
L'entretien télévisé accordé jeudi dernier par le président de la République a mis en lumière, bien au-delà du contenu politique qui reste très critiquable, l’état préoccupant du journalisme en Algérie. Les journalistes conviés ont enchaîné des questions convenues, parfois formulées de manière à contenir déjà la réponse attendue, sans jamais relancer ni bousculer l’interlocuteur.