
Il y a, dans notre époque connectée, une étrange symphonie : un brouhaha constant où chacun se croit chef d’orchestre. Les voix se chevauchent, se répondent, s’interrompent, comme un marché où l’on vendrait non pas des fruits, mais des certitudes périmées. On parle de tout et de rien, et surtout de ce qu’on ne connaît pas.