
En ajournant l’ouverture de la session parlementaire en dehors du cadre constitutionnel, Abdelmadjid Tebboune illustre une présidence qui s’arroge le droit de remodeler les règles à sa convenance. Face à cette dérive, un Parlement défaillant, privé de toute autonomie, confirme son rôle d’institution docile plutôt que de véritable contre-pouvoir.