
La mémoire des premiers maquis algériens demeure fragmentaire, souvent éclipsée par les grandes narrations officielles de la guerre d’Indépendance. Pourtant, c’est dans le tumulte des montagnes des Aurès-Nememcha, entre gorges escarpées et forêts impénétrables, que s’est levée, en novembre 1954, la première étincelle de l’insurrection.