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Baddari appelle à transformer les résultats de la recherche scientifique en projets

TIPASA - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a appelé jeudi à partir de Tipasa, les chercheurs des différents centres nationaux de recherche scientifique à œuvrer à la valorisation des résultats de leurs travaux de recherches en les transformant en projets susceptibles d’apporter une valeur ajoutée à l'économie nationale. "La nouvelle orientation de l'économie requiert un redoublement d'efforts de la part des chercheurs pour valoriser les résultats de la recherche scientifique et les transformer en projets et produits rentables", a indiqué le ministre dans une déclaration à la presse à l'issue de sa visite au Centre de recherche scientifique et technique en analyses physico-chimiques (CRAPC) de Bou-Ismail, soulignant que c’est là "l'un des objectifs stratégiques du secteur". "Aujourd'hui, plus que jamais, le chercheur est appelé à s’orienter vers l'industrie et à promouvoir son innovation", a-t-il ajouté. S’exprimant sur les 25 brevets d’invention enregistrés par le CRAPC en 2023, M Baddari a estimé que ce chiffre "est très faible comparativement aux ressources mobilisées", appelant les chercheurs à "redoubler d'efforts et à être à la hauteur des enjeux nationaux, notamment en trouvant des solutions scientifiques aux problèmes auxquels fait face la société". Durant sa tournée au CRAPC, le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a visité une exposition dédiée à diverses innovations des chercheurs, dont des produits biologiques pour pâtes sans gluten et un projet de drone destiné à être exploité pour définir les besoins des grandes surfaces agricoles.
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USTHB/Sonatrach: signature d’un accord de coopération pour développer la recherche sur le gaz

ALGER - L'Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB) a signé, jeudi à Alger, un accord de coopération avec la Direction centrale Recherche et développement (R&D) de Sonatrach, visant à renforcer les échanges scientifiques et pédagogiques entre les deux institutions, notamment dans le domaine de la recherche sur le gaz et son développement. Cet accord a été signé par le recteur de l'USTHB, le Pr. Djamal-Eddine Akretche, et le directeur central Recherche et développement (R&D) à Sonatrach, Mustapha Mohamed Benamara, au siège de l'Université, en présence de cadres des deux institutions, dans le cadre de l'accord-cadre signé entre les deux parties en 2021, pour le renforcement de la coopération. Cette coopération vise à renforcer la recherche sur le gaz, notamment pour trouver des solutions à ce qu'on appelle "la poudre noire" dans le gaz, un problème auquel "les compagnies pétrolières sont confrontées dans la production et le transport de gaz par pipeline et conteneurs, et qui concerne également le citoyen avec son véhicule personnel", selon les explications fournies par le chercheur à "R&D" de Sonatrach, Khaled Kadi. A cette occasion, M. Benamara a indiqué que cet accord intervenait dans le cadre du programme de recherche appliqué actuellement par Sonatrach dans tous les domaines, et vise à " consolider la coopération commune entre les experts des deux institutions, pour élaborer un programme de recherche permettant de trouver des solutions pour se débarrasser de "+la poudre noire", ce qui constitue une nouvelle méthode de traitement du gaz rendant possible l'exportation de la quantité nécessaire de ce produit à l'étranger". De son côté, le recteur de l'université a estimé que cet accord "intervenait dans le cadre de la nouvelle vision de l'université qui tend à s'ouvrir sur l'environnement économique, notamment avec le groupe Sonatrach pionnier en matière de développement". Cette coopération permettra au laboratoire "Mécanique des fluides" qui relève de la Faculté de physique de l'université d'apporter ses contributions à la résolution du problème mondial de la poudre noire et d'assister les étudiants de l'université, notamment les doctorants, dans la création de start-up et de micro-entreprises".
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USTHB/Sonatrach: signature d’un accord de coopération pour développer la recherche sur le gaz

