ALGER - L'Université des Sciences et de la Technologie Houari Boumediene (USTHB) de Bab Ezzouar a organisé une rencontre-débat réunissant des responsables de plusieurs entreprises du secteur socio-économique et des étudiants de l'Université, indique mardi un communiqué de cet établissement. S'inscrivant dans le cadre des activités du Bureau de Liaison "Entreprises-Université (Bleu-Université)", cette rencontre, qui s'est déroulée lundi au siège de l'Université, a réuni les représentants de plusieurs entreprises nationales liées à l'USTHB par des conventions de partenariat, notamment GITRAMA et certaines de ses filiales, à savoir GTA, la Météo, Extranet et certaines de ses filiales, ainsi que l'UNE?. "Après une présentation des différentes entreprises aux étudiants, un débat sous forme de panel a permis à ces derniers de s'informer sur les modalités de création de Start up ainsi que son accompagnement financier et juridique. Le rôle des différents partenaires, étudiants, entreprises, incubateur et université, a été, à cette occasion, bien défini", précise la même source. De prochaines réunions sont prévues dans un avenir proche avec chacune des entreprises séparément afin de présenter les thématiques et les problématiques spécifiques de chaque partenaire, informe l'Université qui envisage de proposer également aux entreprises de faire des "appels à projets innovants qui seront mis à la disposition des étudiants sous forme de concours".
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (OUENOUGHI Sylia)
ORAN - Le ministre de la Pêche et des Productions halieutiques Ahmed Badani, accompagné du président du Haut Conseil de la Langue Arabe, Salah Belaid, a supervisé, samedi à Oran, le lancement d'une application de Dictionnaire fonctionnel des termes de la pêche et de l'aquaculture à l'aide des téléphones portables. Le Dictionnaire fonctionnel des termes de la pêche et de l'aquaculture a été publié dans le cadre d'un partenariat entre le ministère de la Pêche et des Productions halieutiques et le Haut Conseil de la Langue Arabe. M. Badani a indiqué que ce dictionnaire constitue une référence pour les chercheurs et les étudiants, ajoutant qu'il constitue "un ajout qualitatif au niveau national et même arabe, car il est considéré comme le premier dictionnaire spécialisé dans le domaine de la pêche et de l'aquaculture au niveau arabe". Ce dictionnaire, a ajouté le ministre, est "une preuve que la langue arabe est capable de contenir des significations et les termes techniques". De son côté, le président du Haut Conseil de la Langue Arabe a souligné qu'"une méthodologie scientifique précise a été adoptée pour rendre la terminologie de ce domaine accessible à tous". Ce dictionnaire a été élaboré dans le cadre d'un partenariat entre le ministère de la Pêche et des Productions halieutiques, qui s’est chargé de l'aspect scientifique, et le Haut Conseil de la Langue Arabe, du contrôle linguistique. Selon les explications fournies sur place, le dictionnaire contient des termes administratifs et techniques liés à la pêche et à l'aquaculture, outre des dessins de bateaux de pêche utilisés en Algérie, des termes utilisés dans l'ancien dialecte algérien d'origine étrangère, des dessins représentatifs de poissons et les désignations de ses différentes parties.
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari a indiqué jeudi à Alger, que son secteur s'attelait à la révision de l'organigramme de l'Office national des œuvres universitaires (ONOU), dans l'objectif de l'adapter au système de décentralisation administrative. A une question d'un député de l'Assemblée populaire nationale (APN) lors d'une séance plénière consacrée aux questions orales, M. Baddari a précisé que "la révision de l'organigramme de l'ONOU vise son adaptation au système de décentralisation et la facilitation de la prise en charge des opérations nécessitant une exécution rapide des décisions, étant liées à la vie quotidienne de l'étudiant". A ce propos, le ministre a souligné que le changement de mode de gestion des œuvres universitaires faisait partie intégrante "des réformes adoptées par le secteur dans le souci de moderniser les œuvres universitaires, de mettre un terme aux pratiques illicites et de conférer davantage de transparence à la gestion". Par ailleurs, le ministre a fait savoir que "des marchés à la procédure négociée ont été conclus au profit des établissements publics après les avoir soumis au gouvernement, lesquels ont porté sur l'approvisionnement, en viandes rouges et blanches fraîches, des résidences universitaires relevant des directions des œuvres universitaires n'ayant pas été en mesure d'accomplir les procédures d'appels d'offre après que les opérateurs ont renoncé au renouvellement des marchés en fin d'année financière". Par ailleurs, M. Baddari a mis en avant l'ensemble des procédures et des mesures prises dans le domaine de la gestion moderne des œuvres universitaires, notamment en ce qui concerne le recours à la numérisation dans leur gestion. S'agissant du recrutement, M. Baddari a indiqué que le secteur de l'Enseignement supérieur avait soumis au ministère des Finances "une demande de mobilisation de postes budgétaires supplémentaires" en vue de "renforcer la formation" dans certains établissements universitaires, soulignant que le secteur "poursuit la couverture des besoins des établissements universitaires sous un encadrement pédagogique de qualité".
