Jour : 15 juin 2025

Mohamed Iguerbouchène est né le 13 novembre 1907 dans le village kabyle d’Aït Ouchène. Aîné d’une fratrie de onze enfants dans une famille modeste, il révèle très tôt un talent musical exceptionnel qui attire l’attention de Bernard Fraser Ross, un peintre écossais en voyage en Algérie. Séduit par les dons du jeune garçon, Ross finance sa formation en Europe. Mohamed quitte alors l’Algérie vers 1919 pour un exil artistique qui le mène à Londres, puis à Vienne.

Il est apparu sur scène comme un souffle venu du passé, discret et puissant à la fois, tel un retour attendu au pays des souvenirs. Marseille, sous le ciel capricieux, s’est tue pour accueillir la voix d’un homme porteur d’une histoire à la fois intime et collective. Ali Ait Ferhat, que tous appellent Ideflawen — l’étoile — semblait charger l’air de la mémoire des montagnes kabyles, de la douleur et de l’espoir mêlés.

Fiat Algérie a levé le voile ce dimanche sur une nouvelle version de son modèle phare, le Doblo Panorma. Elle a dévoilé son prix et les conditions de vente.

L’Algérie franchit une importante étape sur la voie de l’autosuffisance en céréales, avec une production suffisante de blé dur.

Le ministre de l’Éducation nationale, Mohamed Seghir Sadaoui, assume la coupure d’Internet durant les épreuves du BAC 2025 en Algérie.

ALGER- Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi a rencontré, à Tunis (Tunisie), son homologue du Sultanat d'Oman, Hilal bin Ali Al-Sabti, avec lequel il a évoqué les relations de coopération privilégiées entre les deux pays frères, indique, dimanche, un communiqué du ministère. Cette rencontre, qui s'est tenue en marge de la Conférence régionale "Une seule santé" pour le Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA), organisée les 14 et 15 juin courant à Tunis, a constitué une occasion de passer en revue "les relations de coopération privilégiées entre les deux pays frères", précise la même source. A cette occasion, les deux parties se sont réjouies "des relations fraternelles et historiques profondes entre l'Algérie et le Sultanat d'Oman", exprimant "leur satisfaction quant au niveau de partenariat qui reflète la volonté des dirigeants des deux pays de renforcer les liens de coopération dans divers domaines, notamment dans le secteur de la santé". Lors des entretiens, les deux parties ont affirmé leur volonté de "promouvoir la coopération bilatérale au service des intérêts communs, notamment en ce qui concerne l'échange d'expertises et de connaissances médicales dans le domaine de la chirurgie cardiaque pédiatrique, à travers la programmation d'interventions chirurgicales", réalisées conjointement par des équipes des deux pays, poursuit la même source. Dans le même sillage, les deux ministres ont évoqué "la possibilité de créer une unité conjointe de production de médicaments, ainsi qu'un Centre national des médicaments au Sultanat d'Oman, en coordination avec la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) en Algérie, ce qui renforcera la complémentarité industrielle dans le domaine pharmaceutique entre les deux pays, dans l'objectif de développer le système de production et de distribution des médicaments aux niveaux national et régional". Les deux ministres sont enfin convenus de "poursuivre la coordination et la concertation, et d'intensifier les rencontres, afin de concrétiser les projets évoqués, et de renforcer ainsi le partenariat stratégique entre l'Algérie et le Sultanat d'Oman dans le domaine de la santé", conclut la même source.

Au Mali, un calme précaire règne sur le terrain dans le nord après les affrontements de vendredi 13 juin entre à la coalition « Armée malienne / Africa Corps (ex-Wagner) » et les rebelles maliens du Front de Libération de l’Azawad (FLA). Les rebelles, qui affirment lancer « une offense générale dans le nord », annoncent avoir abattu un avion de la coalition. Les autorités parlent plutôt d’un accident dû à la météo.

ALGER- Le ministre de l'Education nationale, Mohammed Seghir Sadaoui, a donné, dimanche, à partir du lycée El Idrissi, commune de Sidi M'hamed (Alger), le coup d'envoi officiel des épreuves nationales de l'examen du baccalauréat, session 2025. Durant cinq jours, 878857 candidats passeront les épreuves finales du Baccalauréat dans sept filières, au niveau de 2964 centres d'examen, sous la supervision de 308000 encadreurs.

Téhéran, Qom, Ispahan, Mashhad… Ces noms évoquent la richesse d’une civilisation millénaire, et non un terrain de confrontation militaire. Pourtant, dans la nuit du 13 au 14 juin 2025, plusieurs sites du nord de l’Iran ont été ciblés par des frappes israéliennes. L’attaque, qui n’a pas fait de victimes civiles selon les autorités iraniennes, a bouleversé les plans de nombreux voyageurs maghrébins, pris dans une situation géopolitique qui les dépasse.

ALGER- Un total de 878857 candidats se présenteront ce dimanche aux épreuves de l'examen du baccalauréat, session 2025, à travers 2964 centres d'examen répartis sur l'ensemble du territoire national. Les épreuves de cet examen, qui s'étaleront sur cinq jours (15-19 juin), se dérouleront sous la supervision de plus de 300 000 encadreurs au niveau national. Les candidats auront le choix entre deux sujets puisés du programme annuel, dispensé durant l'année scolaire, dans chacune des sept filières, à savoir lettres et philosophie, langues étrangères, sciences expérimentales, mathématiques, technique-mathématiques, gestion et économie, ainsi que les Arts. La session de l'année 2025 est également marquée par une "hausse sensible du nombre des candidats libres" qui a atteint "330612 candidats", selon le ministère de l'Education nationale, assurant que compte tenu de l'importance de cet examen national, toutes les mesures organisationnelles ont été prises afin d'assurer son bon déroulement. Ainsi et pour faciliter davantage les démarches des candidats au baccalauréat, la tutelle avait assuré que les sites dédiés au téléchargement des convocations demeureront accessibles jusqu'à la fin des épreuves, pour permettre aux candidats de récupérer ce document en cas de perte. L'Office national des examens et concours (ONEC) avait, pour sa part, exhorté les candidats à repérer à l'avance le centre d'examen afin d'éviter tout retard et à se munir de leur convocation et de la carte d'identité nationale pour les présenter à l'entrée du centre, durant toute la période du bac et ce, jusqu'à la fin des épreuves. S'agissant des mesures visant à garantir la transparence de l'examen, il est rappelé aux candidats l'interdiction stricte d'utiliser ou d'introduire dans les centres d'examen tout moyen de communication. Afin de sécuriser ces épreuves et garantir leur bon déroulement, quelque 22 000 agents de la Protection civile et 24 000 agents de l'ordre seront mobilisés et répartis à travers les centres d'examen.