
Dans Terminus Babel, Mustapha Benfodil fait surgir K’tab, un livre condamné au pilon, dont la voix résonne comme un manifeste pour la littérature et la mémoire. À travers une langue hybride, mêlant francalgérien, poésie et subversion, cet écrivain et journaliste algérien explore les violences faites aux livres, du capitalisme éditorial aux autodafés, tout en célébrant la sensualité de la lecture et la vitalité d’une écriture décoloniale.