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USTHB/Sonatrach: signature d’un accord de coopération pour développer la recherche sur le gaz

ALGER - L'Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB) a signé, jeudi à Alger, un accord de coopération avec la Direction centrale Recherche et développement (R&D) de Sonatrach, visant à renforcer les échanges scientifiques et pédagogiques entre les deux institutions, notamment dans le domaine de la recherche sur le gaz et son développement. Cet accord a été signé par le recteur de l'USTHB, le Pr. Djamal-Eddine Akretche, et le directeur central Recherche et développement (R&D) à Sonatrach, Mustapha Mohamed Benamara, au siège de l'Université, en présence de cadres des deux institutions, dans le cadre de l'accord-cadre signé entre les deux parties en 2021, pour le renforcement de la coopération. Cette coopération vise à renforcer la recherche sur le gaz, notamment pour trouver des solutions à ce qu'on appelle "la poudre noire" dans le gaz, un problème auquel "les compagnies pétrolières sont confrontées dans la production et le transport de gaz par pipeline et conteneurs, et qui concerne également le citoyen avec son véhicule personnel", selon les explications fournies par le chercheur à "R&D" de Sonatrach, Khaled Kadi. A cette occasion, M. Benamara a indiqué que cet accord intervenait dans le cadre du programme de recherche appliqué actuellement par Sonatrach dans tous les domaines, et vise à " consolider la coopération commune entre les experts des deux institutions, pour élaborer un programme de recherche permettant de trouver des solutions pour se débarrasser de "+la poudre noire", ce qui constitue une nouvelle méthode de traitement du gaz rendant possible l'exportation de la quantité nécessaire de ce produit à l'étranger". De son côté, le recteur de l'université a estimé que cet accord "intervenait dans le cadre de la nouvelle vision de l'université qui tend à s'ouvrir sur l'environnement économique, notamment avec le groupe Sonatrach pionnier en matière de développement". Cette coopération permettra au laboratoire "Mécanique des fluides" qui relève de la Faculté de physique de l'université d'apporter ses contributions à la résolution du problème mondial de la poudre noire et d'assister les étudiants de l'université, notamment les doctorants, dans la création de start-up et de micro-entreprises".
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USTHB/Sonatrach: signature d’un accord de coopération pour développer la recherche sur le gaz

ALGER - L'Université des sciences et de la technologie Houari-Boumediene (USTHB) a signé, jeudi à Alger, un accord de coopération avec la Direction centrale Recherche et développement (R&D) de Sonatrach, visant à renforcer les échanges scientifiques et pédagogiques entre les deux institutions, notamment dans le domaine de la recherche sur le gaz et son développement. Cet accord a été signé par le recteur de l'USTHB, le Pr. Djamal-Eddine Akretche, et le directeur central Recherche et développement (R&D) à Sonatrach, Mustapha Mohamed Benamara, au siège de l'Université, en présence de cadres des deux institutions, dans le cadre de l'accord-cadre signé entre les deux parties en 2021, pour le renforcement de la coopération. Cette coopération vise à renforcer la recherche sur le gaz, notamment pour trouver des solutions à ce qu'on appelle "la poudre noire" dans le gaz, un problème auquel "les compagnies pétrolières sont confrontées dans la production et le transport de gaz par pipeline et conteneurs, et qui concerne également le citoyen avec son véhicule personnel", selon les explications fournies par le chercheur à "R&D" de Sonatrach, Khaled Kadi. A cette occasion, M. Benamara a indiqué que cet accord intervenait dans le cadre du programme de recherche appliqué actuellement par Sonatrach dans tous les domaines, et vise à " consolider la coopération commune entre les experts des deux institutions, pour élaborer un programme de recherche permettant de trouver des solutions pour se débarrasser de "+la poudre noire", ce qui constitue une nouvelle méthode de traitement du gaz rendant possible l'exportation de la quantité nécessaire de ce produit à l'étranger". De son côté, le recteur de l'université a estimé que cet accord "intervenait dans le cadre de la nouvelle vision de l'université qui tend à s'ouvrir sur l'environnement économique, notamment avec le groupe Sonatrach pionnier en matière de développement". Cette coopération permettra au laboratoire "Mécanique des fluides" qui relève de la Faculté de physique de l'université d'apporter ses contributions à la résolution du problème mondial de la poudre noire et d'assister les étudiants de l'université, notamment les doctorants, dans la création de start-up et de micro-entreprises".