ALGER - L'Algérie fournit d'"énormes efforts" en matière de lutte contre les effets du changement climatique, a souligné, jeudi à Alger, le président de l'Académie algérienne des Sciences et des Technologies (AAST), Pr Mohamed Hicham Kara. "Bien que très peu impliquée dans les causes du changement climatique au monde, l'Algérie pâtit également de ce phénomène contre lequel les pouvoirs publics fournissent d'énormes efforts, en s'inspirant notamment du 33e engagement du président de la République", a déclaré M. Kara, à l'ouverture d'une rencontre sur "L'impact de l'environnement sur la santé", organisée par l'AAST. Dans le sillage de ces efforts, l'Algérie a "présenté récemment trois rapports reflétant sa détermination à contribuer activement à réduire les émanations des gaz à effet de serre et ce, auprès du secrétariat de la Convention-cadre onusienne sur les changements climatiques (CCNUCC)", a-t-il rappelé. Néanmoins, cette "décision politique doit être soutenue par la connaissance scientifique", a-t-il estimé, en mettant l'accent sur la nécessité de "lutter contre le changement climatique, tout en renforçant le système de santé et en préservant l'environnement". M. Kara a souligné, à cet égard, l'importance de coordonner le travail entre l'écologie et la biologie humaine et animale ainsi que le renforcement de l'observation de l'environnement, du comportement humain et des maladies transmissibles. Il a invité, à cet effet, la population à s'impliquer dans cette problématique, à travers entre autres, les initiatives nationales engagées dans ce sens, à savoir la multiplication des espaces verts, l'amélioration des moyens de transport ainsi que la sensibilisation contre les gaspillages alimentaire et énergétique. De son côté, le Pr Zoubir Harrat, membre de l'AAST, a rappelé l'engagement de l'Algérie à limiter les émanations des gaz à effet de serre à hauteur de 5%. Ceci, en sus du "Plan national Climat", adopté en 2019 et mis en œuvre en 2020, incluant 155 projets, dont 76 inhérents à la limitation des émissions des gaz à effet de serre, a-t-il poursuivi. Par ailleurs, il s'est félicité de la mise en place, en 2023, d'une Commission parlementaire multisectorielle dédiée aux questions environnementales, assurant que "peu de pays disposent d'une telle instance au sein de leurs parlements". Etaient présents à cet événement, le président de la Commission de la Santé, du Travail et des Affaires sociales au Conseil de la Nation, Pr Habib Douagui, en sa qualité de représentant du président du Conseil, M. Salah Goudjil, des parlementaires, des représentants de départements ministériels, du Conseil national économique, social et environnemental (CNESE), et de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS).
ALGER - La ministre de l'Environnement et des Energies renouvelables, Fazia Dahleb a souligné, mercredi à Alger, la nécessité de prendre des mesures "efficaces et cruciales", en vue de protéger les zones humides dans le pays, par souci d'assurer un avenir sain et durable pour les générations à venir. Dans une allocution prononcée lors des travaux d'une journée d'études sous le thème "Les zones humides et le bien-être humain", Mme Dahleb a jugé "nécessaire de se mobiliser vers la création d'indicateur de détermination de cet important éco-système, en vue d'intensifier les efforts en matière d'enseignement, d'instruction et de sensibilisation à l'importance de protéger ces zones humides". L'Algérie compte 2.375 zones humides, dont 2.056 zones humides naturelles et 319 artificielles, selon la ministre qui a mis en avant l'importance de cette ressource "précieuse" en matière de diversité biologique qui encourage différentes formes de vie terrestre et maritime. Citant également les oueds qui sont aussi des zones humides essentielles au regard de leurs multiples bienfaits, la ministre a relevé les efforts consentis par les autorités pour leur protection de la pollution, notamment Oued El Harrach qui est "la façade de la capitale et un espace d'attraction de toutes les franges de la société". Les travaux de réhabilitation de Oued El Harrach connaissent "un très bon état d'avancement" -ajoute la ministre-, grâce "à l'ouverture de chantiers gigantesques, avançant à un rythme rapide, qui ont permis d'atteindre la phase finale des travaux, concrétisant ainsi le 6e objectif de développement durable concernant la garantie de la disponibilité de l'eau potable, des services d'assainissement, et de la gestion durable des ressources en eau". Dans ce même contexte, Mme Dahleb a rappelé l'arsenal juridique visant la préservation des zones humides, à l'instar de la loi relative à la protection de l'environnement dans le cadre du développement durable, la loi relative à la protection et la valorisation du littoral, ainsi que celle relative aux aires protégées dans le cadre du développement durable. L'Algérie a, également, mis en place de nombreuses stratégies ayant pour objet le sujet des zones humides, notamment la Stratégie et le plan d'action nationaux pour la Biodiversité 2016-2030, la Stratégie nationale de gestion intégrée des zones côtières humides en Algérie de 2015, ainsi que le Plan national climat. La journée d'études a, également, connu la présentation de plusieurs exposés sur l'importance des zones humides en Algérie et leur rôle dans le développement durable, ainsi que les opérations consacrées à la protection de ces écosystèmes vulnérables.
