ALGER - Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a reçu l'ambassadeur de la République arabe d'Egypte en Algérie, Mokhtar Gamil Tawfik Warida, avec lequel il a évoqué les relations de coopération et de partenariat entre les deux pays, ainsi que les perspectives de leur renforcement, a indiqué, mardi, un communiqué du ministère. Cette rencontre qui s'est déroulée, lundi, a été "l'occasion de mettre en avant la qualité des relations bilatérales et d'échanger les points de vue sur plusieurs questions d'intérêt commun, ainsi que d'examiner les relations de coopération et de partenariat entre les deux pays et les perspectives de leur renforcement". A cette occasion, l'ambassadeur égyptien a affirmé "la volonté du gouvernement de son pays de promouvoir les relations de coopération et de partenariat avec l'Algérie, notamment dans les domaines sanitaire, du tourisme médical et de la gestion des structures sanitaires". L'ambassadeur égyptien a, en outre, remis une invitation au ministre de la Santé de la part de son homologue égyptien, Khaled Abdel Ghaffar, pour prendre part aux activités de la Conférence mondiale sur la population, la santé et le développement, prévue octobre prochain, selon le communiqué. De son côté, M. Saihi a fait savoir que les relations entre l'Algérie et l'Egypte "sont fondées sur la coopération conjointe et profitable aux deux pays, à travers les efforts fournis afin de lever les obstacles et faire face aux défis auxquels ils sont confrontés", exprimant son souhait de "parvenir à la création de l'Agence arabe du médicament", un projet qui constituera, a-t-il soutenu, "un acquis pour tous les pays arabes en vue de garantir la sécurité des médicaments". A ce titre, les deux parties se sont convenues de "poursuivre l'action de coordination afin de booster et de hisser les relations bilatérales aux plus hauts niveaux".
Mois : juillet 2024
À compter du 15 juillet 2024, une nouvelle démarche sera mise en ligne pour les demandes de renouvellement des récépissés de demande de titre de séjour.
ALGER - La 11e promotion des professionnels du marché financier est sortie, lundi à Alger, au terme d'une formation organisée par la Commission d’organisation et de surveillance des opérations de Bourse (COSOB) en collaboration avec l’Institut de la formation bancaire (IFB). La cérémonie de sortie s'est déroulée en présence du ministre des Finances, Laaziz Faid, du ministre de la Communication, Mohamed Laagab, des directeurs généraux des banques publiques et des compagnies d'assurance, en sus de nombre de cadres du secteur des finances. Dans une allocution prononcée à cette occasion, M. Faid a affirmé que "la sortie d'une pléiade de cadres constitue une réalisation grandiose qui s'ajoute au parcours de développement et de modernisation du marché financier en Algérie étant un des principaux leviers du développement économique durable". Cette promotion est marquée par la participation, "pour la première fois" de journalistes, a fait savoir M. Faid, relevant que cette démarche s'inscrivait dans le cadre de "nos engagements visant le renforcement de la culture financière en tant qu'outil contribuant à la réalisation de l'inclusion financière et la consolidation de la transparence". Il a ajouté, à cet égard, que les journalistes peuvent s'acquitter d'un rôle crucial dans la promotion de la culture financière. Rappelant que cette formation a pour objectif de renforcer les compétences des participants dont des cadres de banques, de la Banque d'Algérie, du secteur des assurances, le ministre a estimé que "leur remarquable présence traduit l'intérêt grandissant pour les marchés financiers et reflète la dynamique que connait l'Algérie". M. Faid a rappelé les acquis importants réalisés dans le secteur des finances, notamment depuis le début de 2024, "annoncée par le président de la République en tant qu'année de réformes bancaires et de numérisation". De son côté, M. Laagab a mis en exergue l'importance de la formation continue des journalistes, rappelant dans ce cadre, les sessions de formation organisées par le ministère de la Communication depuis la promulgation de la nouvelle loi sur l'information. Il a également souligné l'importance du rôle des journalistes dans la vulgarisation des concepts, insistant sur la poursuite par la Commission d'organisation et de surveillance des opérations de Bourse (COSOB) de l'organisation de ce genre de formation au profit des journalistes. Pour sa part, le président du "COSOB", Youcef Bouzenada a affirmé dans son intervention que cette session de formation avait connu la réussite de 54 participants sur 65 inscrits, soit un taux de réussite de 83%, ajoutant que cette session intervenait dans le contexte des évolutions positives que connait l'économie algérienne. A ce propos, M. Bouzenada a indiqué que "COSOB" a lancé, cette année, en collaboration avec l'IFB, trois nouveaux programmes de formation concernant la dynamisation des points de bourse, la conformité au programme de prévention du blanchiment d'argent et de financement du terrorisme, ainsi que la formation en matière d'activité des conseillers en investissement participatif. Le DG du IFB, Othmane Malek a abordé dans son intervention l'importance du partenariat avec "COSOB" qui remonte