Dans un entretien accordé à un média algérien en ligne, Soufiane Djilali, président du parti Jil Jadid, a exprimé une vive indignation face à la récente régularisation du "commerce du cabas" par les autorités algériennes.
Une déclaration ministérielle peut, parfois, en dire long par ce qu’elle omet autant que par ce qu’elle proclame. Celle du ministre de l’Éducation nationale, Mohamed Seghir Saâdaoui, en est une parfaite illustration. Et sa saillie sur les résultats du BEM en dit long sur le racisme anti-Kabylie qui macère au sein de l'équipe à Tebboune.
L'Autorité Nationale Indépendante de Régulation de l'Audiovisuel (ANIRA) a récemment lancé un avertissement sévère contre la propagation de fausses informations et de contenus trompeurs. L'organisme dénonce une rhétorique qui s'inscrit dans ce qu'il appelle des "guerres de quatrième et cinquième générations", visant à déstabiliser le pays par la désinformation.
Alors que les Algériens attendent depuis plus de six mois l’entrée en vigueur effective de la nouvelle dotation touristique fixée à 750 euros, le ministre des Finances, Abdelkrim Bouzred, s’est à nouveau dédouané de toute responsabilité dans le retard constaté. Selon lui, la mise en œuvre du dispositif relève exclusivement de la compétence de la […]
Malgré une mobilisation multisectorielle impliquant la justice, les forces de sécurité et les services des télécommunications, les autorités peinent à juguler durablement le phénomène de la fraude aux examens. C'est dire que la méthode laisse à désirer.
"Chaque époque a-t-elle son Chakib Khelil ?" La formule est mordante, mais pas gratuite. Postée sur les réseaux sociaux par Sofiane Djilali, président de Jil Jadid, au lendemain de l’adoption par l’Assemblée populaire nationale (APN) du nouveau projet de loi sur les activités minières, elle remet en perspective un débat que les autorités s'efforcent de contourner : celui du contrôle national sur les ressources stratégiques.
Il y a cinq ans, Abdelmadjid Tebboune était installé par le général-major Ahmed Gaïd Salah à la tête d'une Algérie en dissidence avec ses dirigeants. Le pari était risqué. La rue régnait en majesté. L'espoir était permis. Aujourd'hui, "réélu", nous assure-t-on avec un score soviétique de 84,3% qui insulte l'intelligence des Algériens, le chef de l'Etat peut-il encore regarder ses concitoyens dans les yeux sans rougir ?
Dans un communiqué officiel diffusé récemment, l’Agence Algérienne de Promotion des Investissements (AAPI) a annoncé une mesure radicale à l’encontre des investisseurs n’ayant pas respecté les délais de concrétisation de leurs projets.
Annoncée en décembre 2024 par le chef de l'Etat Abdelmadjid Tebboune, lui-même, la revalorisation de l'allocation touristique à 750 euros pour les adultes et 300 euros pour les mineurs devait entrer en vigueur dès janvier 2025. Cependant, à ce jour, sa mise en œuvre reste incertaine, suscitant des interrogations au sein de l'opinion publique et du Parlement.
Annoncée en décembre 2024 par le chef de l'Etat Abdelmadjid Tebboune, lui-même, la revalorisation de l'allocation touristique à 750 euros pour les adultes et 300 euros pour les mineurs devait entrer en vigueur dès janvier 2025. Cependant, à ce jour, sa mise en œuvre reste incertaine, suscitant des interrogations au sein de l'opinion publique et du Parlement.