ALGER - L'Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB) a signé, jeudi à Alger, un accord de coopération avec la Direction centrale Recherche et développement (R&D) de Sonatrach, visant à renforcer les échanges scientifiques et pédagogiques entre les deux institutions, notamment dans le domaine de la recherche sur le gaz et son développement. Cet accord a été signé par le recteur de l'USTHB, le Pr. Djamal-Eddine Akretche, et le directeur central Recherche et développement (R&D) à Sonatrach, Mustapha Mohamed Benamara, au siège de l'Université, en présence de cadres des deux institutions, dans le cadre de l'accord-cadre signé entre les deux parties en 2021, pour le renforcement de la coopération. Cette coopération vise à renforcer la recherche sur le gaz, notamment pour trouver des solutions à ce qu'on appelle "la poudre noire" dans le gaz, un problème auquel "les compagnies pétrolières sont confrontées dans la production et le transport de gaz par pipeline et conteneurs, et qui concerne également le citoyen avec son véhicule personnel", selon les explications fournies par le chercheur à "R&D" de Sonatrach, Khaled Kadi. A cette occasion, M. Benamara a indiqué que cet accord intervenait dans le cadre du programme de recherche appliqué actuellement par Sonatrach dans tous les domaines, et vise à " consolider la coopération commune entre les experts des deux institutions, pour élaborer un programme de recherche permettant de trouver des solutions pour se débarrasser de "+la poudre noire", ce qui constitue une nouvelle méthode de traitement du gaz rendant possible l'exportation de la quantité nécessaire de ce produit à l'étranger". De son côté, le recteur de l'université a estimé que cet accord "intervenait dans le cadre de la nouvelle vision de l'université qui tend à s'ouvrir sur l'environnement économique, notamment avec le groupe Sonatrach pionnier en matière de développement". Cette coopération permettra au laboratoire "Mécanique des fluides" qui relève de la Faculté de physique de l'université d'apporter ses contributions à la résolution du problème mondial de la poudre noire et d'assister les étudiants de l'université, notamment les doctorants, dans la création de start-up et de micro-entreprises".
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Industries chimiques: développer la filière pour répondre aux besoins

ALGER - Le ministre de l'Industrie et de la Production pharmaceutique, M. Ali Aoun, a mis en avant, jeudi à Alger, la stratégie de son secteur pour le développement de la filière des industries chimiques en vue de répondre aux besoins nationaux et internationaux et de réduire la facture d'importation des produits chimiques de base, assurant que l'Algérie possède tous les atouts pour développer cette industrie. Lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales au Conseil de la nation, présidée par son président, M. Salah Goudjil, en présence de membres du Gouvernement, et en réponse à la question du sénateur Fouad Sebouta (parti du Front de libération nationale) sur la feuille de route du ministère pour asseoir une industrie chimique et pétrochimique, M. Aoun a indiqué que "la stratégie du ministère dans le domaine de l'industrie chimique, conformément aux objectifs du Gouvernement, repose essentiellement sur l'examen des ressources disponibles et les tendances du marché pour répondre aux besoins nationaux et internationaux en la matière". La stratégie du secteur s'appuie également sur la diversification de la production et l'investissement dans la recherche et le développement pour davantage de compétitivité à l'international, dans le cadre du développement durable en tenant compte de l'impact environnemental de la production chimique, a ajouté le ministre. Il a précisé, à cet égard, que son secteur "a commencé effectivement à développer la filière des industries chimiques pour répondre à davantage de besoins nationaux et internationaux et réduire la facture d'importation des produits chimiques de base". Les premiers fruits de cette politique sont notables dans le domaine de l'industrie pharmaceutique, de l'industrie du plastique, de la peinture industrielle, des détergents, des cosmétiques et d'autres produits, où notre pays est "passé d'importateur à autosuffisant ou exportateur", selon M. Aoun. Concernant le développement de l'industrie pharmaceutique en Algérie, le ministre a souligné que l'Algérie était l'un des principaux producteurs de médicaments en Afrique, comptant 203 sociétés de production de médicaments couvrant 70% des besoins du marché national. Aoun a en outre fait savoir que les exportations dans le domaine de l'industrie pharmaceutique avaient atteint 12,6 millions USD en 2023 et devraient atteindre 17 millions USD en 2024. S'agissant des industries pétrochimiques, le ministre a estimé qu'elles représentaient un secteur stratégique par excellence aux côtés des secteurs de l'industrie et de la production pharmaceutique et de l'énergie et des mines. Il a rappelé, dans ce cadre, les investissements actuels de Sonatrach dans la production de polypropylène et d'engrais azotés, ajoutant que son secteur étudiera la possibilité "d'investir avec le secteur de l'énergie et des mines dans la production de certains métaux, notamment les terres rares". Répondant à une question du député Mohamed Boukrou (Indépendants) sur les efforts du ministère pour remédier au non raccordement de la zone industrielle El Tarf (Constantine) au réseau de gaz naturel, M. Aoun a expliqué que ce problème était la conséquence de la négligence dont les zones industrielles ont pâti par le passé, soulignant qu'"elles connaissent désormais un regain d'intérêt en termes d'investissement" grâce au nouveau cadre juridique et aux efforts du groupe Sonelgaz pour le raccordement des différentes zones aux réseaux d'électricité et de gaz. Pour la zone industrielle El Tarf, M. Aoun a fait savoir que son département ministériel avait saisi par écrit les services du ministère des Finances pour une éventuelle prise en charge de l'opération de raccordement de cette zone au réseau de gaz naturel, qui ne relève pas du ministère de l'Industrie et de la Production pharmaceutique. Il a également indiqué que 60% de l'opération de raccordement de cette zone au réseau de gaz naturel concerne le réseau externe "réseau transport", qui relève de la compétence du groupe Sonelgaz, expliquant que le secteur de l'énergie peut prendre en charge l'opération de raccordement extérieur, conformément à la législation et à la réglementation en vigueur. Répondant à une question du sénateur Brahimi Abdelhak (Indépendants) sur l'aménagement des zones d'activités dans les communes d'Ouled Djellal, Doucen et Sidi Khaled ( Wilaya d'Ouled Djellal), M. Aoun a précisé que le ministère était en passe d'élaborer l'étude technique du dossier de réhabilitation des zones d'activités, en tenant compte des moindres détails des travaux à l'intérieur et à l'extérieur de ces zones (électricité, gaz, alimentation en eau, assainissement et réseau de télécommunications). Il s'agit, a-t-il dit, de permettre aux services de son département d'analyser et de transférer ces dossiers et les besoins financiers aux services du ministère des Finances en vue d'étudier la proposition d'inscription ces dotations financières, ajoute le ministre, qui a assuré que son secteur ne ménagera aucun effort pour suivre ce dossier, conformément aux décisions du président de la République, visant à poursuivre les efforts de développement, au vu de son impact positif direct sur la vie des citoyens.
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Industries chimiques: développer la filière pour répondre aux besoins

