
En 1966, Jean François de Garde, jeune coopérant, arrive à Batna pour enseigner au lycée Mustapha Ben Boulaïd. Dans une Algérie vibrante d’espoir post-indépendance, il découvre la jeunesse ambitieuse des Aurès, la beauté sauvage de ses paysages, des gorges de Ghoufi au Pic des Cèdres, et l’hospitalité chaleureuse des habitants.