
Les langues commencent à se délier sur les drames et les massacres infligés aux Algériens durant les années de braise (*). Si tous les survivants, d’un côté comme de l’autre, faisaient l’effort de raconter ce qu’ils ont subi et fait subir, nous aurions de quoi combler toutes les lacunes historiques qui ne font que rajouter de l’incompréhension à l’incompréhension.








