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Signature d’une convention de coopération entre l’USTHB et la société « China Harbour Engineering »

ALGER - Une convention de Coopération a été signée mardi entre l'Université des Sciences et de la Technologie Houari-Boumediene (USTHB) et la société "China Harbour Engineering", en vertu de laquelle les étudiants bénéficieront de formations et de stages au sein de cette entreprise chinoise. Ce partenariat qui s'inscrit dans le cadre de la stratégie adoptée par le secteur de l'enseignement supérieur vise à "s'ouvrir sur le secteur économique et à préparer les diplômés de l'université à la vie professionnelle", a souligné à cette occasion le recteur de l'université, M. Djamel Eddine Akretche, rappelant un précédent partenariat entre l'USTHB et cette entreprise dans le domaine du génie civile. En vertu de cette convention, la société "China Harbour Engineering" s'engage à "assurer des formations et des stages au profit des étudiants de l'USTHB, notamment ceux qui s'apprêtent à soutenir leurs projets de fin d'étude supervisés par la China Harbour Engineering". Pour sa part, le directeur général de la société chinoise Yingguang Sun, a salué les relations historiques entre son pays et l'Algérie", mettant en avant l'importance de ce partenariat avec l'université algérienne qui viendra consolider ces relations bilatérales privilégiées. Il a par ailleurs, rappelé que la société "China Harbour Engineering", présente en Algérie depuis 18 ans, supervisait une vingtaine de projets dans divers secteurs, indiquant que de tels partenariats permettront de former une main-d'œuvre algérienne qualifiée, notamment les techniciens, afin de contribuer à la réalisation de ces projets.
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Les syndicats de l’éducation saluent l’approbation par le Conseil des ministres du statut particulier des fonctionnaires des corps du secteur

ALGER - Plusieurs syndicats du secteur de l'éducation ont salué l'approbation, lors de la réunion dimanche du Conseil des ministres, présidée par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, du projet de loi portant statut particulier des fonctionnaires des corps du secteur, la qualifiant de jalon à même de renforcer le statut de l'enseignant et de garantir la stabilité du secteur de l'éducation. Dans ce cadre, le président de l'Union nationale des personnels de l'éducation et de la formation (UNPEF), Sadek Dziri, s'est félicité de l'approbation de ce statut particulier par le Conseil des ministres, visant à amorcer "une nouvelle étape" dans le secteur. Pour M. Dziri, ce texte "comporte de nombreux points positifs, en tête desquels le principe de définition des missions de tous les corps et grades, la réduction du volume horaire pour les enseignants" et "la possibilité de bénéficier d'une réduction de 3 à 5 ans de l'âge de départ à la retraite", outre "la création de nouveaux grades pour améliorer la situation des corps lésés, tels que les conseillers d'orientation et les personnels de la restauration scolaire". Dans le même ordre d'idées, le coordinateur national du Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l'éducation (CNAPESTE), Messaoud Boudiba, a estimé que l'approbation de ce texte constitue "un pas positif qui reflète l'engagement à honorer les promesses". "Tant que la teneur de ce texte est positive et répond aux attentes des fonctionnaires, cela ne peut que servir la stabilité du secteur", a-t-il dit. De son côté, le président du bureau national du Syndicat national autonome des Conseillers de l'Education (SNACE), Said Ferradji, s'est félicité de l'approbation de ce texte, qui vient, selon lui, confirmer "l'engagement du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à honorer ses promesses ainsi que l'intérêt permanent qu'il porte à ce secteur sensible". Il a, dans ce cadre, souligné l'''impératif de réaliser la complémentarité et d'accorder une attention particulière à toutes les catégories composant la communauté éducative, qu'il s'agisse de la carrière professionnelle ou de la situation sociale". Le Conseil des ministres avait approuvé, dimanche, en réunion présidée par le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, le statut particulier des fonctionnaires du secteur de l'éducation nationale. A cette occasion, le président de la République a félicité la corporation éducative à l'occasion de l'achèvement de l'élaboration de cette loi tant attendue, conformément à son engagement à préserver le prestige scientifique et social de cette corporation, étant considérée comme l'âme de la société et la première soupape de sécurité pour l'avenir de la nation.
