Le dialogue a repris de plus bel entre Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebboune. Dans le communiqué rendu public, il n'y a plus nulle trace du différend sur le Sahara occidental.
Dans un contexte de tensions diplomatiques entre l’Algérie et la France, le Ministère des Affaires étrangères algérien a émis une directive en date du 13 mars 2025, interdisant aux fonctionnaires de l’administration centrale tout déplacement en France, sauf en cas d’extrême nécessité.
Si l'écrivain fait appel, un délai de dix jours qui s'impose empêcherait alors l'écrivain de bénéficier d'une "grâce présidentielle". Dilemme cornélien donc. Car, avec la justice en Algérie c’est l’inconnu, ou selon les humeurs et intérêts du pouvoir.
Dans une tribune publiée dans L’Humanité du 19 mars dernier, l’écrivain algérien Yasmina Khadra livre une analyse acerbe de la politique française vis-à-vis de l’Algérie, dénonçant ce qu’il considère comme une diversion orchestrée par le gouvernement français pour masquer ses propres échecs. Selon Yasmina Khadra, Paris instrumentalise la relation avec Alger en désignant l’Algérie comme […]
Le parquet a requis dix ans de prison et un million de dinars d'amende contre l'écrivain Boualem Sansal qui a été présenté sans avocats, selon la presse. Le verdict est fixé pour le 27 mars.
Dans un entretien au journal Le Parisien publié ce samedi 15 mars, le ministre de l'Intérieur français Bruno Retailleau menace de quitter le gouvernement si Paris renonce à un rapport de force avec l'Algérie pour qu'elle accepte d'accueillir ses ressortissants en situation irrégulière en France.
La coopération sécuritaire entre la France et l’Algérie est aujourd’hui au point mort. Céline Berthon, directrice générale de la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), a confirmé mercredi 12 mars sur franceinfo que les échanges entre les services de renseignement des deux pays sont actuellement "réduits à leurs plus simples expressions".
Le journaliste, Jean-Michel Apathie, avait d'abord été mis "en retrait" de l'antenne de la radio après sa comparaison des crimes coloniaux à celui d'Oradour-sur-Glane. L'affaire révèle combien la France n'est pas encore disposée à voir son histoire coloniale dans son ensemble.
« Selon les directives du prince héritier, si aucune poursuite n'a été engagée contre vous pour homicide, vol ou agression et que vous avez été induit en erreur, l'État vous accueillera et ne vous punira pas », a déclaré Abdulaziz Al-Howairini, chef de la présidence de la sûreté de l'État saoudienne.
"Il ne faut pas que (les relations) fassent l'objet de jeux politiques", a déclaré Emmanuel Macron au sujet des relations algéro-françaises. Il a souhaité aussi que les "millions de Français nés de parents algériens" ne soient pas "pris dans ces débats". Un clin d'œil à Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur qui a multiplié les déclarations comminatoires contre l'Algérie.