"Anida ten / Où sont les hommes Widen ileqqmen tamusni / Qui greffent la sagesse ? Anida ten / Où sont ceux Widen isfdhen allen i lghachi / Qui ouvrent les yeux du peuple ? Wa ihudden yella / Il y avait des hommes pour détruire Wa yevnun ulach / Personne pour bâtir Muten merra / Si bien que tous périrent Gujlen w arrach / Laissant les enfants orphelins". Extrait d'une chanson d’Aït Menguellet : A3li d Wa3li / Ali et Ouali
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
Les cours du blé rebondissaient lundi à la mi-journée, après avoir un peu réculé au cours de la semaine passée, à la veille de la publication du rapport mensuel du ministère américain de l'Agriculture (Wasde) sur l'offre et la demande mondiales de céréales.
La Cour d'Alger a condamné, lundi, à 3 ans de prison ferme assortis d'une amende de 50.000 da, le président directeur général (PDG) de la chaîne Ennahar, Mohamed Mokkadem dit Anis Rahmani.
Ce huit mars, allez-vous mettre mes photos sur les unes de vos journaux ? Débattriez-vous de ma situation sur vos plateaux ? M'offririez-vous des roses et des coquelicots ? Me féliciteriez-vous via les réseaux sociaux ? Me citeriez-vous des versets des cieux afin de prouver que je suis un être humain comme vous ?
À chaque fois que je consulte le Code de la famille algérien pour rédiger un article ou un post dans un réseau social j’ai l’impression d’une montée de nausée qui m’assaille. En ce jour du 8 mars, il nous faut encore et encore affronter et dénoncer l’insoutenable.
Un certain Nazih Berramdane, conseiller du Président Tebboune et représentant officiel de la communauté Algérienne à l’étranger, vient d’annoncer la création d’une nouvelle formation politique appelée à soutenir le programme du Président.
Un pas a été franchi par le régime militaire, un pas de trop car ce dernier touche à ce que nous avons de plus cher, notre naissance. Belkacem Zeghmati veut nous déchoir de la nationalité algérienne. Ce qu’il ne sait pas c'est que notre algérianité est en nous-mêmes, pas dans un papier.
Le Tribunal correctionnel près la Cour d'Alger a condamné, vendredi, le colonel Chouaïb Oultache, accusé de l'assassinat de l'ancien Directeur général de la Sûreté nationale Ali Tounsi, à la prison à perpétuité.
À la date anniversaire de son assassinat, nous rappelons au reste du monde la manière abjecte avec laquelle le sinistre système colonial français s'en est servi pour venir à bout d'un grand stratège de la guerre de Libération Nationale du 1er novembre 1954, en la personne de Larbi Ben M'hidi.
En termes de timing, Emmanuel Macron ne pouvait mieux faire. Pendant que des jeunes sont torturés dans les labos scabreux d’Alger et d’ailleurs pour le sort tort d’avoir affiché leur ras-le-bol de manière pacifique, le président français nous ressort l’affaire Boumendjel, cet avocat dont la mort sous la torture avait été masquée en suicide.