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Médecine nucléaire: renforcer le système de santé en utilisant les technologies de pointe

ALGER - Le ministre d'Etat, ministre de l'Energie, des Mines et des Energies renouvelables, Mohamed Arkab, a affirmé, samedi à Alger, que l'Algérie était pleinement consciente de l'importance d'utiliser les applications pacifiques de l'énergie nucléaire dans le domaine médical, ajoutant que ces applications ont un rôle pivot dans l'amélioration de la prise en charge de certaines maladies comme le cancer, et le renforcement du système de santé, grâce aux technologies de pointe. A l'ouverture des travaux de la première Conférence internationale sur la médecine nucléaire, M. Arkab a souligné, dans une allocution prononcée en son nom par le secrétaire général du ministère, Abdelkrim Aouissi, que l'Algérie était engagée à promouvoir l'utilisation pacifique de l'énergie nucléaire dans le secteur de la santé, notamment dans les domaines de la médecine nucléaire, à l'instar de la radiothérapie et de l'imagerie médicale, précisant que ces applications "ont un rôle pivot dans l'amélioration de la prise en charge de certaines maladies comme le cancer, et le renforcement du système de santé grâce aux technologies de pointe". "L'Algérie est pleinement consciente de l'importance d'utiliser les applications pacifiques de l'énergie nucléaire dans le domaine médical, en veillant au strict respect des normes internationales", de même qu'elle œuvre au renforcement de son rôle régional dans l'utilisation responsable de la technologie nucléaire comme outil d'appui au développement durable", a-t-il indiqué. "L'Algérie investit d'importantes ressources financières et humaines dans le développement de la médecine nucléaire, à travers la création et l'exploitation d'infrastructures spécialisées, à l'instar des centres de recherche nucléaire de Draria (Alger) et de Birine (Djelfa) pour la production locale d'isotopes médicaux radioactifs, ainsi que la modernisation des structures médicales, l'acquisition d'équipements sophistiqués et la formation d'experts en collaboration avec les instances internationales, notamment l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)", a poursuivi le ministre. Malgré les défis liés aux coûts des infrastructures et au manque de compétences qualifiées, selon M. Arkab, l'Algérie poursuit ses efforts pour garantir l'accès aux soins de santé reposant sur la technologie nucléaire, tout en réduisant sa dépendance aux importations, afin d'atteindre une autonomie nationale dans ce domaine stratégique. Et d'ajouter que "l'Algérie aspire à renforcer son rôle d'acteur régional, à travers le partage de son expertise et la mise à disposition de ses infrastructures pour la formation dans le domaine de la médecine nucléaire au profit des pays voisins, contribuant ainsi au renforcement de la coopération régionale et internationale visant à améliorer l'accès aux traitements anti-cancer dans les pays à revenu faible et intermédiaire". Le ministre a, par ailleurs, rappelé que le choix de l'Algérie comme pôle abritant des centres d'excellence dans le cadre de l'initiative Rayons d'espoir (Rays of Hope +RoH+) de l'AIEA vient attester la compétence de son infrastructure et de son expertise en matière des techniques de médecine nucléaire, affirmant que cette initiative consolide les efforts de l'Algérie, non seulement pour améliorer la prise en charge des maladies graves, mais aussi pour favoriser l'autonomie régionale en matière de technologies médicales. Concernant la conférence, organisée par l'Association algérienne de médecine nucléaire (AAMN), le Commissariat à l'énergie atomique (COMENA), et l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), sous le patronage du ministère de l'Energie, des Mines et des Energies renouvelables, et du ministère de la Santé, en présence du Secrétaire général du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, du Chef de cabinet du ministère de la Santé, du président de l'Autorité nationale de sûreté et de sécurité nucléaires, du Commissaire à l'énergie atomique, du président de l'Observatoire national de la société civile (ONSC), ainsi que d'experts algériens et étrangers (Belgique, France, Jordanie, Turquie et Suisse), M. Arkab a expliqué que cet événement constituait "une occasion précieuse pour échanger les expériences et renforcer les compétences dans le domaine de la médecine nucléaire, contribuant ainsi à la préservation de la santé publique et à la garantie de l'accès des patients aux soins nécessaires". Il a souligné que l'engagement de l'Algérie dans l'organisation et la réussite de telles manifestations scientifiques s'inscrivait dans le cadre de la politique nationale judicieuse, sous la haute direction du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, visant à soutenir les investissements dans les utilisations pacifiques de l'énergie nucléaire, notamment dans le domaine de la santé, précisant que ces efforts reposent sur une vision stratégique visant à réaliser le développement économique et technologique tout en exploitant les ressources énergétiques de manière optimale. Le ministre a affiché son ambition de voir la conférence atteindre ses objectifs et aboutir à des recommandations constructives à même de contribuer au développement du domaine de la médecine nucléaire. De son côté, le Commissaire à l'énergie atomique, M. Abdelhamid Mellah, a salué, dans son intervention, le rôle stratégique joué par son organe, notamment dans le renforcement des applications de médecine nucléaire