ALGER - Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a souligné, mercredi à Alger, l'importance de la généralisation de la numérisation dans tous les secteurs pour en finir avec "les ambiguïtés et les chiffres illusoires". Présidant la célébration de la Journée internationale des travailleurs, au siège de la Centrale syndicale à la Maison du peuple, le président de la République a affirmé, dans une allocution prononcée à cette occasion, que la numérisation était "la seule et unique voie à même de nous permettre d'en finir avec les ambiguïtés et les chiffres faux et illusoires". Le président de la République a, dans ce contexte, fustigé la situation économique qui régnait dans le pays avant 2019, notamment les investissements "ayant consommé d'importantes enveloppes financières en étant réalisés avec des moyens et équipements importés, à l'exception du foncier". Pour le président de la République, la prochaine Foire de la production algérienne (FPA) illustrera clairement les changements positifs qu'a connus le pays. Il ne s'agit pas de simples slogans, mais de réalisations aux résultats tangibles sur le terrain, a-t-il soutenu. Et de rappeler, à ce propos, que "les industries manufacturières, désormais à 95% algériennes, jouissent d'une protection juridique", indiquant que l'Algérie se lancera dans la production de sucre fin 2024 ou début 2025.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (OUENOUGHI Sylia)
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L’UGEA tient son sixième congrès
ALGER - Les travaux du sixième congrès national de l'Union générale des étudiants algériens (UGEA), ont débuté, mercredi à Alger, avec la participation de plus de 500 délégués. Dans une déclaration à la presse, à l'issue de l'ouverture des travaux, le Secrétaire général de l'UGEA, Nadjib Mebarki, a affirmé que cette rencontre constituait une occasion "pour insister sur l'importance de la poursuite de l'action militante au sein de cette instance qui représente les étudiants algériens, étant l'élite du pays à laquelle incombe la responsabilité de réaliser le développement dans les différents domaines". Le Congrès est également, a ajouté l'intervenant, une opportunité pour "réaffirmer la fidélité au serment de l'Union et l'attachement à l'orientation générale de l'Etat algérien, d'autant que le pays, a-t-il dit, connait sous la conduite du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, plusieurs réformes au profit des jeunes et des étudiants universitaires", sur lesquels le pays compte pour porter le flambeau vers la réalisation du développement escompté dans les différents domaines. A son tour, le vice-président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Monder Bouden, a souligné, dans une allocution prononcée lors de l'ouverture du Congrès, la nécessité "de renforcer l'action militante au sein de l'Union, pour défendre les droits des étudiants et prendre en charge leurs préoccupations", saluant "les réformes qui ont été concrétisées durant ces dernières années au profit des étudiants, et ce, grâce au programme du président de la République". Pour sa part, le président de l'Observatoire national de la société civile, (ONSC), Noureddine Benbrahem, a appelé les étudiants au "renforcement de l'action participative" à travers "la libre expression des opinions, l'acceptation de la différence et la diversité positive". De son côté, le président du Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ), Mustapha Hidaoui a exhorté, dans son intervention, les étudiants "au resserrement des rangs et à l'intensification de l'action militante", outre la contribution à la réalisation du développement économique. A noter que les travaux de ce Congrès qui se poursuivront à huis clos, se dérouleront sous forme d'ateliers de travail, consacrés au débat et à la révision des statuts et du règlement intérieur de l'Union, outre, l'examen d'une motion relative aux domaines politique et économique, en sus de questions internationales intéressant l'Algérie.
