
Quelle image plus accablante que celle d’un autobus pourri, rouillé, hors d’âge, continuant à circuler et à tuer en plein Alger ? Ces véhicules qui devraient être des instruments de mobilité et de lien social sont devenus des cercueils ambulants. Et dire qu'on est dans un pays où les dirigeants se piquent de chiffres de croissance à faire pâlir les plus brillants économistes !