et le développement des compétences, mettant en avant le partage de l'expérience de l'Algérie à travers l'accueil de stagiaires venant de plusieurs pays. Le président de l'ONSC, M. Noureddine Benbraham, a, quant à lui, appelé à l'implication de la société civile dans l'application de la médecine nucléaire, contribuant à sauver des vies, dans le cadre de la promotion de l'égalité sociale et l'accès aux soins pour tous. Le directeur général adjoint de l'AIEA, Hua Liu, a loué, dans un enregistrement vidéo, le rôle de l'Algérie dans le développement du système de santé au niveau national et continental, saluant les efforts de l'Algérie dans la formation des praticiens en médecine nucléaire. Pour sa part, le président de l'AAMN, Imad Eddine Ghedbane, a fait savoir que cette conférence vient en conformité avec les recommandations des hautes autorités du pays, notamment du président de la République, qui accorde une grande importance à la prise en charge des patients atteints de cancer et au développement du système de santé. Il a précisé que cet événement, qui permettra l'échange d'idées sur des sujets essentiels à l'instar du diagnostic nucléaire des maladies cardiaques, l'Intelligence artificielle (IA) en médecine nucléaire, la réglementation et la pharmacie nucléaire, ainsi que le traitement diagnostic nucléaire, offre l'opportunité de coordonner les efforts entre les secteurs public et privé, de promouvoir la médecine nucléaire comme carrière professionnelle sérieuse et prometteuse, ainsi que pour améliorer l'efficacité des services de médecine nucléaire et soutenir ses activités.
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Constantine: conventions entre l’Agence nationale des produits pharmaceutiques, le groupe Saidal et des structures universitaires

CONSANTINE - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, et le ministre délégué auprès du ministre de l'Industrie, chargé de la Production pharmaceutique, Fouad Hadji, ont présidé samedi à Constantine, la signature de conventions de coopération entre l'Agence nationale des produits pharmaceutiques, le groupe Saidal et des structures universitaires nationales. Concernant ces dernières, il s'agit des facultés de médecine de plusieurs universités du pays, du Centre de recherche en biotechnologie (CRBT) et du Centre de recherche en sciences pharmaceutiques (CRSP), l'objectif étant de promouvoir la recherche scientifique et de former des ressources humaines qualifiées dans des spécialités spécifiques. Ces conventions ont été signées aux sièges de l'Agence nationale des produits pharmaceutiques et du Centre de recherche en sciences pharmaceutiques, dans la circonscription administrative d'Ali Mendjeli, dans le cadre du suivi des efforts visant à mettre en place un système de contrôle efficace basé sur des fondements scientifiques et technologiques avancés, en conformité avec les normes internationales, ainsi qu'à soutenir la tendance vers l'innovation et la qualité, a-t-on indiqué. Constantine connaît " une véritable renaissance économique dans laquelle l'industrie pharmaceutique occupe une place importante, ce qui en fait un pôle pharmaceutique d'excellence au niveau national ", a déclaré M. Hadji au cours des séances de signature. "Ces conventions reflètent l'engagement de l'Etat à garantir l'efficacité et la qualité des produits pharmaceutiques et des équipements médicaux ", a-t-il ajouté, notant que cette " étape qualitative " vise à " renforcer la relation entre les fabricants et les importateurs activant dans le secteur pharmaceutique ". Aux termes de la convention, l'agence enregistrera, au niveau de son secteur de compétence (16 wilayas), les médicaments et produits pharmaceutiques, et certifiera les équipements médicaux de 53 entreprises de fabrication et de 74 entreprises d'importation. La mise en place de passerelles entre les universités, les centres de recherche scientifique et l'industrie pharmaceutique " constitue une étape stratégique " visant à faire de l'Algérie " un pôle de biotechnologie ", selon M. Hadji, qui a ajouté que cet " ambitieux projet permettra un saut qualitatif dans l'industrie pharmaceutique, grâce à la recherche et à un développement réel, à même d'aboutir à la production de nouveaux médicaments 100 % algériens ". Le renforcement de la " souveraineté sanitaire " dans notre pays s'inscrit dans le cadre des directives du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui accorde la plus haute importance à cette question, par l'ouverture de perspectives prometteuses pour le développement de l'investissement, l'amélioration de la qualité des produits pharmaceutiques fabriqués localement et la promotion des exportations hors hydrocarbures, a encore indiqué le ministre délégué, chargé de la Production pharmaceutique. De son côté, M. Baddari a considéré que cette coopération constitue " saut qualitatif qui mettra efficacement à contribution la recherche scientifique et le développement technologique, d'une part, et le secteur industriel et les investisseurs, d'autre part, pour un partenariat gagnant-gagnant à même de déboucher sur la production du médicament de demain ". Le ministre a fait référence, dans ce contexte, aux engagements du président de la République d'accélérer le rythme de la production pharmaceutique et de réaliser la sécurité sanitaire, en maintenant l'indépendance et le leadership de notre pays dans le Maghreb et en Afrique au cours des deux prochaines années dans le domaine des technologies de précision en vue de produire le médicament d'aujourd'hui et de demain.