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Industries chimiques: développer la filière pour répondre aux besoins

ALGER - Le ministre de l'Industrie et de la Production pharmaceutique, M. Ali Aoun, a mis en avant, jeudi à Alger, la stratégie de son secteur pour le développement de la filière des industries chimiques en vue de répondre aux besoins nationaux et internationaux et de réduire la facture d'importation des produits chimiques de base, assurant que l'Algérie possède tous les atouts pour développer cette industrie. Lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales au Conseil de la nation, présidée par son président, M. Salah Goudjil, en présence de membres du Gouvernement, et en réponse à la question du sénateur Fouad Sebouta (parti du Front de libération nationale) sur la feuille de route du ministère pour asseoir une industrie chimique et pétrochimique, M. Aoun a indiqué que "la stratégie du ministère dans le domaine de l'industrie chimique, conformément aux objectifs du Gouvernement, repose essentiellement sur l'examen des ressources disponibles et les tendances du marché pour répondre aux besoins nationaux et internationaux en la matière". La stratégie du secteur s'appuie également sur la diversification de la production et l'investissement dans la recherche et le développement pour davantage de compétitivité à l'international, dans le cadre du développement durable en tenant compte de l'impact environnemental de la production chimique, a ajouté le ministre. Il a précisé, à cet égard, que son secteur "a commencé effectivement à développer la filière des industries chimiques pour répondre à davantage de besoins nationaux et internationaux et réduire la facture d'importation des produits chimiques de base". Les premiers fruits de cette politique sont notables dans le domaine de l'industrie pharmaceutique, de l'industrie du plastique, de la peinture industrielle, des détergents, des cosmétiques et d'autres produits, où notre pays est "passé d'importateur à autosuffisant ou exportateur", selon M. Aoun. Concernant le développement de l'industrie pharmaceutique en Algérie, le ministre a souligné que l'Algérie était l'un des principaux producteurs de médicaments en Afrique, comptant 203 sociétés de production de médicaments couvrant 70% des besoins du marché national. Aoun a en outre fait savoir que les exportations dans le domaine de l'industrie pharmaceutique avaient atteint 12,6 millions USD en 2023 et devraient atteindre 17 millions USD en 2024. S'agissant des industries pétrochimiques, le ministre a estimé qu'elles représentaient un secteur stratégique par excellence aux côtés des secteurs de l'industrie et de la production pharmaceutique et de l'énergie et des mines. Il a rappelé, dans ce cadre, les investissements actuels de Sonatrach dans la production de polypropylène et d'engrais azotés, ajoutant que son secteur étudiera la possibilité "d'investir avec le secteur de l'énergie et des mines dans la production de certains métaux, notamment les terres rares". Répondant à une question du député Mohamed Boukrou (Indépendants) sur les efforts du ministère pour remédier au non raccordement de la zone industrielle El Tarf (Constantine) au réseau de gaz naturel, M. Aoun a expliqué que ce problème était la conséquence de la négligence dont les zones industrielles ont pâti par le passé, soulignant qu'"elles connaissent désormais un regain d'intérêt en termes d'investissement" grâce au nouveau cadre juridique et aux efforts du groupe Sonelgaz pour le raccordement des différentes zones aux réseaux d'électricité et de gaz. Pour la zone industrielle El Tarf, M. Aoun a fait savoir que son département ministériel avait saisi par écrit les services du ministère des Finances pour une éventuelle prise en charge de l'opération de raccordement de cette zone au réseau de gaz naturel, qui ne relève pas du ministère de l'Industrie