
Avec Raï Love, Atfa Memaï donne la parole à une Algérie souvent tue, celle des blessures secrètes, des silences familiaux et des mémoires éclatées. Sans prénom, la narratrice incarne cette génération qui a grandi à l’ombre de la « décennie noire », un passé douloureux que beaucoup ont tenté d’oublier ou d’effacer.