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Poste: installation de 600 DAB à partir de janvier 2025

ALGER - Le ministre de la Poste et des Télécommunications, Sid Ali Zerrouki, a annoncé, jeudi à Alger, l'installation de 600 distributeurs automatiques de billets (DAB), à l'échelle nationale à partir de janvier 2025. Lors d'une plénière à l'Assemblée populaire nationale (APN) consacrée aux questions orales, le ministre a affirmé que "le réseau postal, y compris les structures fixes et mobiles, sera élargi notamment dans les régions isolées, à travers l'installation, dès janvier 2025, de 600 DAB", ajoutant que "cette opération s'étalera sur trois mois afin de répondre aux besoins des citoyens et de moderniser les distributeurs sujets aux pannes". Dans ce cadre, le ministre a indiqué "qu'il sera procédé à la mise en service de plus de 60 bureaux de poste mobiles disponibles, au niveau desquels seront installés de nouveaux distributeurs automatiques". Concernant la couverture de téléphonie mobile, M. Zerrouki a précisé que les trois opérateurs mobiles (Mobilis, Djezzy et Ooredoo) s'attellent à mettre en place des plans pour "répondre aux exigences minimales d'une bonne couverture dans les régions où le nombre d'habitants s'élève à 2000, conformément à un calendrier précis". A ce propos, il a souligné que les trois opérateurs comptent "élargir le réseau et améliorer sa qualité" sur l'ensemble du territoire national, à travers des investissements ayant permis l'élargissement des stations de base et le déploiement de la 4G dont la couverture touche désormais 85% de la population". Par ailleurs, le nombre des abonnés à la téléphonie mobile au niveau national "s'élèvent à plus de 49 millions selon le dernier rapport de l'Autorité de régulation de la Poste et des Communications électroniques (ARPCE)", a fait savoir le ministre. Il a affirmé également que son département ministériel continue d'accompagner les opérateurs de téléphonie mobile "pour améliorer la couverture en internet et en téléphonie mobile, notamment par la mise à disposition de bandes de fréquences supplémentaires".
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Signature de conventions de partenariat entre les antennes de la NESDA et 12 instituts de formation professionnelle

ALGER - Des conventions de partenariat ont été signées entre les antennes de l'Agence nationale d'appui et de développement de l'entrepreneuriat (NESDA) à Alger et douze (12) instituts de formation professionnelle de la capitale pour encourager les stagiaires et les diplômés de ces établissements à accéder au monde de l'entrepreneuriat et à créer leurs micro-projets. Ces conventions ont été signées entre les antennes de la wilaya "Alger-Sud", "Alger-Ouest", "Alger-Est" et "Alger-Centre", en application de la convention-cadre signée, octobre dernier, entre la NESDA et le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels portant création de centres de développement de l'entrepreneuriat au niveau des instituts relevant du secteur à travers le territoire national, l'objectif étant d'assurer aux diplômés porteurs de projets et d'idées l'accompagnement et l'appui financier nécessaires. Les conventions ont été signées en marge d'une journée de sensibilisation au profit des stagiaires de la formation professionnelle, sous le slogan "Entrepreneuriat: défi et opportunités", organisée au siège de la Direction générale de la NESDA. La journée de sensibilisation a porté sur les principales procédures à suivre par les porteurs de projets dans le cadre du dispositif NESDA, ainsi que les conditions de financement. Dans son allocution à cette occasion, la directrice de l'antenne "Alger-Sud", Hanane Bouhafs a rappelé que cette manifestation intervient dans le cadre des efforts de la NESDA en vue de faire connaitre son nouveau système, après sa révision globale visant à améliorer sa performance et à traiter les insuffisances enregistrées. Et d'ajouter que cette action de sensibilisation qui a touché, dans un premier temps, les universités, cible cette fois-ci les instituts de formation professionnelle, étant un des principaux secteurs fournissant un grand nombre de porteurs de projets. Le nouveau système de la NESDA repose sur l'accompagnement par la formation comme condition essentielle pour bénéficier d'un appui financier, selon Mme Bouhafs qui affirme que "le lancement des projets suivant des méthodes scientifiques et étudiés assurera aux jeunes réussite et continuité". D'après les chiffres de la NESDA, le taux de réussite chez les porteurs de projets ayant reçu une formation avant le lancement de leurs projets dépasse les 80%, contrairement aux jeunes n'ayant pas suivi de formation, souligne la directrice de l'antenne "Alger-Sud".