et de la Production pharmaceutique. Il a également indiqué que 60% de l'opération de raccordement de cette zone au réseau de gaz naturel concerne le réseau externe "réseau transport", qui relève de la compétence du groupe Sonelgaz, expliquant que le secteur de l'énergie peut prendre en charge l'opération de raccordement extérieur, conformément à la législation et à la réglementation en vigueur. Répondant à une question du sénateur Brahimi Abdelhak (Indépendants) sur l'aménagement des zones d'activités dans les communes d'Ouled Djellal, Doucen et Sidi Khaled ( Wilaya d'Ouled Djellal), M. Aoun a précisé que le ministère était en passe d'élaborer l'étude technique du dossier de réhabilitation des zones d'activités, en tenant compte des moindres détails des travaux à l'intérieur et à l'extérieur de ces zones (électricité, gaz, alimentation en eau, assainissement et réseau de télécommunications). Il s'agit, a-t-il dit, de permettre aux services de son département d'analyser et de transférer ces dossiers et les besoins financiers aux services du ministère des Finances en vue d'étudier la proposition d'inscription ces dotations financières, ajoute le ministre, qui a assuré que son secteur ne ménagera aucun effort pour suivre ce dossier, conformément aux décisions du président de la République, visant à poursuivre les efforts de développement, au vu de son impact positif direct sur la vie des citoyens.
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Industries chimiques: développer la filière pour répondre aux besoins

ALGER - Le ministre de l'Industrie et de la Production pharmaceutique, M. Ali Aoun, a mis en avant, jeudi à Alger, la stratégie de son secteur pour le développement de la filière des industries chimiques en vue de répondre aux besoins nationaux et internationaux et de réduire la facture d'importation des produits chimiques de base, assurant que l'Algérie possède tous les atouts pour développer cette industrie. Lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales au Conseil de la nation, présidée par son président, M. Salah Goudjil, en présence de membres du Gouvernement, et en réponse à la question du sénateur Fouad Sebouta (parti du Front de libération nationale) sur la feuille de route du ministère pour asseoir une industrie chimique et pétrochimique, M. Aoun a indiqué que "la stratégie du ministère dans le domaine de l'industrie chimique, conformément aux objectifs du Gouvernement, repose essentiellement sur l'examen des ressources disponibles et les tendances du marché pour répondre aux besoins nationaux et internationaux en la matière". La stratégie du secteur s'appuie également sur la diversification de la production et l'investissement dans la recherche et le développement pour davantage de compétitivité à l'international, dans le cadre du développement durable en tenant compte de l'impact environnemental de la production chimique, a ajouté le ministre. Il a précisé, à cet égard, que son secteur "a commencé effectivement à développer la filière des industries chimiques pour répondre à davantage de besoins nationaux et internationaux et réduire la facture d'importation des produits chimiques de base". Les premiers fruits de cette politique sont notables dans le domaine de l'industrie pharmaceutique, de l'industrie du plastique, de la peinture industrielle, des détergents, des cosmétiques et d'autres produits, où notre pays est "passé d'importateur à autosuffisant ou exportateur", selon M. Aoun. Concernant le développement de l'industrie pharmaceutique en Algérie, le ministre a souligné que l'Algérie était l'un des principaux producteurs de médicaments en Afrique, comptant 203 sociétés de production de médicaments couvrant 70% des besoins du marché national. Aoun a en outre fait savoir que les exportations dans le domaine de l'industrie pharmaceutique avaient atteint 12,6 millions USD en 2023 et devraient atteindre 