
Chaque jour qui passe lui donne raison. « On ne peut accepter un tel cauchemar » disait-il. D’un côté un grand pays, une grande nation libérée d’un terrible joug colonial en versant le sang de ses meilleurs enfants et de l’autre côté des hommes, les pires des hommes qui violent sa souveraineté, foulent au pied son Histoire, nient sa culture, bafouent sa dignité, insultent son avenir…