
La relance du débat, par notre premier ministre, sur l’immigration en France, nécessite que l’on s’y mêle davantage en dressant un bilan analytique de l’intégration et de l’immigré en général, de l’Algérien, en particulier, car, ne nous leurrons pas, c’est la communauté qui semble poser le plus de problèmes, avec ces vagues de distorsion Salafistes qui ne cessent de pousser çà et là sur le territoire de l’Hexagone et que nous ne cessons de dénoncer sur ces colonnes.