Dans un monde où les merveilles technologiques semblent se multiplier à la vitesse de la lumière, il est un art ancien qui résiste encore et toujours à l'épreuve du temps : l'art de garder le pouvoir sans savoir pourquoi.
L’exécutif algérien est de plus en plus critiqué pour son incapacité à répondre aux attentes d’une population confrontée à des défis d’une ampleur historique. Entre carences techniques, fragilité politique et manque de légitimité démocratique, cette situation illustre les failles d’un système de gouvernance figé, où l’absence de résultats tangibles alimente la colère et la désillusion des citoyens.
Sur Araby 21, un média qatari paraissant à Londres, Hachemi Djaaboub, l'ancien ministre islamiste (MSP) de l'Industrie sous Bouteflika, a "vomi" toute sa haine de l'écrivain Boualem Sansal. Il se vantait d'avoir mis fin aux fonctions de l'écrivain qui était alors directeur central au ministère de l'Industrie.