à l'année 2014, d'autant que plus de 250 candidats ont obtenu, durant les dix dernières années, le certificat des professionnels du marché financier (CPMF). La cérémonie de sortie de promotion a vu la remise des diplômes aux lauréats de cette session, ainsi que la distinction des diplômés. S'exprimant à l'occasion, le représentant des diplômés, Farid Bouihi, a présenté, ses remerciements aux encadrants et à tous ceux qui ont contribué à l’organisation de cette session de formation. A l’issue de la cérémonie, un accord a été signé entre la COSOB et l’IFB, en vue de lancer un programme de formation concernant les missions du conseiller en investissement participatif (CIP). Faid se félicite de l’amélioration de la classification de l’économie algérienne par la Banque mondiale S’exprimant au sujet de la classification annuelle des économies, réalisée par la Banque mondiale (BM), M. Faid a salué l’amélioration "tangible" du classement de l’Algérie, et ce grâce à l'amélioration du revenu national brut (RNB) par habitant, passant de 3900 dollars à 4960" Il a également estimé que cette "amélioration notable" dans la classification était due à "la restructuration du RNB et à toutes les réformes entreprises ces dernières années pour améliorer la gouvernance en général, notamment la gouvernance économique et financière". Lire aussi: Classification des économies: amélioration du positionnement de l’Algérie Dans ce contexte, il a souligné l'importance des mesures prises pour améliorer le climat d'investissement et l'environnement économique, qui ont contribué à l'amélioration de la classification de l'Algérie. L’Algérie passera, au titre de la nouvelle mise à jour de la classification annuelle des économies, réalisée par la Banque mondiale (BM) de pays à "Revenu Intermédiaire à la Tranche Inférieure" à pays à "Revenu Intermédiaire à la Tranche Supérieure", avait indiqué hier dimanche un communiqué du ministère des Finances.
Pour protéger sa production nationale et réduire sa facture des importations, l’Algérie a instauré un système de taxation, selon la nature du produit. Voici les cinq produits les plus taxés actuellement.
"Le Front républicain tel qu'on le définissait encore en 2022 est largement mort. A l'époque certains étaient choqués par les propos de Mélenchon qui disaient +pas une voix pour le RN+ sans appeler à voter clairement pour Emmanuel Macron.
L’avocat algérien et ancien vice-président de la ligue algérienne pour la défense des droits de l’homme (LADDH, suspendue), Aissa Rahmoune vient d’être élu à la tête de la FIDH (fédération internationale des droits de l’homme). Son élection, indiqué l’organisation dans un communiqué, a eu lieu à l’occasion de la réunion du bureau international, tenue samedi dernier à Paris.
« Il faut que tout change pour que rien ne change. » C’est ainsi qu’on pourrait résumer l’histoire d’un parti qui, depuis 1972, incarne l’extrême droite française et qui, de ses racines collaborationnistes et coloniales aux affirmations identitaires actuelles, demeure la propriété d’une famille qui se rêve aujourd’hui au pouvoir. Le Front national (FN) est né en […]
Le Rassemblement national et ses alliés obtiennent près de 33,34% des suffrages au soir du premier tour des élections législatives, ce qui leur permet de faire élire directement 39 députés.
ALGER - Une rencontre de sensibilisation sur les risques et menaces cybernétiques a été organisée, lundi à Alger, par la Direction centrale Digitalisation et systèmes d'information, en vue de renforcer la culture de cybersécurité et de sensibiliser les employés à l’importance d'adhérer aux politiques de sécurité informatique. Tenue au siège de la Direction générale, la rencontre a été présidée par le PDG de Sonatrach, Rachid Hachichi, en présence du Directeur général de l'Agence de la sécurité des systèmes d'information au ministère de la Défense nationale, le Général Abdeslam Belghoul, avec la participation de cadres dirigeants et des directeurs de différentes structures opérationnelles et fonctionnelles de Sonatrach. A cette occasion, M. Hachichi a indiqué que "la cybercriminalité est une question sensible et constitue une menace réelle pouvant affecter la sécurité et la continuité des opérations dans les installations industrielles de Sonatrach, plaçant les managers en première ligne de la lutte préventive face à ces risques et menaces", mettant l'accent sur la nécessité de "comprendre les enjeux de la cybersécurité et des cyber-risques pour protéger les données, les systèmes et les réseaux". Les criminels 2.0 n'hésitent pas à voler des données, à exercer du chantage ou à commettre des actes de sabotage, notamment dans le contexte géopolitique actuel, d'où la nécessité pour nous de "redoubler de vigilance et de mettre tout en œuvre pour faire face à ce nouveau type de menaces, notamment à travers des mesures préventives et proactives et la sensibilisation des employés", a-t-il expliqué. "Compte tenu de son rôle dans l'économie nationale, Sonatrach est plus que jamais tenue de prendre toutes les mesures nécessaires pour protéger ses installations et ses employés conformément à la réglementation en vigueur et en application des systèmes de référence aux niveaux national et international", a-t-il soutenu, insistant sur