
Tizi Ouzou, terre de culture, de savoir et de résistance, se voit aujourd’hui trahie par une gestion qui tourne le dos à son âme et trahit son rêve d’émancipation. Sous la direction de Nabila Goumeziane, la gestion du secteur culturel s’est transformée en un système fermé, arbitraire et stérile, où les principes d’équité, de créativité et de service public ont été sacrifiés sur l’autel des intérêts personnels.