Auteur/autrice : La Rédaction

Dans un communiqué ferme et sans détour, le président du Rassemblement pour la Culture et la Démocratie (RCD), Atmane Mazouz, a vivement réagi au refoulement de Nassera Dutour, militante des droits humains et porte-voix des familles de disparus en Algérie.

Refus de services pour non-port du voile, discrimination linguistique, censure de messages jugés inappropriés… Cette normalisation de l'intolérance, même à bas bruit, pose la question de l'avenir du vivre ensemble dans des villes historiquement ouvertes et cosmopolites comme Setif.

Suite a l'enquête déligentee par les services de l'État compétents de la wilaya de Djelfa,  consécutivement à  une vaste affaire d’intoxication alimentaire,  une décision de fermeture administrative a été prise à l'encontre de douze établissements de restauration ( cafés maures)  dans la commune d’El Birine.

Boualem Bensaïd est le coordinateur de plusieurs attentats qui ont eu lieu en France en 1995. Tant que l’Algérie ne délivrera pas de laisser-passez, il restera en prison en France.

Le gouvernement français a présenté mercredi en conseil des ministres un projet de loi-cadre visant à faciliter la restitution à leur pays d'origine de biens culturels pillés pendant la colonisation. Cette nouvelle loi s'appliquera en priorité aux pays africains.

Le refoulement récent de Nassera Dutour, présidente du Collectif des familles de disparu(e)s en Algérie (CFDA), à la frontière de son propre pays, constitue une grave violation des droits fondamentaux. Mais ce n'est pas une première. Farid Alilat, journaliste algérien, a lui aussi été refoulé à l'aéroport d'Alger, il y a quelques mois.

Nassera Dutour, présidente du collectif des familles de disparus, a été refoulée ce jeudi d’Algérie par les autorités algériennes, avons-nous dans un communiqué, rendu public ce même jour.

La sortie très attendue du film "Ben M'hidi", consacrée à cette figure emblématique de la Révolution algérienne, pourrait bien être compromise encore une fois, comme le regrette son réalisateur Bachir Derraïs.

Alors qu'elle s'était mise en retrait du champ politique depuis le coup de force du président Kaïs Saïed le 25 juillet 2021, la principale centrale syndicale tunisienne a décidé de monter au créneau à l'occasion d'un mouvement de grève déclenché dans les transports publics. Lancée mercredi 30 juillet, la mobilisation doit durer jusqu'au vendredi 1er août.

Trois ans après sa brutale éviction, l’ancien chef du gouvernement tunisien Hichem Mechichi sort enfin du silence. Dans une déclaration relayée le 29 juillet 2025 par Rassd Tunisia, il revient sur les coulisses du 25 juillet 2021, qualifiant les faits d’« injustifiables » et de « coup d’État ».