La manière dont les médias algériens rendent compte quotidiennement de la vie publique révèle, si besoin en est encore, l'énorme hiatus et l'abîme qui les sépare de la société qu'ils sont censés servir.
Auteur/autrice : La Rédaction
L'État français et le pouvoir algérien, bien que tous deux exercent une autorité sur leur territoire, incarnent des logiques profondément différentes dans leur construction et leur pérennité.
Plus de trente personnes ont été inculpées et écrouées cette semaine en Turquie pour avoir protesté contre la destitution de trois maires pro-kurdes du sud-est du pays accusés de « terrorisme », a annoncé, ce dimanche 10 novembre, le ministère turc de l'Intérieur.
À l'occasion de la présentation de son spectacle, (Le fil rouge), au Théâtre nationale algérien (TNA) et au Théâtre Kateb Yacine de Tizi Ouzou, Elisa Biagi, comédienne et petite-fille, de l'officier de l'ALN, Yaha Abdelhafid évoque son parcours et ses différentes expériences dans le théâtre et le cinéma et parle des raisons qui l'ont conduite à l'écriture de cette pièce.
Dans certains États, particulièrement ceux où l'indépendance a été acquise par la lutte armée contre le colonialisme, la souveraineté nationale, chèrement obtenue, est paradoxalement devenue le terreau d'un pouvoir autocratique, bureaucratique et corrompu.
L’absence des démocrates sur la scène politique algérienne, et ce qui s’apparente à une fuite de l’arène des affrontements idéologiques qui font rage actuellement, nous interpelle à plus d’un titre.
Gelés suite à la crise diplomatique de l’été 2022 consécutive à la reconnaissance par le gouvernement espagnol de la souveraineté marocaine sur le Sahara occidental, les échanges commerciaux entre l’Algérie et l’Espagne viennent d’être officiellement normalisés. Le coup de sang de Tebboune et ses parrains n’aura pas duré devant l’importance des échanges économiques avec Madrid. Le 6 […]
Séduit et abandonné. Voilà le sort auquel est réduit le FFS qui découvre à ses dépens que le pouvoir auquel il a donné sa caution en acceptant de l'accompagner, en septembre, dans une présidentielle biaisée, ne peut s'amender et se départir de ses pratiques liberticides et de sa gestion policière de la société.
Certains artistes laissent une empreinte indélébile au-delà de leur art, et Zinedine Zebar était de ceux-là. Photographe engagé et passionné par l'Algérie, il nous a quittés le 8 novembre 2020, emporté par la Covid-19 à l'âge de 63 ans. Quatre ans après sa disparition, son œuvre continue d’inspirer et de rappeler la profondeur de son regard sur son pays.
Plus de soixante ans après l’indépendance, le pays demeure sous la coupe d’un régime autoritaire masqué derrière une démocratie trompeuse.