La JS Kabylie a tenu en échec les Zambiens de NAPSA Stars sur le score de 2 à 2 (mi-temps : 1-0), mercredi à Lusaka pour le compte de la 2e journée du groupe B de la phase de poules de la Coupe de la Confédération de football.
Auteur/autrice : Le Matin d'Algérie
Le général-major Abdelkader Lachkhem, (ex-chef du département des transmissions, système et guerres électroniques au niveau du ministère de la Défense) a été placé sous mandat de dépôt à la prison militaire de Blida, mercredi 17 mars, sur décision du tribunal militaire de Blida.
Une réouverture en trois étapes est envisagée par l’exécutif, qui n’a, pour l’heure, dévoilé aucun calendrier alors que la situation sanitaire s’aggrave.
Nicolas Sarkozy est de retour devant la justice ce mercredi 17 mars. Deux semaines après avoir été condamné dans l'affaire des « écoutes », l'ancien président va désormais devoir s'expliquer sur ses comptes de campagne présidentielle de 2012.
La pensée islamique, une dérive issue de l’islam politique, avait été toujours une tare et un frein pour toutes les revendications relatives à la modernité des sociétés musulmanes. Un dogme figé dans ses contraintes millénaires qui entrave le développement des pays musulmans.
Le communiqué diffusé cette semaine, par la Banque d’Algérie, nous laisse sur notre faim et en tout état de cause, dubitatif.
Samir Bouakouir, porte-parole du FFS, vient de déclarer : « Il est insensé d'imaginer un changement démocratique sans l'Armée ». Des paroles qui ne m’étonnent pas car ce parti s’est déjà éloigné depuis longtemps de sa base doctrinale et politique.
"On ne vit pas en Algérie, dit un écrivain bien de chez nous, mais on décompte les jours". Dans le pays de la jeunesse, les rêves se font tellement si rares que d'aucuns se sont permis d'inventer le néologisme "Y'heb y'aîche" (il veut vivre), pour qualifier quiconque faisant montre d'un minimum de confort dans sa vie.
Il est grand temps d’extraire nos artistes de l’oubli, de leur rendre des hommages à la mesure de leurs statures de géants et du patrimoine qu’ils nous ont légué. Surtout les révolutionnaires dans la peau comme Farid Ali.
Le classement Forbes a fait croire à certains que tout va bien, alors qu’en réalité, l’année 2020 a été l’année de l’immobilisme le plus total.