
Le dire aussi clairement que modestement, c’est s’épargner les critiques qui pourraient venir de ceux dont les soucis majeurs sont la surenchère, la démagogie, le populisme, réflexes propres au sujet moderne obsédé par les progrès techniques qui auraient « sauvé » l’humain de ses errances idéologiques et des sens qu’il devrait retenir de ce qu’il a vécu dans une terreur ressentie comme syndrome d’une existence standardisée (être, c’est déjà problématique, et ceux qui cherchent le bonheur seraient ridicules, voire vicieux), c’est-à-dire une plateforme sacralisant les droits acquis passivement par l’humain : le droit à la mort, le droit à l’oubli, le droit à l’effort, etc.