17 millions USD en 2024. S'agissant des industries pétrochimiques, le ministre a estimé qu'elles représentaient un secteur stratégique par excellence aux côtés des secteurs de l'industrie et de la production pharmaceutique et de l'énergie et des mines. Il a rappelé, dans ce cadre, les investissements actuels de Sonatrach dans la production de polypropylène et d'engrais azotés, ajoutant que son secteur étudiera la possibilité "d'investir avec le secteur de l'énergie et des mines dans la production de certains métaux, notamment les terres rares". Répondant à une question du député Mohamed Boukrou (Indépendants) sur les efforts du ministère pour remédier au non raccordement de la zone industrielle El Tarf (Constantine) au réseau de gaz naturel, M. Aoun a expliqué que ce problème était la conséquence de la négligence dont les zones industrielles ont pâti par le passé, soulignant qu'"elles connaissent désormais un regain d'intérêt en termes d'investissement" grâce au nouveau cadre juridique et aux efforts du groupe Sonelgaz pour le raccordement des différentes zones aux réseaux d'électricité et de gaz. Pour la zone industrielle El Tarf, M. Aoun a fait savoir que son département ministériel avait saisi par écrit les services du ministère des Finances pour une éventuelle prise en charge de l'opération de raccordement de cette zone au réseau de gaz naturel, qui ne relève pas du ministère de l'Industrie et de la Production pharmaceutique. Il a également indiqué que 60% de l'opération de raccordement de cette zone au réseau de gaz naturel concerne le réseau externe "réseau transport", qui relève de la compétence du groupe Sonelgaz, expliquant que le secteur de l'énergie peut prendre en charge l'opération de raccordement extérieur, conformément à la législation et à la réglementation en vigueur. Répondant à une question du sénateur Brahimi Abdelhak (Indépendants) sur l'aménagement des zones d'activités dans les communes d'Ouled Djellal, Doucen et Sidi Khaled ( Wilaya d'Ouled Djellal), M. Aoun a précisé que le ministère était en passe d'élaborer l'étude technique du dossier de réhabilitation des zones d'activités, en tenant compte des moindres détails des travaux à l'intérieur et à l'extérieur de ces zones (électricité, gaz, alimentation en eau, assainissement et réseau de télécommunications). Il s'agit, a-t-il dit, de permettre aux services de son département d'analyser et de transférer ces dossiers et les besoins financiers aux services du ministère des Finances en vue d'étudier la proposition d'inscription ces dotations financières, ajoute le ministre, qui a assuré que son secteur ne ménagera aucun effort pour suivre ce dossier, conformément aux décisions du président de la République, visant à poursuivre les efforts de développement, au vu de son impact positif direct sur la vie des citoyens.
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Poursuite des rencontres de concertation avec les syndicats et les partenaires sociaux

ALGER - Le ministère de la Santé poursuit l'organisation de réunions et de rencontres de concertation avec les syndicats représentant le secteur et les partenaires sociaux, dans le cadre de l'élaboration des statuts particuliers du personnel de la santé, a indiqué, lundi, un communiqué du ministère. "Dans le cadre de l'élaboration des statuts particuliers des médecins, des dentistes, des pharmaciens et médecins spécialistes, le ministère de la Santé a engagé des concertations et un débat autour des projets de loi précités", ajoute le communiqué. A cet effet, il sera procédé à partir de la semaine prochaine "à l'organisation de rencontres avec les partenaires sociaux représentant les corps paramédicaux, les auxiliaires médicaux, les anesthésistes et réanimateurs, les sages-femmes, les psychologues, les biologiques, et administrateurs des services de santé, les inspecteurs et les professeurs", conclut le document.
