À la mémoire des martyres du Printemps noir 2001
Jour : 18 avril 2024
À la mémoire des martyres du Printemps noir 2001
ALGER- Le ministre de la Santé, M. Abdelhak Saihi, a présidé, jeudi à Alger, une rencontre consacrée à l'évaluation du Plan national de prise en charge des malades atteints de cardiomyopathie hypertrophique obstructive. Dans une allocution prononcée à l'ouverture des travaux de cette rencontre, tenue au siège du ministère de la Santé, M. Saihi a souligné "l'intérêt que porte le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à la promotion de la santé et à la prise en charge des malades", en voulant pour preuves "l'affectation d'un budget conséquent au secteur et l'ouverture de plus de 600 structures de santé depuis 2021", ce qui a permis, a-t-il dit, d'"améliorer les prestations sanitaires". Et de souligner la nécessité de "consentir davantage d'efforts pour répondre aux aspirations des citoyens dans les différentes régions du pays". Pour ce faire, M. Saihi a souligné l'importance de "la création de pôles et de services de santé pour améliorer la prise en charge des malades, notamment dans les wilayas du sud du pays". Après avoir rappelé les principaux facteurs de risque des cardiopathie en Algérie, dont la mauvaise alimentation et la sédentarité, le ministre a insisté sur la nécessité d'appuyer le rapport d'évaluation du Plan national de prise en charge des malades atteints de cardiomyopathie hypertrophique obstructive par des données et des chiffres précis permettant une évaluation minutieuse du niveau de réalisation des objectifs de ce plan, lancé il y a trois ans. M. Saihi a en outre réaffirmé l'importance du "renforcement de la formation continue du personnel du secteur, notamment les médecins généralistes, pour assurer une prise en charge optimale des malades, y compris ceux atteints de cardiopathies". Le ministre de la Santé a, par ailleurs, procédé à l'inauguration de deux unités de pédopsychiatrie au niveau de l'Etablissement hospitalier spécialisé en santé mentale Mahfoud-Boucebci de Chéraga, assurant, à cette occasion, que l'Etat "ne ménage aucun effort en matière de prise en charge des malades et suit les progrès scientifiques enregistrés dans les différentes spécialités médicales, comme la santé mentale des adolescents et des enfants souffrant de certains problèmes de santé dus aux nouveaux comportements induits par l'utilisation à mauvais escient des technologies de l'information et de la communication". Il a, dans ce contexte, fait état de "l'existence d'une coordination gouvernementale pour la prise en charge rapide des enfants scolarisés et la formation des médecins dans de nouvelles spécialités scientifiques adaptées aux exigences de la pédopsychiatrie".
ALGER- Le ministre de la Santé, M. Abdelhak Saihi, a présidé, jeudi à Alger, une rencontre consacrée à l'évaluation du Plan national de prise en charge des malades atteints de cardiomyopathie hypertrophique obstructive. Dans une allocution prononcée à l'ouverture des travaux de cette rencontre, tenue au siège du ministère de la Santé, M. Saihi a souligné "l'intérêt que porte le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à la promotion de la santé et à la prise en charge des malades", en voulant pour preuves "l'affectation d'un budget conséquent au secteur et l'ouverture de plus de 600 structures de santé depuis 2021", ce qui a permis, a-t-il dit, d'"améliorer les prestations sanitaires". Et de souligner la nécessité de "consentir davantage d'efforts pour répondre aux aspirations des citoyens dans les différentes régions du pays". Pour ce faire, M. Saihi a souligné l'importance de "la création de pôles et de services de santé pour améliorer la prise en charge des malades, notamment dans les wilayas du sud du pays". Après avoir rappelé les principaux facteurs de risque des cardiopathie en Algérie, dont la mauvaise alimentation et la sédentarité, le ministre a insisté sur la nécessité d'appuyer le rapport d'évaluation du Plan national de prise en charge des malades atteints de cardiomyopathie hypertrophique obstructive par des données et des chiffres précis permettant une évaluation minutieuse du niveau de réalisation des objectifs de ce plan, lancé il y a trois ans. M. Saihi a en outre réaffirmé l'importance du "renforcement de la formation continue du personnel du secteur, notamment les médecins généralistes, pour assurer une prise en charge optimale des malades, y compris ceux atteints de cardiopathies". Le ministre de la Santé a, par ailleurs, procédé à l'inauguration de deux unités de pédopsychiatrie au niveau de l'Etablissement hospitalier spécialisé en santé mentale Mahfoud-Boucebci de Chéraga, assurant, à cette occasion, que l'Etat "ne ménage aucun effort en matière de prise en charge des malades et suit les progrès scientifiques enregistrés dans les différentes spécialités médicales, comme la santé mentale des adolescents et des enfants souffrant de certains problèmes de santé dus aux nouveaux comportements induits par l'utilisation à mauvais escient des technologies de l'information et de la communication". Il a, dans ce contexte, fait état de "l'existence d'une coordination gouvernementale pour la prise en charge rapide des enfants scolarisés et la formation des médecins dans de nouvelles spécialités scientifiques adaptées aux exigences de la pédopsychiatrie".
