
Le dossier judiciaire de la présidente du Parti destourien libre (PDL), Abir Moussi, continue d’alimenter la controverse à Tunis. Vendredi soir, la chambre criminelle du tribunal de première instance a décidé de reporter l’examen de son affaire dite du “Bureau d’ordre” au 14 novembre 2025, sans statuer sur son statut juridique. Une décision qui, pour ses avocats, prolonge une situation d’arbitraire déjà dénoncée par plusieurs ONG, dont Amnesty International.