ALGER - Le ministre de l'Education nationale, Abdelhakim Belaabed a affirmé jeudi à Alger que le référent général des programmes officiels en Algérie, était imprégné de la Constitution et de la loi d'orientation sur l'éducation nationale. Lors d'une plénière au Conseil de la nation consacrée aux questions orales, adressées à nombre de ministres, M. Belaabed a indiqué que le référent général des programmes officiels en Algérie "est imprégné de la Constitution et de la loi d'orientation sur l'éducation nationale de 2008", soulignant que le Conseil national des programmes (CNP), installé en 2021, était l'instance nationale compétente en matière de programmes pédagogiques, d'approches idéologiques et de proposition des moyens d'enseignement à même de mettre en œuvre les contenus et les activités pédagogiques". A ce propos, Il a fait savoir que le CNP était composé de spécialistes et d'experts universitaires dans le domaine de l'éducation et d'autres issus d'instances spécialisées, dont le Haut Conseil islamique (HCI), le Haut Conseil de la langue arabe (HCLA), le Haut commissariat à l'amazighité (HCA), le Centre national des études et recherches sur le mouvement national et la Révolution du 1er Novembre 1954 (CNERMN54), soulignant que la révision des programmes scolaires s'effectue suivant un calendrier "étudié". A une question sur l'enseignement des langues étrangères au cycle primaire, notamment après l'introduction de la langue anglaise, le ministre a affirmé que l'objectif était de" permettre aux élèves de maitriser ces deux langues étrangères (anglais - français) à la fin de la scolarité obligatoire" et de renforcer leurs compétences linguistiques, ajoutant que le système scolaire national demeure "ouvert" à toutes les langues.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (OUENOUGHI Sylia)
ALGER - Le 3ème Salon international de la santé et du tourisme médical "Amtex 2024", inauguré jeudi à Alger, ambitionne de promouvoir le tourisme médical en Algérie. Placée sous le haut patronnage du ministre la Santé, cette édition promet d'"explorer les opportunités et les avancées extraordinaires du tourisme médical, l'objectif étant de promouvoir ce créneau en Algérie", a indiqué son directeur, M. Yassar Badour, relevant le "potentiel important" que le pays offre dans ce domaine. Il a souligné que le pays "dispose d'un potentiel important de structures de santé qui sont en mesure de prendre en charge des patients étrangers". Cet évènement qui dure 3 jours, a-t-il ajouté, offre une "plate-forme unique" aux professionnels de la santé et aux agences spécialisées en tourisme médical pour établir des "partenariats fructueux". Organisé par Pharmex communication, le Salon se tient sous la thématique "Optimiser les structures de santé pour une meilleure prise en charge des patients" et accueille 30 exposants et 60 participants nationaux et étrangers issus de 18 pays, activant dans les domaines de la santé et du tourisme médical. Les organisateurs de "Amtex 2024" ont programmé des conférences thématiques, ateliers, Master Class et rencontres B2B et B2C destinés aux professionnels de la santé mais aussi aux malades.
ALGER - L'Université d'Alger 1 "Benyoucef Ben Khedda" et l'Université turque Atatürk d'Istanbul ont signé un accord de jumelage et un mémorandum d'entente pour la consolidation des liens académiques et l'échange des expertises entre les deux universités, a indiqué mercredi un communiqué de l'Université d'Alger 1. La cérémonie de signature a eu lieu au terme de la visite effectuée, durant cette semaine, par la délégation de l'Université Atatürk d'Istanbul en Algérie, et ce dans le cadre du "renforcement de la coopération en matière de mobilité des étudiants, des enseignants et du personnel administratif, ainsi que de l'échange des expertises", lit-on dans le communiqué. L'accord a été co-signé par le recteur de l'Université d'Alger 1, Fares Mokhtari et le recteur de l'Université Atatürk, Omar Kumkli. A noter que l'Université Atatürk avait signé deux accords similaires avec l'Université d'Oran 2 "Mohamed Benahmed" et l'Université "Saâd-Dahleb" de Blida, dans le but de renforcer les liens de coopération en matière de recherche scientifique et de formation.