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Nécessité de réduire les délais d’enregistrement des produits pharmaceutiques et d’accélérer la numérisation de l’opération

ALGER - Le ministre délégué auprès du ministre de l'Industrie, chargé de la Production pharmaceutique, Fouad Hadji, a souligné la nécessité de réduire les délais d'enregistrement des produits pharmaceutiques et d'accélérer la numérisation de l'opération, a indiqué mercredi un communiqué du ministère de l'Industrie et de la Production pharmaceutique. Lors d'une visite d'inspection effectuée, mardi, à l'Agence nationale des produits pharmaceutiques (ANPP), M. Hadji a donné des instructions "à l'effet de réduire les délais d'enregistrement des produits pharmaceutiques et d'accélérer la numérisation de l'opération pour en garantir la transparence, conformément aux orientations du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui accorde une importance capitale aux dossiers de la disponibilité des médicaments et de la numérisation", précise le communiqué. Le ministre délégué a également insisté sur la sensibilisation, notamment à travers l'organisation de portes ouvertes sur l'Agence nationale des produits pharmaceutiques, en veillant à médiatiser de telles actions afin de sensibiliser à l'importance du respect des normes de qualité, selon la même source. Lors de sa visite, M. Hadji s'est enquis des activités de l'agence et des entraves rencontrées en vue de trouver des solutions efficaces et rapides à même de garantir l'amélioration de la qualité des médicaments et des dispositifs médicaux sur le marché algérien, conclut le communiqué du ministère.
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L’Algérie s’engage à offrir 2.500 bourses d’études et de formation aux étudiants africains et à ouvrir une banque dédiée à l’éducation

NOUAKCHOTT - Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a souligné, mardi à Nouakchott (Mauritanie), l'engagement de l'Algérie à offrir annuellement 2.000 bourses d'études dans l'enseignement supérieur et 500 bourses dans la formation professionnelle aux étudiants africains, et à ouvrir une banque dédiée à l'éducation en Afrique. Dans une allocution prononcée lors de sa participation aux travaux de la Conférence continentale sur l'éducation, la jeunesse et l'employabilité, qui se tient en République islamique de Mauritanie, le président de la République a précisé que le nombre d'étudiants africains en Algérie "avoisine les 6.000 étudiants, soit 6.000 bourses d'études", réaffirmant l'engagement de l'Algérie à "offrir annuellement 2.000 bourses d'études dans l'enseignement supérieur et 500 bourses dans la formation professionnelle aux étudiants africains". "Partant de l'esprit authentique de sa politique extérieure reposant sur la priorité attachée à la solidarité africaine", l'Algérie "n'a ménagé aucun effort pour contribuer au développement de l'éducation, de l'enseignement et de la formation dans le continent, accueillant des étudiants de différents pays africains frères dans ses universités, instituts de formation et centres d'apprentissage", a affirmé le président de la République. Il s'est dit fier des opportunités d'études et de formation offertes par l'Algérie, depuis son indépendance, à "65.000 jeunes étudiants africains dans diverses spécialités", ajoutant que le pays "s'emploie à construire et à mettre à niveau des écoles dans nombre de pays africains". Le président de la République a souligné, devant les participants, l'engagement de l'Algérie à œuvrer à "augmenter ces chiffres", ainsi que son engagement, dans le cadre de l'Agence algérienne de coopération internationale pour la solidarité et le développement (AACI), à "ouvrir une banque dédiée à l'éducation selon la demande des frères africains". "Tout cela reflète notre contribution aux efforts collectifs visant à promouvoir les systèmes éducatifs dans notre continent et traduit notre volonté indéfectible de renforcer la coopération et la solidarité continentale et d'établir des passerelles de communication dans sa dimension humaine à travers l'échange d'étudiants entre les peuples africains", a soutenu le président de la République.