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Importantes baisses tarifaires sur l’hébergement de sites web au profit des médias nationaux

ALGER - Algérie Télécom (AT) a annoncé avoir adopté des réductions sur les tarifs d'hébergement des sites web au profit de l'ensemble des médias nationaux, en application des mesures décidées par le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, lors de la remise du prix du Président de la République du journaliste professionnel, indique dimanche un communiqué de AT. "Dans le cadre de la mise en œuvre des mesures annoncées par le Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, lors de la remise du prix du Président de la République du journaliste professionnel, visant à soutenir les médias nationaux, Algérie Télécom a adopté des réductions sur les tarifs d'hébergement des sites web au profit de l'ensemble des médias nationaux", précise le communiqué, soulignant que "ces réductions varient entre 33% et 36% et sont accompagnées d'amélioration de la capacité". En outre, Algérie Télécom "offre aux médias la possibilité de choisir parmi sa gamme de packs de sécurité adaptés à leurs besoins pour assurer une sécurité optimale à leurs sites, avec des tarifs réduits", ajoute la même source. Algérie Télécom "s'engage à soutenir les professionnels du secteur de la presse en leur offrant des services d'hébergement à des tarifs compétitifs, de manière à contribuer ainsi au développement du champ médiatique national". En ce sens, elle "invite les médias nationaux découvrir les détails de ces offres via notre site web : www.algerietelecom.dz ou en contactant : hebergement-corporate@algerietelecom.dz", indique la même source.
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Cancer : deux services de chimiothérapie et de radiothérapie dans chaque hôpital d’ici fin 2026

ALGER - La stratégie du secteur de la Santé en matière de prise en charge des cancéreux repose sur la création de deux services de chimiothérapie et de radiothérapie au niveau des hôpitaux grâce au Fonds national de lutte contre le cancer, a fait savoir, jeudi à Alger, le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, relevant que toutes les wilayas bénéficieront de cette mesure d'ici à fin 2026. Le ministre s'exprimait lors d'une plénière du Conseil de la nation consacrée aux questions orales adressées à plusieurs membres du gouvernement en présence de la ministre des Relations avec le Parlement, Basma Azouar. Le secteur de la Santé a adopté une stratégie de prise en charge des cancéreux "reposant sur la création de deux services de chimiothérapie et de radiothérapie au niveau des hôpitaux, grâce au Fonds national de lutte contre le cancer, de sorte que chaque wilaya pourra bénéficier de cette mesure d'ici fin 2026". Répondant à une question sur la réalisation d'un centre de radiothérapie dans la wilaya de Jijel qui compte 1295 cancéreux, le ministre a indiqué que le projet "a été interrompu pour des contraintes financières". "Le dossier de prise en charge des cancéreux a été rouvert par le secteur et verra prochainement le jour non seulement à Jijel, mais aussi dans d'autres wilayas telles que Boumerdès, Mostaganem, Ghardaïa et M'sila, lesquelles disposent d'hôpitaux d'une capacité de 240 lits et bénéficieront bientôt de services de chimiothérapie et de radiothérapie", a rassuré M. Saihi. "La création de services de chimiothérapie et de radiothérapie dans les hôpitaux, les circonscriptions et les zones éloignées permettra d'éviter la réalisation d'un centre de cancérologie qui coûte à l'Etat 12 milliards de DA, alors que la création d'un service dans un hôpital coûte 1 milliard de DA, ce qui profitera à plusieurs wilayas", a-t-il dit. Par ailleurs, et à une question sur le retard accusé dans la réalisation du projet de l'hôpital 120 lits à Djanet, le ministre a fait savoir que "la wilaya a bénéficié de plusieurs projets dont la réalisation a été confiée au ministère de l'Habitat et de l'Urbanisme", citant "un hôpital de 120 lits et dont la réalisation sera lancée prochainement, une polyclinique dont les travaux de réalisation ont atteint un taux de 75%, ainsi que deux autres sales de soins et un centre sanitaire qui seront lancés prochainement. La ville d'Ifri a bénéficié aussi d'une polyclinique en cours de réalisation". Le ministre a affirmé dans le même contexte, que son secteur œuvrait pour "réaliser un hôpital de 60 lits dans la commune de Bordj El-Haouas, dans la même wilaya". S'agissant de l'amélioration des services de santé en application des instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, notamment dans le nouvelles wilayas, M. Saihi a souligné que son secteur "œuvre à renforcer les ressources humaines de la wilaya de Djanet qui compte actuellement 52 médecins spécialistes, où 200 nouveaux postes ont été ouverts comptant plusieurs spécialités dont 20 postes de médecins, 130 postes pour l'encadrement pédagogique et 50 postes pour les spécialités paramédicales", annonçant que "la wilaya sera dotée de 4 médecins de nouvelles spécialités demandées, vers la fin de janvier 2024". Pour réaliser ces objectifs, il sera procédé au "jumelage entre des hôpitaux universitaires et des services spécialisées à Djanet", en plus du "renforcement de la wilaya par deux services de chimiothérapie et de radiothérapie", a ajouté le ministre. Au niveau des frontières, le ministre a rappelé "la mobilisation de plusieurs équipes médicales qui assurent la couverture médicale aux nomades en matière de vaccination et de consultation habituelle, qui ont permis, a-t-il dit, de découvrir des maladies non transmissibles qui n'existaient pas auparavant chez eux à l'instar du diabète".
