La Constitution est le socle commun sur lequel se construit les fondements juridiques, culturels et coutumiers d’une société. En plus du cadre légal régissant les activités des institutions, on y trouve la matrice de l’inspiration collective. Cette Loi fondamentale est dictée par une histoire commune, par des constantes et des symboles admis communément par les citoyennes et les citoyens.
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
Soucieuse d'éteindre l'incendie, la majorité présidentielle a décidé ce lundi d’une « réécriture totale » de l'article 24 de la proposition de loi sur la « sécurité globale » afin de « lever les doutes » qui n'ont cessé de s'intensifier ces derniers jours jusqu'à provoquer une crise politique majeure.
Leopoldo Luque est visé par une enquête pour homicide involontaire, selon une agence de presse argentine. Maradona est décédé il y a quatre jours.
Les images insoutenables d’un homme de couleur roué de coups par des policiers enragés alors qu’il était à terre ne peuvent laisser indifférent. Puisque le débat sur la question fait rage rajoutons-y un peu de grain un moudre.
Le procureur de la République prés le tribunal de Tipasa a requis, samedi, une peine de 15 ans de prison ferme à l’encontre de l’ex-wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, poursuivi dans une affaire de corruption relative à l’octroi d'indus privilèges à des membres de la famille de l’ancien directeur général de la sûreté nationale (DGSN), Abdelghani Hamel.
C'est le ministère des Affaires étrangères qui finit par réagir à la résolution du Parlement européen qui condamne les violations des libertés et les droits humaines en Algérie.
Il y a un mois, le 28 octobre dernier, Abdelmadjid Tebboune, contaminé par le coronavirus, était transféré dans un hôpital en Allemagne. Depuis, le pouvoir communique peu sur l'état de santé d'Abdelmadjid Tebboune, âgé de 75 ans, si ce n'est pour dire qu'il s'améliore. Face à cette opacité, les Algériens s'inquiètent d'une paralysie au sommet de l'État.
En Algérie, il n'y a pas de crise de mouvement citoyen (ce que l'on nomme "communément" le Hirak), mais une crise de tout un système qui n'arrive pas accepter son échec à gérer la société.
Dans cette étude, on se propose d’analyser le phénomène islamique en Algérie sous un angle historique inédit.
"Il faut qu'on arrive à extirper ce mal de cette belle police et il faut que les organisations syndicales nous aident à le faire", plaide Jean-Michel Fauvergue, l'ancien patron du Raid, député LREM de Seine-et-Marne et co-rapporteur de la loi "sécurité globale".