ALGER - Les travaux de la journée d'étude sur "la relation entre le secteur de la formation professionnelle et le partenaire économique" ont débuté, mardi, au Cercle national de l'Armée à Alger. Organisée par le ministère de la Formation et de l'Enseignement professionnels, sous le thème "la formation professionnelle et le partenariat économique- des perspectives prometteuses", cette journée s'inscrit dans le cadre de la nouvelle approche adoptée ces dernières années, notamment en matière de développement de la formation par l'apprentissage, et ce, à travers la contribution directe et efficace des entreprises économiques, publiques et privées, à la formation, pour une meilleure adéquation "formation-emploi". Cette journée d'étude vise à développer et à renforcer la relation de la formation et l'enseignement professionnels avec le partenaire économique, assurer une prise en charge optimale des opérations de formation, répondre aux besoins du marché de l'emploi, amener les entreprises économiques à contribuer à l'élaboration et à l'actualisation des programmes de formation, définir les besoins des entreprises économiques en main d'œuvre qualifiée et à conclure des conventions entre le secteur et les entreprises économiques pour promouvoir les capacités de la formation par l'apprentissage étant le mode formation le plus proche du monde du travail. Des cadres, des experts et des représentants du secteur de la formation et l'enseignement professionnels, ainsi que des représentants d'entreprises économiques participent à cette journée d'étude ponctuée de plusieurs séances de discussions sur les moyens d'accompagner les entreprises économiques pour cerner leurs besoins en matière de formation.
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a reçu lundi à Alger, le directeur exécutif de la société "QS" spécialisée dans le classement des universités, M. Ashwin Jerome Fernandes", a indiqué un communiqué du ministère. Cette rencontre qui a réuni M. Baddari et le directeur exécutif de la société "QS", vise "la mise en place d'une stratégie nationale de coopération en la matière entre le ministère et QS, en vue de promouvoir la visibilité des établissements universitaires en Algérie", précise la même source. A cet égard, M. Ashwin Jerome Fernandes a souligné "l'importance de cette rencontre lors de laquelle les deux parties ont discuté d'un plan à long terme couvrant l'ensemble des universités algériennes en vue de les préparer à la compétitivité au niveau international", mettant en avant ses aspirations à "asseoir les bases d'une coopération bilatérale entre les deux parties dans un avenir proche", conclut le communiqué.
BLIDA - Un accord-cadre de partenariat a été signé lundi entre l'Université Saâd Dahlab de Blida et l'Université turque "Atatürk", dans le but de renforcer les liens de coopération en matière de recherche scientifique et de formation, a-t-on appris du rectorat de l’Université de Blida. L'Université Saâd Dahlab, comptant quatre (4) Facultés et quatre (4) Instituts spécialisés en sciences et technologie, a signé un accord-cadre de partenariat avec l'Université Atatürk, "l'une des plus prestigieuses universités turques", en présence de son recteur, le professeur Omar Kumkli, a indiqué le professeur Mohamed Benzina. Au titre de cet accord, des préparatifs seront engagés pour conclure de nombreux nouveaux accords entre chacune des Facultés et Instituts de l'Université de Blida et leurs homologues turcs dans diverses spécialités, dont la médecine, la chirurgie dentaire, la médecine vétérinaire, les sciences aéronautiques, l'électronique et la mécanique a-t-il ajouté. Le professeur Benzina a également souligné la volonté des deux universités de signer un accord de jumelage et d'échange d’étudiants et d’enseignants, dans le but d'échanger leurs expériences et connaissances dans le domaine de la recherche scientifique et des projets de recherche. "Cet accord sera d’un apport certain, tant pour les étudiants que pour les enseignants des deux universités", a-t-il assuré. Pour sa part, le recteur de l'université Atatürk a salué la signature de cet accord de partenariat, de nature, a-t-il dit, à "renforcer les relations de coopération entre les deux pays". Il a fait part de l’intention de l'Université Atatürk de signer des accords similaires avec nombre d’universités algériennes, dont celles d'Alger-1 et d'Oran. Un exposé sur les Facultés, Instituts et spécialités assurées par l'Université Saâd Dahlab, a été présenté, à l’occasion, à la délégation universitaire turque, dont le chef a exprimé son accord de principe pour la signature de conventions de partenariat "dans les plus brefs délais". "Ce partenariat a été quelque peu lent à venir, au vu des bonnes relations de longue date liant les deux pays", a-t-il estimé.