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Un exposé sur la situation du secteur devant la Commission de l’éducation et de l’enseignement supérieur

ALGER - La Commission de l'éducation, de l'enseignement supérieur et de la recherche scientifique et des affaires religieuses à l'Assemblée populaire nationale (APN) a entendu, jeudi, un exposé présenté par le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, sur "les efforts du secteur pour une meilleure qualité de l'enseignement et la prise en charge des préoccupations de ses différentes catégories". Lors de son exposé, le ministre a affirmé que "le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, place le secteur de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique au centre des préoccupations de l'Algérie nouvelle, ce qui ressort, a-t-il dit, à travers la concrétisation de ses engagements et du programme du Gouvernement". Il a affirmé que le secteur "a mis en œuvre ce qui est prévu dans ce programme avec la coopération des différents acteurs". Le ministre a également indiqué que le secteur de l'enseignement supérieur "s'est employé à développer tout ce qui a trait à la vie universitaire car les étudiants d'aujourd'hui, a-t-il souligné, sont appelés à gérer les affaires du pays à l'avenir", ce qui nécessite de leur assurer un enseignement de qualité qui cadre avec les exigences de la société". Il a, en outre, évoqué les missions de l'enseignement supérieur, qui consistent, a-t-il dit, en la réalisation d'un équilibre entre l'enseignement, la recherche scientifique et l'innovation, les deux dernières étant les déterminants du développement, pour faire de "l'université une locomotive du développement local et national, en adéquation avec les aspirations de la société à différents niveaux". Pour ce qui est de la qualité de gestion, le ministre a averti que "nul n'a le droit d'être bureaucrate dans n'importe quel établissement universitaire", précisant que c'est ce à quoi s'est attelé son secteur à travers la numérisation largement adoptée au cours de cette année. Dans le même contexte, le ministre a affirmé que "le plan numérique du secteur a été exécuté avant le délai prévu pour la finalisation du programme". Le ministre a, par ailleurs, rappelé les mécanismes mis en place au niveau des universités afin de contribuer à la création de richesses, en permettant aux étudiants diplômés de créer leurs propres startups ou micro-entreprises et de contribuer à la création d'emplois.