la stricte application des directives relatives à la cybersécurité dans les installations industrielles, notamment celles émises par les services internes spécialisés et les hautes autorités du pays via l'Agence de la sécurité des systèmes d'information. Pour sa part, le Directeur général de l'Agence de la sécurité des systèmes d'information au ministère de la Défense nationale a affirmé que "la cybersécurité est une mission complexe et sensible qui exige de l'ensemble des acteurs nationaux, tous domaines confondus, de redoubler de vigilance et d'efforts afin de préserver la souveraineté nationale numérique, surtout dans la conjoncture actuelle", précisant que le projet d'élaboration de la stratégie nationale de sécurité des systèmes d'information "en est à sa phase finale". Dans un document distribué à la presse à cette occasion, Sonatrach a affirmé "adopter une stratégie globale en matière de gestion des risques de cybersécurité, fondée sur la mise en œuvre de politiques préventives basées sur les dernières technologies et la prise de mesures strictes pour protéger les données et les systèmes vitaux". Sonatrach s'appuie également sur "la sensibilisation des employés à la sécurité, étant donné que l'élément humain est considéré comme le maillon le plus faible et le plus ciblé dans ce domaine", selon le document, qui ajoute que "les utilisateurs sont formés aux bases de la cybersécurité pour éviter les erreurs courantes comme cliquer sur des liens inconnus ou accéder aux comptes d'entreprise via des réseaux non sécurisés". Pour sa part, la Directrice générale de l'administration et des finances au ministère de l'Energie et des Mines, Fatiha Relimi, a indiqué que le secteur avait "adhéré à toutes les directives émises par l'instance spécialisée dans ce domaine visant à sensibiliser aux risques et menaces cybernétiques, au stockage et à la sécurisation des données et à la promotion d'une culture cybernétique contre ces menaces". Au cours de cette rencontre, les participants ont abordé les cybermenaces et les attaques susceptibles de perturber les systèmes technologiques des entreprises et d'entraver leurs services numériques. Ces menaces, qui affectent grandement la stabilité et la sécurité des organisations à l'ère de la transformation numérique, comprennent les violations de données, la fraude électronique, l'espionnage électronique, ainsi que le sabotage des installations vitales à travers des logiciels malveillants, selon les explications données. Les intervenants ont également discuté de plusieurs thèmes relatifs à la lutte contre les cyber-risques, plaidant pour l'établissement d'une coopération entre toutes les parties prenantes et le renforcement de la coordination avec les organismes gouvernementaux spécialisés en matière d'échange d'informations et de partage d'expertises.
OUARGLA - Une convention a été signée, lundi à Ouargla, entre l’Université Kasdi Merbah d’Ouargla (UKMO) et l’Entreprise nationale de forage (ENAFOR), dans le but de promouvoir les opportunités de partenariat et d’échange d’expérience notamment, dans les questions liées à la formation continue et l'accomplissement de stage pratique. L’accord a été paraphé par le recteur de l’UKMO, Pr Mohamed Tahar Halilat et le Président directeur général (PDG) de l’ENAFOR, M. Mohamed Bennezzar, lors d’une cérémonie tenue à la salle de conférences du rectorat, en présence d'une pléiade d’enseignants de cet établissement de l’enseignement supérieur et des cadres de l’opérateur économique précité. Intervenant à cette occasion, Pr Halilat, s'est félicité de cette démarche qui constitue, a-t-il dit, un prolongement d’un accord similaire que l'université a signé récemment avec l’Entreprise nationale de services aux puits (ENSP). Et d’ajouter que cette convention prévoit des formations en faveur des cadres et ingénieurs techniciens de l’enENtreprise, assurées par l’université d’Ouargla dans diverses spécialités, y compris l’amélioration de leurs compétences linguistiques notamment dans la langue anglaise. En vertu de la convention, a-t-il poursuivi, les étudiants vont bénéficier de stages pratiques au niveau de l’entreprise, en plus de l’accompagnement des étudiants du premier et second cycles de l’enseignement supérieur (Licence et Master), en application de l'arrêté ministériel 1275 (un diplôme-une start-up et un diplôme-un brevet d'invention). Il a en outre fait savoir que l’entreprise, à la lumière de cette convention, est appelée aussi à assurer l’accompagnement des doctorants afin de leur permettre de réaliser leurs travaux de recherches, en plus de trouver des solutions et de résoudre certains problèmes techniques rencontrés par l’entreprise. Le PDG de l’ENAFOR a, de son côté, indiqué que l’entreprise dont la création remonte à 1966, avait déjà conclu des accords avec plusieurs compagnies étrangères pour développer les techniques de production d'hydrocarbures. Totalisant plus de 7.500 postes permanents, l’ENAFOR qui avait commencé ses activités par un seul appareil de forge dispose actuellement 52 appareils, a affirmé M. Bennezzar, estimant que la sonde école d'ENAFOR et la Faculté des Hydrocarbures de l’université d’Ouargla, constituent en soi un facteur positif pour consolider le partenariat entre les deux parties.