ALGER - Le ministère de la Santé organise, en coordination avec l'association Al Amel-CPMC (Centre Pierre-et-Marie-Curie), du 3 au 5 février au Palais des expositions (Pins maritimes) à Alger, la 7e édition du Salon d'information sur le cancer, un évènement qui associe les médias à la transmission de l'information médicale exacte aux patients et à leurs familles. A ce titre, la Sous-directrice en charge des maladies non transmissibles au ministère de la Santé, Dr. Djamila Nadir, a précisé que ce salon coïncidant avec la célébration de la Journée mondiale contre le cancer "définit des objectifs réalisables, notamment l'accès à l'information sur les protocoles et les moyens d'accéder à la prévention, au dépistage et au traitement", outre "l'intensification de la sensibilisation à la prévention à travers la promotion d'un mode de vie sain et le dépistage précoce et la fourniture des soins de santé dans tout le pays". Concernant la prévalence du cancer en Algérie, la responsable a indiqué que les hommes étaient fréquemment atteints au niveau des poumons, du côlon, du rectum, de la prostate, de la vessie et de l'estomac. Chez les femmes, le cancer du sein est le plus fréquent, suivi de celui du côlon et du rectum, de la thyroïde et du col de l'utérus. Afin de lutter contre cette maladie, il sera procédé, lors de ce salon, à la définition des caractéristiques épidémiologiques du cancer en Algérie, ainsi que les facteurs de risque, basés sur les résultats du Réseau national des registres de cancer pour l'année 2020 publiés en 2023. L'accent sera, également, mis sur la nécessité d'informer et de sensibiliser la population aux différents types de cancer et de souligner le rôle de la prévention et de la préservation de la santé, notamment en luttant contre les facteurs de risque. Cette année, a-t-elle poursuivi, le Salon connaitra plusieurs nouveautés à l'instar de la numérisation, de l'éco-responsabilité, des visio-conférences et d'autres activités, pour ne citer que le pavillon scientifique. Pour sa part, la secrétaire générale de l'Association "El-Amel" d'aide aux cancéreux du Centre anti-cancer Pierre et Marie Curie (CPMC), Hamida Kettab a mis l'accent sur le rôle important des médias dans la transmission de l'information à la population, étant "un lien entre les instances spécialisées et le citoyen". "L'Association ambitionne, à travers la 7e édition du Salon, de répandre une culture sanitaire en informant et orientant le citoyen de la prévention et du traitement jusqu'à l'accompagnement même en convalescence, et ce via les conférences destinées au grand public qui évoquent les différents types de cancer et la prévention à travers une hygiène de vie globalement saine", a-t-elle affirmé. Selon les organisateurs, le public aura accès à des dépistages, des analyses et des examens de radiologie diagnostique pour une détection précoce des cancers en présence de staffs médicaux, relevant des différents établissements hospitaliers spécialisés, et de psychologues pour expliquer la prise en charge psychologique du patient.
OULED DJELLAL - Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi, a déclaré, jeudi à Ouled Djellal où il effectuait une visite de travail, que les projets dont a bénéficié la wilaya en matière de structures sanitaires, "contribueront à en faire un pôle de santé par excellence". Le ministre a précisé, dans une déclaration à la presse, qu’Ouled Djellal est une "toute jeune wilaya qui a bénéficié, pour la première fois, de cinq importants projets portant sur la réalisation de structures de santé", ce qui constitue, selon lui, "un bond en avant en matière de développement". Il a insisté, à cet égard, sur le fait que l’entrée en service de ces acquis fera de cette wilaya "un pôle de santé par excellence", contribuant ainsi à "améliorer notablement la qualité des services de santé fournis aux citoyens qui n’auront plus à se déplacer vers d’autres wilayas pour se faire soigner". Présidant les cérémonies de pose des premières pierres de ces projets, M. Saihi a particulièrement insisté sur le respect des délais contractuels et des normes de qualité lors de la construction, rappelant l’importance de ces nouvelles structures dans le renforcement des pôles de santé du pays. "La mise à niveau du système de santé est l’une des priorités du programme du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui a toujours insisté sur la prise en charge des besoins de la population par le renforcement et l’équipement des structures de santé afin d’assurer une bonne couverture sanitaire dans les nouvelles wilayas", a rappelé le ministre de la Santé. Au cours de cette visite, M. Saihi a présidé la cérémonie de pose de la première pierre de plusieurs projets, notamment une unité d’urgences médicales de 30 lits dans la commune de Doucen, deux hôpitaux de 120 lits et un hôpital "Mère et Enfant" d’une capacité de 80 lits au chef-lieu de wilaya, ainsi qu’un hôpital de 60 lits et un institut supérieur de formation paramédicale dans la commune de Sidi Khaled. Deux centres de néphrologie et de dialyse, fruits d’investissements privés, ont également été mis en service par le ministre dans les communes d’Ouled Djellal et de Sidi Khaled où les patients souffrant d’insuffisance rénale pourront recevoir les soins appropriés.