ALGER - L'Académie algérienne des Sciences et des Technologies (AAST) organisera, jeudi à Alger, un séminaire sur l'impact du changement climatique sur la santé, annonce, lundi, l'Académie dans un communiqué. "L'Académie algérienne des Sciences et des Technologies, dans le cadre de sa mission de participer aux débats scientifiques sur les grands sujets d'actualité, et de promouvoir les échanges avec les institutions scientifiques nationales et internationales, et avec la participation de l'Organisation mondiale de la Santé, organisera le 8 février prochain, à la salle de conférence du Palais de la Culture de Kouba, Alger, un séminaire sur l'impact du changement climatique sur la santé", souligne le communiqué. Selon la même source, "cet évènement rassemblera des experts dans le domaine du changement climatique et des représentants de différents départements ministériels et associations œuvrant dans le domaine de réduction des gaz à effet de serre". La rencontre vise à "informer et sensibiliser le personnel de la santé, les parties prenantes et les décideurs des départements concernés par les effets du changement climatique sur la santé". Lors de ce séminaire, le débat portera sur plusieurs thèmes dont "les scénarios pour le climat futur de l'Algérie, l'impact du changement climatique sur les déterminants de la santé en Afrique, les maladies transmissibles et non transmissibles sensibles au changement climatique en Algérie, le rôle et l'importance de la recherche scientifique dans le cadre de la stratégie d'atténuation du changement climatique, et l'adaptation au changement climatique à travers le renforcement de la coopération intersectorielle et internationale", précise le communiqué. "Des recommandations sur les mesures pratiques visant à prévenir les effets du changement climatique sur la santé seront transmises aux autorités publiques", ajoute-t-on.
ALGER - L'Académie algérienne des Sciences et des Technologies (AAST) organisera, jeudi à Alger, un séminaire sur l'impact du changement climatique sur la santé, annonce, lundi, l'Académie dans un communiqué. "L'Académie algérienne des Sciences et des Technologies, dans le cadre de sa mission de participer aux débats scientifiques sur les grands sujets d'actualité, et de promouvoir les échanges avec les institutions scientifiques nationales et internationales, et avec la participation de l'Organisation mondiale de la Santé, organisera le 8 février prochain, à la salle de conférence du Palais de la Culture de Kouba, Alger, un séminaire sur l'impact du changement climatique sur la santé", souligne le communiqué. Selon la même source, "cet évènement rassemblera des experts dans le domaine du changement climatique et des représentants de différents départements ministériels et associations œuvrant dans le domaine de réduction des gaz à effet de serre". La rencontre vise à "informer et sensibiliser le personnel de la santé, les parties prenantes et les décideurs des départements concernés par les effets du changement climatique sur la santé". Lors de ce séminaire, le débat portera sur plusieurs thèmes dont "les scénarios pour le climat futur de l'Algérie, l'impact du changement climatique sur les déterminants de la santé en Afrique, les maladies transmissibles et non transmissibles sensibles au changement climatique en Algérie, le rôle et l'importance de la recherche scientifique dans le cadre de la stratégie d'atténuation du changement climatique, et l'adaptation au changement climatique à travers le renforcement de la coopération intersectorielle et internationale", précise le communiqué. "Des recommandations sur les mesures pratiques visant à prévenir les effets du changement climatique sur la santé seront transmises aux autorités publiques", ajoute-t-on.
