
Avec La Fertilité du mal d’Amara Lakhous (Actes Sud) et La Fin du Sahara de Khatibi Saïd (Gallimard), deux romans traduits par Lotfi Nia, c’est une Algérie fracturée, hantée par ses non-dits et ses renoncements, qui s’écrit. Deux récits noirs où l’Histoire rattrape les corps, les villes et les consciences.