Pour sa 9e édition, le festival littéraire Oh les beaux jours !, qui se déroulera du 27 mai au 1er juin à Marseille, continue d’affirmer son engagement pour une littérature ouverte, inclusive et profondément ancrée dans la diversité des cultures.
A Sétif, l’Université Ferhat Abbas 1 s’apprête à accueillir lundi 12 mai une rencontre de haut niveau intitulée « Trame verte et commodités urbaines : vers une ville durable et résiliente ».
La scène artistique tunisienne est en deuil. Le rappeur et acteur Ahmed Laabidi, plus connu sous le nom de Kafon, est décédé ce samedi 10 mai 2025, à l’âge de 42 ans, après une longue lutte contre la maladie.
À peine élu 267e évêque de Rome, le pape Léon XIV s’est présenté au monde avec des mots qui résonnent particulièrement fort pour l’Afrique du Nord. « Je suis un fils de saint Augustin », a-t-il déclaré, depuis la loggia centrale de la basilique Saint-Pierre, devant une foule de plus de 100 000 fidèles.
L’histoire des peuples ne s’écrit pas seulement avec les dates et les batailles, mais avec les voix qui portent la mémoire, les âmes qui veillent sur les racines et les cœurs qui refusent l’oubli. Dans les Aurès, terre indomptée et berceau de luttes, cette mémoire amazighe a toujours trouvé des hommes et des femmes pour la défendre avec courage et constance.
Le 8 mai 2025, à Martigues, une stèle a été inaugurée en mémoire des Algériens tués lors des massacres de 1945 dans le Constantinois. Un geste symbolique, certes, mais qui met en lumière une mémoire longtemps enfouie.
Par une fin d'après-midi douce et partiellement couverte, le 8 mai 2025, la Porte d’Aix à Marseille s’est muée en une place de mémoire et de dignité. Là, où la pierre murmure encore les échos des exils et des luttes, une foule s’est rassemblée pour commémorer les 80 ans des massacres coloniaux de Sétif, Guelma et Kherrata.
Trente ans après avoir fui l’Algérie, Leïla Marouane continue de prêter sa plume à ceux que l’on voudrait faire taire. Avec Lettres d’Algérie, son dernier roman paru le 12 mars 2025 (Éditions Abstractions, broché), l’écrivaine franco-algérienne offre une plongée saisissante au cœur des années 90, cette « décennie noire » qui a laissé des cicatrices profondes dans la mémoire collective.
C’est au théâtre Azzedine-Medjoubi d’Annaba, par une matinée tiède d’avril 2025, que mes pas m’ont conduit vers elle. En ce mois du patrimoine, les artisans avaient déployé leurs merveilles comme autant de fragments d’un passé vivant.
L’Institut Euro-Méditerranéen d’Algérie (IEMA) a eu l’honneur d’accueillir M. Augustin Joiris, Directeur de l’Institut Eco-Conseil ASBL de Namur (Belgique), à l’occasion de la signature officielle d’un accord-cadre de partenariat entre les deux institutions.