Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie

En vrai, vouloir enrayer une épidémie avec le confinement, c’est comme vouloir se soustraire à un tremblement de terre par la claustration de la population dans des abris souterrains pour tenter d’échapper aux dévastations des secousses telluriques, qui, évidemment, dégradent uniquement les édifices bâtis en surface.

Un avocat, Me Djedi, a attribué au général Ahmed Gaïd Salah, ex-chef d’état-major, la destruction de 300 chars lors de la guerre israélo-arabe de 1973. Décidément le ridicule n'étouffe plus personne.

Le ministre de l’Energie Abdelmadjid Attar a indiqué mercredi à Alger que plus de 20 milliards de dollars devraient être investis au cours des cinq prochaines années dans le cadre de la poursuite du développement de la chaîne gazière.

Le parquet a requis 2 mois de prison ferme et une amende de 50 000 dinars à l'encontre du journaliste Mustapha Bendjama, lors de son procès en appel ce 11 Novembre à la cour d'Annaba. Le verdict est attendu pour le 18 novembre prochain.

Le Covid-19 n’épargne personne, ni les gouvernants, ni les gouvernés, ni les militaires, ni les civils, ni les croyants, ni les mécréants, ni les riches, ni les pauvres, ni les vieux, ni les jeunes. Il est invisible, incolore et inodore.

L'Union pour une République Kabyle annonce dans le communiqué suivant rendu public ce mardi 10 novembre qu'elle devient l''Alliance pour une Kabylie libre (AKAL).

À l’évidence, à notre époque de crise systémique du capitalisme (accentué la pandémie du Covid-19), et subséquemment de la résurgence des luttes sociales (partiellement confinées), des questionnements sur le projet de transformation sociale émergent parmi la population laborieuse.

Soixante-quinze représentants libyens choisis par les Nations unies sont réunis depuis ce lundi 9 novembre à Tunis pour trouver une solution politique à la crise en Libye. Si la feuille de route est acceptée par tous, l'ordre des priorités diffère.

Ils sont légion ces animateurs politiques sur la toile qui rapportent, décryptent analysent les évènements et qui  influencent incontestablement l'opinion du citoyen. Adulés par les uns, décriés par les autres, ils sont totalement ignorés par les médias nationaux. Que pèsent-ils ? Que valent-ils ?

Depuis six décennies, les démocrates algériens subissent revers sur revers face au pouvoir militaro-policier. Ils ont payé cher, très cher leur détermination à vouloir renverser la vapeur, à changer le cours de l’Histoire.