
L’homme serait-il un loup pour l’animal ? En tout cas, de tout temps, il a agi comme si les autres êtres à poils, plumes ou écailles n’éprouvaient rien. Pas seulement pour les manger, ni parce qu’il manquait de signaux biologiques. C’est plutôt une vision philosophique, qui a longtemps maintenu le statu quo. Explications avec Eric Baratay, historien.