
Face au brouillard institutionnel et à la dérive autoritaire en Algérie, la parole de Saïd Sadi, lucide et méthodique, dérange. Parce qu’elle nomme les choses, elle est ciblée. Parce qu’elle éclaire, elle est salie. Il est urgent de rappeler que ceux qui dénoncent l’oppression ne sont pas les ennemis du peuple, mais ses ultimes défenseurs.