ALGER - Le ministre de l'Industrie et de la Production pharmaceutique, M. Ali Aoun, a mis en avant, jeudi à Alger, la stratégie de son secteur pour le développement de la filière des industries chimiques en vue de répondre aux besoins nationaux et internationaux et de réduire la facture d'importation des produits chimiques de base, assurant que l'Algérie possède tous les atouts pour développer cette industrie. Lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales au Conseil de la nation, présidée par son président, M. Salah Goudjil, en présence de membres du Gouvernement, et en réponse à la question du sénateur Fouad Sebouta (parti du Front de libération nationale) sur la feuille de route du ministère pour asseoir une industrie chimique et pétrochimique, M. Aoun a indiqué que "la stratégie du ministère dans le domaine de l'industrie chimique, conformément aux objectifs du Gouvernement, repose essentiellement sur l'examen des ressources disponibles et les tendances du marché pour répondre aux besoins nationaux et internationaux en la matière". La stratégie du secteur s'appuie également sur la diversification de la production et l'investissement dans la recherche et le développement pour davantage de compétitivité à l'international, dans le cadre du développement durable en tenant compte de l'impact environnemental de la production chimique, a ajouté le ministre. Il a précisé, à cet égard, que son secteur "a commencé effectivement à développer la filière des industries chimiques pour répondre à davantage de besoins nationaux et internationaux et réduire la facture d'importation des produits chimiques de base". Les premiers fruits de cette politique sont notables dans le domaine de l'industrie pharmaceutique, de l'industrie du plastique, de la peinture industrielle, des détergents, des cosmétiques et d'autres produits, où notre pays est "passé d'importateur à autosuffisant ou exportateur", selon M. Aoun. Concernant le développement de l'industrie pharmaceutique en Algérie, le ministre a souligné que l'Algérie était l'un des principaux producteurs de médicaments en Afrique, comptant 203 sociétés de production de médicaments couvrant 70% des besoins du marché national. Aoun a en outre fait savoir que les exportations dans le domaine de l'industrie pharmaceutique avaient atteint 12,6 millions USD en 2023 et devraient atteindre 17 millions USD en 2024. S'agissant des industries pétrochimiques, le ministre a estimé qu'elles représentaient un secteur stratégique par excellence aux côtés des secteurs de l'industrie et de la production pharmaceutique et de l'énergie et des mines. Il a rappelé, dans ce cadre, les investissements actuels de Sonatrach dans la production de polypropylène et d'engrais azotés, ajoutant que son secteur étudiera la possibilité "d'investir avec le secteur de l'énergie et des mines dans la production de certains métaux, notamment les terres rares". Répondant à une question du député Mohamed Boukrou (Indépendants) sur les efforts du ministère pour remédier au non raccordement de la zone industrielle El Tarf (Constantine) au réseau de gaz naturel, M. Aoun a expliqué que ce problème était la conséquence de la négligence dont les zones industrielles ont pâti par le passé, soulignant qu'"elles connaissent désormais un regain d'intérêt en termes d'investissement" grâce au nouveau cadre juridique et aux efforts du groupe Sonelgaz pour le raccordement des différentes zones aux réseaux d'électricité et de gaz. Pour la zone industrielle El Tarf, M. Aoun a fait savoir que son département ministériel avait saisi par écrit les services du ministère des Finances pour une éventuelle prise en charge de l'opération de raccordement de cette zone au réseau de gaz naturel, qui ne relève pas du ministère de l'Industrie et de la Production pharmaceutique. Il a également indiqué que 60% de l'opération de raccordement de cette zone au réseau de gaz naturel concerne le réseau externe "réseau transport", qui relève de la compétence du groupe Sonelgaz, expliquant que le secteur de l'énergie peut prendre en charge l'opération de raccordement extérieur, conformément à la législation et à la réglementation en vigueur. Répondant à une question du sénateur Brahimi Abdelhak (Indépendants) sur l'aménagement des zones d'activités dans les communes d'Ouled Djellal, Doucen et Sidi Khaled ( Wilaya d'Ouled Djellal), M. Aoun a précisé que le ministère était en passe d'élaborer l'étude technique du dossier de réhabilitation des zones d'activités, en tenant compte des moindres détails des travaux à l'intérieur et à l'extérieur de ces zones (électricité, gaz, alimentation en eau, assainissement et réseau de télécommunications). Il s'agit, a-t-il dit, de permettre aux services de son département d'analyser et de transférer ces dossiers et les besoins financiers aux services du ministère des Finances en vue d'étudier la proposition d'inscription ces dotations financières, ajoute le ministre, qui a assuré que son secteur ne ménagera aucun effort pour suivre ce dossier, conformément aux décisions du président de la République, visant à poursuivre les efforts de développement, au vu de son impact positif direct sur la vie des citoyens.
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Percée des céréales russes en Algérie : la riposte française

