Auteur/autrice : La Rédaction

Le sénateur du tiers présidentiel, l'Amnokal du Tassili N'ajjer, Bakri Ghouma Ben Brahim (fils aîné de l'ex-l'Amnokal, et ancien moudjahid, Brahim Ghouma), a condamné en des termes durs l'attaque aux drones perpétrée, dimanche dernier, par l'armée malienne et  qui a causé la mort de huit cadres dirigeants du  front de libération de l'Azawad (FLA).

Depuis l’avènement de l’« Algérie nouvelle », une question cruciale se pose : la diplomatie algérienne reste-t-elle fidèle à son ambition historique ou s’enferme-t-elle dans un isolement qui freine son influence ?

Le président français Emmanuel Macron a promis jeudi de nommer "dans les prochains jours" un Premier ministre chargé de former un gouvernement "resserré" et "d'intérêt général", dans une allocution aux Français prononcée au lendemain de la censure du gouvernement de Michel Barnier.

Deux nations, deux systèmes politiques, deux héritages différents. Et pourtant, une même respiration saccadée. D'un côté, la France, cette vieille dame démocratique, jadis fière et souveraine, aujourd'hui haletante, peinant à retrouver son souffle dans une cacophonie parlementaire sans fin. De l'autre, l'Algérie, cette jeune république née dans les douleurs de la lutte, figée dans une stabilité de façade, le souffle court sous le poids d'un héritage militaire omniprésent.

On aurait tort de voir dans l’arrestation de Boualem Sansal une simple tentative de rebraquer les projecteurs sur les tensions franco-algériennes ou que Boualem Sansal serait perçu comme une monnaie d’échange avec la France.

En 2024, la France est à la croisée des chemins : après les élections législatives anticipées, un constat s'impose comme une évidence frappante : le pays ne veut plus de leader. Ou du moins, il ne veut plus d'un seul leader. Une sorte de cacophonie démocratique où chacun cherche sa voie, mais personne ne veut en prendre la responsabilité.

Une statue à l'effigie du roi et résistant amazigh Aksel (Koceïla) (640-688) contre l'invasion arabe de l'Afrique du nord a été installée, mardi 3 décembre, dans la commune de Bouhmama, située dans la wilaya de Khenchela.

L'écrivain Kamel Daoud sort du silence. Un mois après avoir reçu le prix Goncourt pour son roman Houris.

Le gouvernement de Michel Barnier, nommé début septembre par Emmanuel Macron sans majorité claire à l'Assemblée nationale, a été censuré par les oppositions de gauche et d'extrême droite ce mercredi 4 décembre dans la soirée, une première en France depuis 1962.

Ces derniers jours, l’Iran connaît une intensification dramatique des exécutions, un signal inquiétant de l’ampleur de la crise politique et sociale qui secoue le pays.