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Les nouveaux stagiaires rejoignent dimanche les établissements de formation professionnelle

ALGER - Les nouveaux stagiaires rejoindront, dimanche, les établissements de formation professionnelle au niveau national à l'occasion de la rentrée professionnelle session octobre 2023, placée sous le thème "Formation professionnelle et enjeux du renouveau économique". Pour faire de cette rentrée une réussite, le ministère de la Formation et de l'enseignement professionnels a mobilisé tous les moyens humains et matériels nécessaires, à savoir les moyens techniques et pédagogiques et les établissements de formation estimés à 1.225 structures, en sus des sections d'apprentissage ouvertes au niveau des établissements de formation en plus des spécialités contenues dans le programme pédagogique de formation professionnelle et inscrites dans la nomenclature des spécialités de la formation professionnelle. La nomenclature relevant du secteur de la formation professionnelle renferme 495 spécialités réparties sur 23 filières professionnelles couvrant les principaux domaines d'activités.  Le secteur insiste, à travers les offres de formation, sur les filières professionnelles à caractère prioritaire comme l'industrie, le numérique, le bâtiment et les travaux publiques, les métiers de l'électricité, l'agriculture, l'hôtellerie, le tourisme, l'artisanat, l'eau et l'environnement, le secteur ayant conclu plusieurs conventions de partenariat avec les entreprises économiques pour garantir une formation adaptée aux exigences de l'économie nationale. En prévision de cette rentrée, le ministère a introduit de nouvelles spécialités importantes pour l'économie nationale, dont le dessalement de l'eau de mer, entre autres spécialités touchant des métiers relatifs à la mécanique des trains, ainsi qu'à l'électrification et à la maintenance du réseau ferroviaire. Parmi les spécialités introduites aussi dans le mode de formation par apprentissage dans certaines wilayas, celle de technicien en restauration du patrimoine dans les wilayas de Tébessa et de Saïda. La prochaine rentrée verra le renforcement de certains dispositifs, à l'instar du dispositif de la formation au profit des femmes au foyer et la formations en milieu rural, outre la poursuite de l'offre de formation au profit des bénéficiaires de l'allocation chômage. Concernant la formation des personnes aux besoins spécifiques, le ministère a consacré un programme destiné à cette catégorie en proposant plus de 500 nouvelles places pédagogiques pour cette rentrée au niveau des centres spécialisés dans les wilayas de Laghouat, Alger, Skikda, Boumerdes et Relizane, outre l'ouverture de deux autres centres dans le sud du pays. Le ministère de tutelle a organisé également des campagnes de sensibilisation pour faire connaitre les différentes offres et spécialistes de formation professionnelle, et ce à travers un programme varié comprenant des activités de proximité, des rencontres et des portes ouvertes à travers les wilayas du pays, en sus du lancement de larges campagnes de nettoiement des établissements de formation.
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Algérie-Yémen: accord pour renforcer la coopération en matière de formation

ALGER - Un accord a été signé mardi entre L'Algérie et le Yémen pour renforcer la coopération bilatérale dans les domaines de la formation et de l'enseignement professionnels. L'accord a été cosigné par le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi et l'ambassadeur du Yémen à Alger, Mohammed Ali El Yazidi Alaoui, en présence de cadres représentant les deux parties. S'exprimant à cette occasion, M. Merabi a souligné que cet accord avait pour objectif la promotion de la coopération entre son département ministériel et le ministère yéménite de l'Enseignement technique et de la Formation professionnelle dans différents domaines, notamment en matière d'échange d'expertises en ingénierie pédagogique de la formation professionnelle. L'accord en question prévoit l'organisation de cycles de formation, la mise à niveau des formateurs et des gestionnaires des établissements de formation, l'organisation de séminaires et de journées d'étude, outre le lancement de projets de jumelage entre les établissements de formation des deux pays, a expliqué le ministre. Dans le même contexte, M. Merabi a annoncé la création prochaine d'une commission technique chargée de la mise en œuvre des clauses de l'accord, du suivi et de l'évaluation des activités convenues. Après avoir salué les relations unissant les deux pays et peuples frères, le diplomate yéménite a évoqué les accords de coopération bilatérale signés dans divers domaines tels que la formation professionnelle, et l'enseignement supérieur et la recherche scientifique, soulignant par là même, que cet accord s'inscrit dans le cadre du renforcement et de la promotion de la coopération bilatérale. Cet accord prévoit également des visites programmées au profit des formateurs yéménites dans les établissements de la formation professionnelle en Algérie.