
Huit ans après sa disparition, Mohamed Demagh, surnommé « le loup blanc des Aurès », reste une figure incontournable de l’art algérien. Sculpteur, témoin de la guerre et rebelle dans l’âme, il a façonné la mémoire des Aurès et la mémoire de l’Algérie dans chaque éclat de bois brûlé et chaque morceau de métal. Cet hommage est une plongée dans la vie d’un homme entier, fidèle à ses combats et à son art.