En France, les idées de l’extrême droite sur l’immigration, l’Algérie, les musulmans et l’islam gagnent du terrain. Sur la colonisation aussi, comme le montre la position d'Édouard Philippe, candidat à la présidentielle 2027.
À quelques jours de la déclaration d’indépendance de la Kabylie, les réseaux sociaux s’emballent et sont inondés de commentaires incendiaires, souvent frisant l’insulte, entre les partisans du « pour » et ceux du « contre ». Jamais autant d’invectives remplies de hargne n’a atteint tel niveau de haine. Tout le monde semble pressé d’en découdre, quitte à affronter l’autre sur des terrains de combat de guerre.
Au stade international Khalifa, l’Algérie a livré un match intense et maîtrisé, ponctué de moments spectaculaires et de rebondissements. Dès la 2ᵉ minute, l’Irak est réduit à dix après l’expulsion d’Al Saedi pour une semelle sur Yacine Brahimi. Un carton rouge direct qui place immédiatement les Fennecs en position de force.
Le ministre des Affaires étrangères Ahmed Attaf a évoqué le match Algérie – Argentine au Mondial 2026 lors d’un entretien avec le directeur argentin de l'AIEA.
En déclarant qu’"il n’existe presque pas de chômage en Algérie », le ministre du Travail, Abdelhak Saihi, a relancé le débat sur la crédibilité des indicateurs publics. Cette saillie renseigne sur les acrobaties verbales et les enfumages dont use le régime pour mentir à la population.
Le 9 décembre 2025, une lettre ouverte signée par 164 professionnels du cinéma algérien a été adressée au chef de l'Etat, Abdelmadjid Tebboune. Le texte, largement relayé sous le slogan «Tahia Ya Cinéma ! », marque un tournant : jamais le milieu n’avait parlé d’une seule voix avec autant de clarté contre l’immobilisme qui étouffe le secteur.
Dans un monde saturé d’images instantanées, promises à disparaître avant même d’être regardées, l’œuvre de Bouda Ferhat impose autre chose : le silence, la lenteur, l’attention.