ALGER - Le recteur de l'Université d'Alger 1 Benyoucef-Benkhedda, Fares Mokhtari, a affirmé, lundi à Alger, que la mise en œuvre de l'arrêté ministériel relatif à la mobilité interuniversitaire nationale permettra aux étudiants d'acquérir des connaissances dans un autre établissement que le leur. En marge de l'accueil d'un groupe d'étudiants ayant soumis des demandes de transfert vers d'autres établissements universitaires pour bénéficier d'un encadrement pédagogique dans certaines spécialités non dispensées dans leurs universités d'origine, M. Mokhtari a précisé que cette procédure intervenait en application de "l'arrêté ministériel ouvrant la voie à la mobilité interuniversitaire nationale, qui permet aux étudiants d'acquérir des connaissances dans un établissement autre que le leur". Il a, à cet égard, fait savoir que, depuis l'ouverture des candidatures du 12 décembre 2023 au 10 janvier 2024, l'Université d'Alger 1 avait reçu 25 demandes, lesquelles ont été prises en charge. Cette procédure "bénéficie aux étudiants de troisième année de Licence et de première année de Master, pour un ou deux semestres", a-t-il indiqué, ajoutant que "les notes obtenues dans l'établissement hôte seront transmises à l'université d'origine pour être prises en considération lors des délibérations". L'arrêté ministériel permet à l'étudiant de "bénéficier d'un encadrement pédagogique à distance lorsqu'il s'agit d'un ou de deux modules seulement", selon M. Mokhtari, qui a rappelé que "le diplôme final est délivré par les universités d'origine". Le recteur de l'Université d'Alger 1 a expliqué que ces mesures avaient été mises en place pour "permettre aux étudiants de bénéficier des connaissances scientifiques d'enseignants chevronnés dans certaines spécialités", mais aussi du fait du "manque de moyens pédagogiques dans certaines universités d'origine, à la différence des établissements hôtes qui, eux, disposent de structures et moyens nécessaires comme les laboratoires". Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, avait présidé, début novembre 2023, la cérémonie de signature électronique de l'arrêté ministériel relatif à la mobilité des étudiants entre les établissements universitaires nationaux, faisant état de 114 établissements universitaires concernés par cette mobilité, qui permet aux étudiants de consolider leurs connaissances et leurs formations en passant d'un établissement d'origine à un établissement hôte.
ALGER - Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé, dimanche dans un communiqué, l'organisation de concours de recrutement pour pourvoir à 1.725 postes budgétaires au grade d'enseignant-chercheur au titre de l'exercice 2024 et ce dans le cadre de l'encadrement pédagogique dans les établissements universitaires. Ainsi, le ministère invite les personnes désirant accéder au grade de maître-assistant classe "B" à déposer leurs dossiers de candidature exclusivement via la plateforme numérique "Progres" sur le lien suivant: https://progres.mesrs.dz/webrecrutement/ , note la même source. "Le calendrier pour organiser le recrutement et/ou le concours sur titre pour accéder au grade de maître-assistant classe (B) dans les établissements universitaires a été fixé à compter de la communication d'une copie de l'arrêté ou de la décision d'ouverture de recrutement et/ou du concours sur titre auprès des services centraux ou locaux selon le cas, à l'autorité chargée de la fonction publique le 11 février en cours, le dépôt des dossiers de candidature via la plateforme numérique (Progres) entre le 27 février et le 18 mars et l'organisation de l'entretien avec les comités de sélection au niveau des établissements universitaires du 23 avril au 14 mai". Quant aux procès-verbaux d'annonce des résultats définitifs des concours de recrutement, "ils seront établis entre les 15 et 28 mai et il sera procédé ensuite, après finalisation de toutes les procédures, à l'installation des candidats admis définitivement dans leurs postes le 7 septembre", ajoute le communiqué.
ALGER - Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé, dimanche dans un communiqué, l'organisation de concours de recrutement pour pourvoir à 1.725 postes budgétaires au grade d'enseignant-chercheur au titre de l'exercice 2024 et ce dans le cadre de l'encadrement pédagogique dans les établissements universitaires. Ainsi, le ministère invite les personnes désirant accéder au grade de maître-assistant classe "B" à déposer leurs dossiers de candidature exclusivement via la plateforme numérique "Progres" sur le lien suivant: https://progres.mesrs.dz/webrecrutement/ , note la même source. "Le calendrier pour organiser le recrutement et/ou le concours sur titre pour accéder au grade de maître-assistant classe (B) dans les établissements universitaires a été fixé à compter de la communication d'une copie de l'arrêté ou de la décision d'ouverture de recrutement et/ou du concours sur titre auprès des services centraux ou locaux selon le cas, à l'autorité chargée de la fonction publique le 11 février en cours, le dépôt des dossiers de candidature via la plateforme numérique (Progres) entre le 27 février et le 18 mars et l'organisation de l'entretien avec les comités de sélection au niveau des établissements universitaires du 23 avril au 14 mai". Quant aux procès-verbaux d'annonce des résultats définitifs des concours de recrutement, "ils seront établis entre les 15 et 28 mai et il sera procédé ensuite, après finalisation de toutes les procédures, à l'installation des candidats admis définitivement dans leurs postes le 7 septembre", ajoute le communiqué.