
Faut-il d’autres dépositions, d’autres témoignages que ce bref résumé, pour appréhender le drame et la souffrance endurée par nos deux comparses ? Comment ne pas s’étonner du fait que Ali et Omar n’ont été reconnus victimes de guerre par la France qu’une fois devenus grands-pères ? L’Algérie quant à elle ne les a jamais dédommagés en conséquence.