Publié le 2 septembre 2025 aux Éditions Hors d’Atteinte, Avec ma tête d’Arabe est le premier roman dans lequel Aïda Amara remonte le fil de sa lignée pour affronter un traumatisme longtemps enfoui : celui des attentats du 13 novembre 2015.
Publié le 2 septembre 2025 aux Éditions Hors d’Atteinte, Avec ma tête d’Arabe est le premier roman dans lequel Aïda Amara remonte le fil de sa lignée pour affronter un traumatisme longtemps enfoui : celui des attentats du 13 novembre 2015.
Publié le 19 novembre 2024 aux éditions Books On Demand, le roman Au-delà du plaisir de Daphné Ewin invite le lecteur à pénétrer dans un univers où psyché humaine, désirs et rapports de pouvoir se croisent et se confrontent.
Publié le 19 novembre 2024 aux éditions Books On Demand, le roman Au-delà du plaisir de Daphné Ewin invite le lecteur à pénétrer dans un univers où psyché humaine, désirs et rapports de pouvoir se croisent et se confrontent.
Publié par Casterman le 10 septembre 2025, Ces lignes qui tracent mon corps est un roman graphique où Mansoureh Kamari livre une œuvre d’une intensité rare. Entre mémoire intime et dénonciation des violences faites aux femmes, son trait raconte un combat : celui d’une femme iranienne qui se reconstruit à travers l’art.
Dans La voix de mon père, l’écho de ma mère, publié le 24 juillet 2025 dans la collection Graveurs de Mémoire, Gnadang Ousmane tisse un récit intime où l’histoire familiale rejoint la mémoire collective. Née en France et ayant grandi au Tchad, elle écrit depuis cet entre-deux fécond où se mêlent héritages, douleurs et espérances.
Dix ans après la disparition d’Assia Djebar, figure majeure de la littérature algérienne francophone, son œuvre continue de marquer les esprits et de traverser les générations.
Lors de la Foire internationale de Marseille, sur le stand de l’Algérie, nous avons rencontré Chaïma Bencharef, apicultrice passionnée et fondatrice de la marque Bee Royal.
Avec Irina, un opéra russe, paru le 22 août 2025 aux Éditions Emmanuelle Collas, Anouar Benmalek signe une œuvre où la mémoire, la douleur et l’exil s’entrelacent comme des fils invisibles d’une tragédie humaine. À travers Irina et Walid, il explore les tumultes de l’histoire russe et les fragilités de l’existence, où l’amour devient refuge et la fiction, un espace de liberté.
Nous avons rencontré Abed Abidat pour la première fois à la librairie Transit, à Marseille, lors de la présentation de son livre 8 Mai 1945. L’émotion et la rigueur de son regard m’avaient alors frappé : une photographie ancrée dans la mémoire, nourrie d’une conscience historique aiguë.