentale, a affirmé mardi à Blida le Directeur général de la prévention et de la promotion de la santé au ministère de la Santé, Dr Djamel Fourar. Dr Fourar, qui intervenait à l’ouverture d'un forum national sur la "Collecte des données numériques en santé mentale", organisé à l'occasion de la Journée mondiale de la santé mentale (10 octobre), a souligné que son département ministériel s’"attelle au renforcement du dossier électronique des malades avec des informations relatives à la santé mentale, dans le cadre du projet de numérisation générale, lancé ces derniers mois à travers les différents établissements hospitaliers du pays". Il a ajouté que "le ministère de la Santé aspire à la concrétisation de ce projet qui permettra de faciliter l'échange d'informations entre les staffs médicaux pour un suivi et une prise en charge globale des malades, tout en renforçant le système d'information et de données, notamment concernant la santé mentale". Il a relevé, en outre, que "le plan national de promotion de la santé mentale englobe, dans son 6e axe, la collecte de données liées à la santé mentale et leur numérisation". A son tour, le sous-directeur de la promotion de la santé mentale auprès du ministère de tutelle, Pr Mohamed Chakali, a estimé que la numérisation du secteur, particulièrement concernant la mise à disposition d'un dossier électronique des malades, "permettra la collecte de données précises sur le nombre de malades et leur état de santé, dont particulièrement leur santé mentale". Il a noté, à ce titre, que 24 établissements hospitaliers spécialisés en santé mentale, ouverts à travers le pays, assurent la prise en charge de près d'un million de personnes, dans l’attente de leur renforcement avec de nouvelles structures de santé qui fourniront des prestations sanitaires modernes. Le représentant de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Dr Hamadou Nouhou, a salué, à l’occasion, les "efforts consentis par l’Algérie en matière de numérisation de la santé mentale dans une démarche visant à améliorer la prise en charge et le suivi des malades". "Une démarche au diapason des objectifs de l’OMS", a-t-il souligné, exprimant sa "joie" de visiter le CHU Frantz Fanon (lieu d’organisation du colloque), un établissement pionnier dans le domaine de la santé mentale. La manifestation, abritée par l’Etablissement hospitalier de transplantation d'organes et de tissus du CHU Frantz Fanon, a vu la participation de psychiatres de différentes wilayas du pays.

La Cour d’Alger confirme la peine d’un an d’emprisonnement contre le défenseur des droits humains Ahmed Manseri. Ce militant a été arrêté avec son épouse dimanche 8 octobre à Ksar Chelala (Tiaret)

Samir Cherfan, le directeur des opérations du groupe Stellantis pour la région Afrique et Moyen-Orient, a donné des nouvelles sur l'avancée du projet de Fiat en Algérie.

L’Algérie a récupéré une épée de l’Emir Abdelkader qui était mise aux enchères en France. L’épée est considérée comme une pièce à « haute valeur historique »