
Une arène de taureaux fous que cette scène littéraire algérienne. De la testostérone qui gicle de partout. Des coups de langues et de poings qu’ils s’envoient comme des captives dans un harem. De qui est le plus grand scribe et crabe de la galaxie des mots. De qui se range le mieux sous la botte ou le mocassin.