ALGER - La Haut-commissaire à la numérisation avec rang de ministre, Mme Meriem Benmouloud a annoncé, mardi à Alger, l'élaboration en cours d'un projet de loi sur la numérisation en coordination avec les secteurs et les instances concernés. L'annonce a été faite lors d'un exposé présenté devant la Commission des transports et des télécommunications à l'Assemblée populaire nationale (APN) sur le rôle et les missions de son instance dans le développement de la numérisation en Algérie. A ce propos, Mme Benmouloud a fait état de l'installation "d'une commission nationale pour l'élaboration de ce projet de loi, à travers la définition de ses grands axes et sa rédaction". "Tous les textes juridiques et législatifs ont été inventoriés en vue de les examiner et de les analyser", a-t-elle affirmé, rappelant avoir tenu "plusieurs séances avec les juridictions compétentes et les experts pour la rédaction du projet de loi et la définition de ses grands axes". Par ailleurs, Mme Benmouloud a mis en avant les efforts que consent son instance pour la généralisation de la numérisation au niveau des différents établissements publics et économiques en sus de la modernisation des structures et du service publics. Rappelant l'importance de "la mise en place d'une stratégie nationale pour la transition numérique, élaborée et envoyée, début janvier, à tous les services concernés pour examen et enrichissement", la Haut-commissaire a relevé "la conformité des avis et analyses reçues par le Haut commissariat à la numérisation avec les axes et les objectifs de cette stratégie". Evoquant les principaux objectifs de cette stratégie, elle a cité, entre autres, la généralisation de la numérisation à l'ensemble des instances et secteurs économiques afin de la consacrer au quotidien au profit des citoyens et de tous les établissements, la promotion du capital humain et l'appui de la formation, annonçant "qu'un plan quinquennal sera mis en place". La responsable a insisté sur "la nécessité de mettre en place une plateforme interactive numérique au profit des citoyens et des établissements" après la finalisation de l'infrastructure et le développement d'une base de données nationale".
ALGER - La Haut-commissaire à la numérisation avec rang de ministre, Mme Meriem Benmouloud a annoncé, mardi à Alger, l'élaboration en cours d'un projet de loi sur la numérisation en coordination avec les secteurs et les instances concernés. L'annonce a été faite lors d'un exposé présenté devant la Commission des transports et des télécommunications à l'Assemblée populaire nationale (APN) sur le rôle et les missions de son instance dans le développement de la numérisation en Algérie. A ce propos, Mme Benmouloud a fait état de l'installation "d'une commission nationale pour l'élaboration de ce projet de loi, à travers la définition de ses grands axes et sa rédaction". "Tous les textes juridiques et législatifs ont été inventoriés en vue de les examiner et de les analyser", a-t-elle affirmé, rappelant avoir tenu "plusieurs séances avec les juridictions compétentes et les experts pour la rédaction du projet de loi et la définition de ses grands axes". Par ailleurs, Mme Benmouloud a mis en avant les efforts que consent son instance pour la généralisation de la numérisation au niveau des différents établissements publics et économiques en sus de la modernisation des structures et du service publics. Rappelant l'importance de "la mise en place d'une stratégie nationale pour la transition numérique, élaborée et envoyée, début janvier, à tous les services concernés pour examen et enrichissement", la Haut-commissaire a relevé "la conformité des avis et analyses reçues par le Haut commissariat à la numérisation avec les axes et les objectifs de cette stratégie". Evoquant les principaux objectifs de cette stratégie, elle a cité, entre autres, la généralisation de la numérisation à l'ensemble des instances et secteurs économiques afin de la consacrer au quotidien au profit des citoyens et de tous les établissements, la promotion du capital humain et l'appui de la formation, annonçant "qu'un plan quinquennal sera mis en place". La responsable a insisté sur "la nécessité de mettre en place une plateforme interactive numérique au profit des citoyens et des établissements" après la finalisation de l'infrastructure et le développement d'une base de données nationale".