Libye : le ministre de l’Intérieur échappe à une tentative d’assassinat

«Le ministre de l'Intérieur du GNA, Fathi Bachagha, a été la cible d'une tentative d'assassinat dimanche à 15h alors qu'il retournait à sa résidence à Janzour », une ville située à une dizaine de kilomètres de Tripoli, a indiqué le ministère dans un communiqué.

La préfecture de Paris interdit aux Algériens de marcher à Paris

Pour la première fois depuis le début du Hirak, la préfecture de Paris a refusé d'autorisation d'une marche des Algériens à l'occasion du 2e anniversaire du 22 février. Toutefois le rassemblement place de la République est autorisé.

Cnuac : le combat pacifique doit continuer

La Coordination Nationale des Universitaires Algériens pour le Changement (CNUA) a rendu publique la déclaration suivante.

Tebboune annonce la dissolution de l’APN et un remaniement ministériel

Abdelmadjid Tebboune a annoncé jeudi soir, dans un discours à la nation, la dissolution de l'Assemblée populaire nationale (APN) et l'organisation d'élections législatives anticipées.

Kherrata, coeur battant de la contestation

La ville de Kherrata, dans la wilaya de Bejaia, a célébré aujourd'hui, comme il se doit l'anniversaire du 16 février 2019. Des dizaines de milliers de citoyennes et de citoyens, venus de partout, ont manifesté dans le calme.

Le FFS ou l’impératif historique

Nous sommes nombreux à exhorter le FFS à refuser fermement et clairement les pseudo-législatives ou élections locales et à rejeter toute participation aux plans de légitimation du système des bouffons.

La réalité algérienne à travers le prisme de l’histoire

L'on sait que, traditionnellement, l'Algérie est un pays gouverné par les militaires. De l'antiquité jusqu'à pratiquement avril 2019 (date du départ forcé de Abdelaziz Bouteflika), il n'y a eu que Ferhat Abbas (1899-1985) et Benyoucef Benkhedda (1920-2003) qui étaient des civils à la tête de l'Etat algérien. Même Mohamed Boudiaf, l'éphémère chef du haut comité d'Etat en 1992, était un militaire (de formation), au même titre que Ahmed Ben Bella (1916-2010), le premier président de l'Algérie indépendante, porté à la tête de l'O.S (l'organisation spéciale), au lendemain de la crise dite berbériste de 1949. (1)

Walid Nekiche, pourquoi ? « Ils étaient méprisés, ils devinrent méprisables »

Le calvaire de Walid Nekiche qui s’est confirmé  a éprouvé la nature du pouvoir actuel. Un régime politique en déficit de légitimité a toujours besoin de recourir à la torture.

Loujain Al-Hathloul : ses mille et une nuits dans les prisons d’Arabie

Ironie du sort que celui de Loujain Al-Hathloul, qui vient d’être libérée après avoir "savouré" mille et une nuits dans les prisons d’Arabie saoudite !

Et la diaspora dans tout ça ?

Ces milliers d’Algériens qui partent vers l’étranger, en direction notamment de la France et du Canada, ont vidé l’Algérie de sa matière grise.