Bgayet: Colloque national "Symboles berbères : un patrimoine entre perdition, transition et valorisation" "Izamulen imaziɣen: d tigemmi gar ujlay, abeddel d useḥbiber"
organisé par le Centre de Recherche en Langue et Culture Amazighes
Les dernières pluies qui se sont abbatues sur l'Algérie augurent d'une récolte de céréales exceptionnelle.
Signification du mot "Aberwaq" par Kenza Kebdi
Signification du mot "Aberwaq" par Kenza Kebdi
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a affirmé, jeudi à Alger, que son secteur s'attelait à rapprocher la recherche scientifique du marché à travers la valorisation de ses résultats. Présidant une Journée d'information sur "La culture du safran" à l'Ecole nationale supérieure agronomique (ENSA) d'El Harrach, M. Baddari a précisé que "le rapprochement entre science et marché à travers la valorisation des résultats de la recherche scientifique permet d'améliorer la productivité", ajoutant que la concrétisation de cette démarche dans le secteur agricole "permet de relever les défis nationaux en la matière". "Ces efforts sont à même d'appuyer l'agriculture nationale et de renforcer la production de certains produits dans notre pays", a estimé le ministre, citant, à titre d'exemple, les résultats du Centre de recherche scientifique et technique sur les régions arides (CRSTRA) concernant la culture du safran. "Ce produit très recherché dans le monde peut devenir une source de devises pour le pays si les chercheurs et les producteurs joignent leurs efforts", a-t-il soutenu. M. Baddari s'est, par là même, félicité des efforts visant à mettre à profit la recherche scientifique et technologique dans le renforcement de la production du safran, soulignant que "la généralisation de la numérisation de la recherche scientifique et la valorisation de ses résultats en matière de production agricole sont de nature à opérer un bond qualitatif dans la création de richesse". Les chercheurs ont insisté sur l'importance de la valorisation de ce type d'épices dans le développement de produits alimentaires à forte valeur ajoutée et la nécessaire mise en avant du safran algérien à l'international. Une étude du CRSTRA a débouché sur des résultats "très satisfaisants" quant à la qualité du safran algérien, 11 wilayas ayant été identifiées comme produisant du safran de qualité supérieure, à leur tête Tlemcen, Batna, Djelfa, Bejaia et Ghardaïa.
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a affirmé, jeudi à Alger, que son secteur s'attelait à rapprocher la recherche scientifique du marché à travers la valorisation de ses résultats. Présidant une Journée d'information sur "La culture du safran" à l'Ecole nationale supérieure agronomique (ENSA) d'El Harrach, M. Baddari a précisé que "le rapprochement entre science et marché à travers la valorisation des résultats de la recherche scientifique permet d'améliorer la productivité", ajoutant que la concrétisation de cette démarche dans le secteur agricole "permet de relever les défis nationaux en la matière". "Ces efforts sont à même d'appuyer l'agriculture nationale et de renforcer la production de certains produits dans notre pays", a estimé le ministre, citant, à titre d'exemple, les résultats du Centre de recherche scientifique et technique sur les régions arides (CRSTRA) concernant la culture du safran. "Ce produit très recherché dans le monde peut devenir une source de devises pour le pays si les chercheurs et les producteurs joignent leurs efforts", a-t-il soutenu. M. Baddari s'est, par là même, félicité des efforts visant à mettre à profit la recherche scientifique et technologique dans le renforcement de la production du safran, soulignant que "la généralisation de la numérisation de la recherche scientifique et la valorisation de ses résultats en matière de production agricole sont de nature à opérer un bond qualitatif dans la création de richesse". Les chercheurs ont insisté sur l'importance de la valorisation de ce type d'épices dans le développement de produits alimentaires à forte valeur ajoutée et la nécessaire mise en avant du safran algérien à l'international. Une étude du CRSTRA a débouché sur des résultats "très satisfaisants" quant à la qualité du safran algérien, 11 wilayas ayant été identifiées comme produisant du safran de qualité supérieure, à leur tête Tlemcen, Batna, Djelfa, Bejaia et Ghardaïa.