Pour contrecarrer la percée des céréales russes en Algérie et reprendre pied sur le marché algérien, les céréaliers français préparent la riposte.
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Un alpiniste algérien veut planter le drapeau de l’Algérie sur le toit du monde

Un jeune alpiniste algérien, Nassim Hachaichi, 35 ans, envisage de monter sur le toit du monde, le mont Everest, pour y planter le drapeau de son pays.
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Massacre du 17 octobre 1961 : du nouveau pour la reconnaissance du crime en France

Portée par la députée d'origine algérienne Sabrina Sebaihi, une résolution condamnant le massacre d'Algériens le 17 octobre 1961 à Paris a été adoptée ce jeudi 28 mars par l’Assemblée nationale française.
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Massacre du 17 octobre 1961 : l’Assemblée française condamne une « répression sanglante » et réclame une journée de commémoration

L'Assemblée française a adopté jeudi 28 mars 2024 une résolution condamnant la « répression sanglante et meurtrière des Algériens commise sous l’autorité du préfet de police Maurice Papon le 17 octobre 1961 ». Elle demande également au gouvernement « l’inscription d’une journée de commémoration du massacre du 17 octobre 1961 à l’agenda des journées nationales et cérémonies officielles ».
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Sénégal : Bassirou Diomaye Faye, de la prison à la présidence – Le Matin d’Algérie

Élu le soir du 24 mars par les Sénégalais dès le premier tour, Bassirou Diomaye Faye, le candidat antisystème et panafricain a remplacé la figure de l’opposition, Ousmane Sonko, qui avait été écarté de la course présidentielle. Avec Bassirou Faye, ce pourrait être aussi la fin de la présence française dans le pays.