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Education nationale: Sadaoui poursuit ses rencontres bilatérales avec les partenaires sociaux

ALGER - Le ministre de l'Education nationale, Mohammed Seghir Sadaoui, poursuit les rencontres bilatérales qu'il a entamées jeudi dernier avec les partenaires sociaux, indique dimanche un communiqué du ministère. Rencontrant, samedi au siège du ministère, le Coordinateur national et des membres du Syndicat national autonome des professeurs de l'enseignement secondaire et technique (SNAPEST), en présence de cadre de l'Administration centrale, le ministre a pris note des préoccupations soulevées par les représentants de cette organisation syndicale, notamment celles liées au volet socioprofessionnel, précise le communiqué. Le Coordinateur national du SNAPEST s'est réjoui de ces rencontres bilatérales, qui, selon le communiqué du ministère, "permettent d'être à l'écoute du partenaire social et de discuter des préoccupations des employés du secteur, notamment celles d'ordre socioprofessionnel, pour les prendre en charge dans le cadre de la législation en vigueur, aplanir les difficultés et améliorer les performances au service du secteur". Concernant la méthode de traitement des préoccupations soulevées par le partenaire social, le ministre a expliqué que les préoccupations liées aux dossiers nécessitant la consultation de l'ensemble des organisations syndicales seront traitées au terme desdites consultations, tandis que celles nécessitant une intervention directe du ministère seront examinées et prises en charge dans ce cadre. M. Sadaoui a en outre fait savoir que son département s'attelait déjà à la prise en charge de plusieurs préoccupations, à travers des mesures concrètes, précisant que le partenaire social sera tenu informé des dispositions prises concernant les dossiers nécessitant davantage d'examen.
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Le ministre de la Santé reçoit le Haut-Commissaire assistant chargé des opérations du HCR

ALGER - Le ministre de la Santé, M. Abdelhak Saihi, a reçu le Haut-Commissaire assistant chargé des opérations du Haut-Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés (HCR), M. Raouf Mazou, indique mardi un communiqué du ministère. La rencontre qui s'est déroulée lundi au siège du ministère en présence du représentant du HCR en Algérie, M. Alistair Boulton, a porté sur "les efforts consentis par l'Algérie depuis près de cinquante ans en matière de prise en charge médicale des réfugiés et des personnes déplacées". Le ministre a présenté un exposé global sur les services fournis par l'Algérie sur "les plans logistique et humanitaire en vue de garantir la prise en charge médicale nécessaire pour les réfugiés sahraouis et les réfugiés africains provenant des pays du Sahel via les frontières sud". Dans le même sillage, M. Saihi a mis en exergue "l'engagement continu et constant de l'Algérie à fournir les services de base pour les réfugiés, y compris les services sanitaires en dispensant un traitement global aux réfugiés traversant ses frontières". Outre "le renforcement de la coordination bilatérale entre le ministère de la Santé et les organisations onusiennes afin de renforcer la prise en charge des réfugiés en général", le ministre a proposé "la création de centres de traitement et de vaccination dans les pays du Sahel qui connaissent un déficit en matière de soins médicaux, à travers une assistance logistique et médicale fournie par les organisations onusiennes leur permettant de prendre en charge les réfugiés dans leur pays d'origine en leur assurant les vaccins nécessaires pour limiter les risques de maladies infectieuses et réduire les risques de transmission de ces maladies en cas de franchissement des frontières". M. Saihi a souligné que "l'Algérie est prête à travailler dans ce cadre avec les Nations Unies et les pays du Sahel avec lesquels elle entretient des relations étroites". De son côté, éle responsable onusien a salué tous les efforts déployés par l'Algérie dans le cadre de la prise en charge des réfugiés, notamment sur le plan médical", indique le communiqué, affirmant que l'Algérie "est un modèle en la matière". Il a rappelé à cet égard "les rapports onusiens qui ont mis en avant les grands efforts déployés en faveur de la prise en charge sanitaire des réfugiés, saluant cette approche humanitaire dans le traitement des réfugiés", selon la même source.