Jour : 19 avril 2025

ALGER - Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé, samedi, le lancement de la plateforme nationale d'expertise des cours en ligne, destinée aux enseignants souhaitant demander l'évaluation de leurs cours pour obtenir "l'attestation d'enseignement à distance", indique un communiqué du ministère. Cette plateforme, lancée par la commission nationale de l'enseignement supérieur à distance, s'inscrit dans le cadre du soutien et de l'optimisation de la qualité de ce type d'enseignement, précise la même source. L'inscription se fait via le lien suivant: https://oce.umc.edu.dz/, selon la même source qui ajoute que cette démarche est "spécialement destinée aux enseignants dispensant des cours à distance et souhaitant obtenir l'attestation d'enseignement à distance auprès de la commission nationale".

Te savoir enfermé est une clameur dans nos veines.

C’est avec une profonde tristesse que j’ai appris le décès de mon ami Hadj Lounis Hamitouche.

Abdelaziz Rahabi révèle que le président Macron n’a pas tenu parole avec son homologue algérien Abdelmadjid Tebboune.

Ce thriller policier se frotte à la réalité vécue dans la capitale algérienne. Tout en finesse, il aborde les sujets tabous.

Des peines de prison allant de 13 à 66 ans ont été prononcées en Tunisie par le tribunal qui jugeait environ 40 accusés, dont des figures de l'opposition, à l'issue du procès pour "complot" contre le président Kais Saied.

Lounis Hamitouche est décédé ce samedi 19 avril à l’âge de 79 ans. L’Algérie perd un chef d’entreprise emblématique qui a fondé la Laiterie Soummam.

Le PDG de la laiterie Soummam, Lounis Hamitouche, est décédé ce samedi 19 avril 2025 à l'âge de 79 ans.

Le journaliste indépendant Abdelwahab Moualek fait face à plusieurs poursuites judiciaires en Algérie, rapporte Alternatv.

4h55 du matin, une heure où les consciences sommeillent et où les regards sont ailleurs, l’agence officielle Tunis Afrique Presse (TAP) publie une dépêche sobre, presque banale, pour annoncer ce qui restera sans doute comme l’un des moments les plus sombres de l’histoire judiciaire tunisienne récente. Une série de condamnations lourdes, frappant une quarantaine d’opposants politiques dans le cadre de la désormais tristement célèbre « affaire du complot contre la sûreté de l’État ». Cette heure n’a rien d’innocent : elle signe le triomphe du secret, de l’ombre, de la dissimulation.