
Le but de cette chronique (*) est d'attirer une fois de plus l'attention de nos dirigeants de haut rang, en particulier le chef de l'Etat, Abdelmadjid Tebboune, sur l'irresponsabilité de remplacer le français par l'anglais dans les écoles en un temps record. Qui diable est en charge du destin du pays pour se permettre d'exacerber la catastrophe dans un domaine aussi sensible que l'éducation ?