Donald Trump a été investi, ce lundi 20 janvier, pour un second mandat à la Maison blanche, lors d'une cérémonie qui marque l'un des retours en politique les plus stupéfiants de l'histoire des États-Unis
Après la librairie Cheikh, qui a fait l'objet d'un arrêté de fermeture d'un mois pris par le wali de Tizi-Ouzou et qui soulevé un tollé d'indignation d'intellectuels et de citoyens, c'est autour des éditions Frantz Fanon de subir les foudres de l'administration de la wilaya de Boumerdès.
Dans une déclaration rendue publique ce lundi, Riposte Internationale s’indigne des condamnations de Fethi Ghares et de Merzoug Touati. En désespoir de voir les autorités s’amender, l’ONG en appelle aux instances internationales afin qu’elles s’intéressent à la situation des Algériens.
Les premières Assises nationales sur le cinéma se sont ouvertes dimanche 19 janvier au Centre international des conférences (CIC) d'Alger, en présence de Adelmadjid Tebboune. Cet événement de deux jours, censé insuffler un nouveau dynamisme au secteur cinématographique algérien, se déroule dans un contexte contradictoire entre les ambitions affichées du gouvernement et les préoccupations des professionnels du secteur.
Face aux menaces qui pèsent sur les libertés publiques et le pluralisme politique, le Rassemblement pour la culture démocratique (RCD) appelle à une mobilisation générale, à l'issue de sa sixième session ordinaire tenue à Alger le 17 janvier 2025.
Il y a des lieux qui portent en eux l’âme d’un peuple. La librairie Cheikh, à Tizi-Ouzou, en faisait partie, avant que des scellés arbitraires ne viennent briser son souffle. Grâce au courage de lecteurs et d’amis indignés, ces entraves ont été levées. Mais à peine cette victoire arrachée, voici qu’un nouvel outrage vient frapper un autre bastion de la culture : les Éditions Frantz Fanon, à Boumerdès.
Le Comité de soutien international à Boualem Sansal appelle à deux grandes manifestations de solidarité en faveur de l’écrivain franco-algérien emprisonné depuis le 16 novembre 2024. Ces événements visent à sensibiliser l’opinion publique et à réaffirmer notre engagement en faveur de la liberté d’expression et des droits humains.
Il ne reste plus aux prisonniers politiques et d'opinion en Tunisie que le sacrifice de leurs corps, écrit le Comité pour le respect des libertés et des droits de l'homme en Tunisie (CRLDHT).
Sans doute les reconnaitrez-vous sur la photo que j’ai eu le plaisir de prendre récemment avec eux. Ce sont deux amis venus de Kabylie, tout comme moi : Hakim Arezki et Larbi Benboudaoud.
Les services de la protection civile ont secouru de nombreuses familles et des dizaines de citoyens, bloqués par la neige et les fortes pluies survenues, samedi soir, dans plusieurs wilayas du centre et de l'est du pays.