A trois jours de la fin de l'année 2024, la région de Boumerdés a enregistré une enième tragédie de la migration clandestine, ont annoncé des sources concordantes à Boumerdes.
Auteur/autrice : La Rédaction
L'écrivain et journaliste Youssef Zirem recevra mardi 31 décembre Atmane Mazouz, le président du RCD, à son café littéraire.
Les propos d'Abdelmadjid Tebboune, qualifiant Boualem Sansal d'"imposteur" et de personne qui "ne connaît pas son identité, ne connaît pas son père" sont d'une trivialité choquante. Ils ne devraient pas être prononcés par un homme public.
Alors que la plupart des autres occupants du poste ont effectué deux mandats consécutifs, Jimmy Carter n’a remporté qu’une seule élection présidentielle américaine, en 1976. Après quatre années compliquées à la Maison Blanche, il passe plus de trois décennies à sillonner le monde et à œuvrer pour la paix.
Abdelmadjid Tebboune a fait des déclarations particulièrement odieuses et grave sur Boualem Sansal arrêté le 16 novembre et placé en détention provisoire. Comment on en est arrivé qu’un chef de l’Etat s’en prend ainsi à un prisonnier d’opinion incapable de se défendre ? Abdelmadjid Tebboune a déclaré au sujet de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal : […]
Des dizaines de membres de l’armée du régime syrien déchu, dont des officiers, ont été arrêtés au Liban ces derniers jours et remis aux nouvelles autorités de Damas. Selon des informations concordantes, de hauts responsables de l’ancien régime ont trouvé refuge au Liban ou transité par Beyrouth vers d’autres destinations. Parmi eux, l’oncle de Bachar el-Assad, Rifaat al-Assad, et deux de ses collaborateurs.
Dans un monde où l'incertitude semble être devenue une norme, la question reste : à qui profite le flou ? À une époque où la vérité est malléable et où l’ambiguïté règne, une certitude persiste : les "maîtres de l'ombre" tirent les ficelles. Mais qui sont ces architectes de la confusion ?
Alors qu'on s'approche de 2025, la promesse d'un avenir radieux semble aussi crédible qu'un ticket de loto gagnant dans un système où les seuls numéros qui comptent sont ceux de la cooptation, de la corruption et du charlatanisme.
Faire la rétrospective de l'année 2024, c'est dérouler la trame d'une actualité algérienne trop anxiogène pour les Algériens qui ne savent plus où donner de la tête.
À chaque grande finale, son bouquet de surprises. Pour Emmanuel Macron, en quête d'un héritage solide à l'approche de la fin de son mandat, la nomination de Gérald Darmanin au poste de garde des Sceaux dans un gouvernement piloté par François Bayrou ressemble à une ultime pirouette politique.