Auteur/autrice : La Rédaction

Le poker, ce jeu de cartes stratégique qui a conquis le monde entier, connaît une popularité croissante en Algérie. Autrefois considéré comme un simple passe-temps, il est désormais perçu comme un véritable phénomène social. Des tournois locaux aux plateformes de poker en ligne, les Algériens sont de plus en plus nombreux à se laisser séduire […]

Dieu a dû sourire à l’annonce du Goncourt pour Kamel Daoud, comme il sait toujours le faire lorsque deux êtres s’aiment et s’étreignent. Les prophètes ont dû  se prosterner à l’annonce du Goncourt pour Daoud, comme ils savent toujours le faire lorsque les hommes libres dressent leur plume dans le récit noir des victimes des fous d’Allah pour faire éclater la lumière.

La vidéo d’une jeune étudiante en sous-vêtements dans la cour de l’université libre de Téhéran fait le buzz depuis samedi 2 novembre au soir. Cette affaire intervient un peu plus de deux ans après la mort de Mahsa Amini pour mauvais respect, ce qui avait provoqué des manifestations violentes à travers le pays.

Au Niger, un convoi de camions transportant des marchandises, en provenance de Lomé via le Burkina Faso, a été attaqué vendredi 1ᵉʳ novembre au Niger par des groupes djihadistes. Ça s'est passé près de Pétèl Kolé, à une trentaine de kilomètres de Téra, dans le Tillabéry. Plusieurs camions ont été incendiés. Une fusillade a éclaté avec les militaires qui escortaient le convoi. Aucun bilan officiel pour le moment.

Le roi d'Espagne Felipe VI et son épouse Letizia se sont rendus dimanche 3 novembre sur les lieux des inondations. Face à la colère des sinistrés, leur visite a été écourtée. À Valence ou à Paiporta, les habitants se plaignent de la lenteur des secours et le chef de l’opposition de droite est monté au créneau contre le gouvernement.

Des files d’attente interminables, des montagnes de papiers, et une attente qui semble sans fin : voilà la réalité des retraités algériens, anciens bâtisseurs de la France d’après-guerre.

Des files d’attente interminables, des montagnes de papiers, et une attente qui semble sans fin : voilà la réalité des retraités algériens, anciens bâtisseurs de la France d’après-guerre.

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