
Avec son film Batna que je t’aime, le réalisateur Djamel Lakehal ne signe pas un simple documentaire, mais une déclaration vibrante à sa ville natale, portée par la musique, la mémoire et les visages. Entre le présent et les échos du passé, il ressuscite l’esprit d’une époque, le souffle d’un quartier, l’ombre d’un cinéma disparu, les vibrations d’un groupe mythique, Les Plays-Boys, et les murmures d’une Batna oubliée.