ALGER - Le recteur de l'Université d'Alger 1 Benyoucef-Benkhedda, Fares Mokhtari, a reçu, dimanche, le ministre de l'Education de la Zambie, Douglas Munsaka Syakalima, qui a visité les différentes structures pédagogiques de cet édifice universitaire. Dans une déclaration à l'APS, M. Mokhtari a indiqué avoir passé en revue avec le ministre zambien les voies de coopération, notamment dans le domaine des sciences médicales, qui suscitent un intérêt particulier chez les responsables de la Zambie. De son côté, l'invité de l'Algérie a affiché la volonté de son secteur d'établir une coopération avec les universités algériennes dans le domaine médical et en matière d'échange d'expertises scientifiques et de mobilité des étudiants et des enseignants. Le ministre zambien de l'Education a, par ailleurs, visité le Laboratoire d'anatomie de l'Université. A cette occasion, un accord de jumelage a été proposé pour encadrer le partenariat entre les deux pays dans le domaine médical.
ALGER - Une équipe médicale mauritanienne est arrivée, dimanche dans la wilaya de Batna, pour bénéficier de l'expertise algérienne dans le domaine de la greffe d'organes, notamment la transplantation rénale, a indiqué un communiqué du ministère de la Santé. Cette équipe médicale, conduite par le président du Conseil mauritanien du don, du prélèvement et de la transplantation d'organes et de tissus humains, Abdellatif Sidi Aly, comprend trois chirurgiens urologues, deux néphrologues et un chirurgien pédiatre. Durant son séjour en Algérie, l'équipe médicale mauritanienne participera à six (6) transplantations rénales, dont une sur un patient mauritanien et une autre sur un enfant, qui seront réalisées par une équipe médicale algérienne spécialisée au niveau du Centre hospitalo-universitaire (CHU) de Batna. Cette initiative vise à "permettre à l'équipe mauritanienne de bénéficier de l'expérience des médecins algériens dans la greffe d'organes", selon la même source. Une équipe médicale spécialisée en transplantation rénale du CHU de Batna doit également se rendre en Mauritanie pour réaliser des opérations de transplantation rénale sur des patients mauritaniens au Centre hospitalier national (CHN) de Nouakchott, pour "former les frères mauritaniens, prendre en charge les patients souffrant de maladies rénales et transférer l'expertise algérienne aux spécialistes mauritaniens". La visite de l'équipe médicale mauritanienne s'inscrit, ajoute le communiqué, dans le cadre de "la concrétisation de l'accord de coopération signé entre le ministère de la Santé algérien et son homologue mauritanien, notamment dans son volet relatif à la coopération entre l'Agence nationale des greffes (ANG) et le Conseil mauritanien du don, du prélèvement et de la transplantation d'organes et de tissus humains". Cette coopération s'inscrit également dans le cadre de "l'accord signé entre l'Algérie et la Mauritanie, le 2 mars dernier, conformément aux instructions du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, visant à renforcer les domaines de coopération entre les deux pays frères. L'accord couvre plusieurs volets, notamment ceux liés à la santé publique et à la prévention à travers l'échange de visites d'experts et le partage d'expériences.
ALGER - Le ministre de l'Education nationale, Abdelhakim Belaabed a annoncé, samedi, l'organisation d'une conférence nationale dans les prochains jours pour arrêter toutes les procédures liées aux examens nationaux de la session 2024, à savoir le Brevet d'enseignement moyen (BEM) et le Baccalauréat (BAC), indique un communiqué du ministère. "Lors d'une conférence nationale tenue par visioconférence, M. Belaabed a informé les directeurs de l'Education de wilayas de l'organisation prochaine d'une conférence national en présentiel pour arrêter toutes les procédures liées aux examens nationaux de la session 2024", rappelant les dates de retrait des convocations pour les deux examens par les candidats, fixées à partir du 5 mai pour le BEM et du 9 mai pour le bac, selon la même source. Evoquant le Lycée national des Arts "Chahid Ali-Maâchi" qui compte des élèves des quatre coins du pays et qui verra l'organisation du premier examen du BAC session 2024, le ministre a souligné que les examens pratiques de certaines matières des quatre spécialités de la filière "Arts", débuteront dimanche. S'agissant de la numérisation des inscriptions à la première année primaire via le système informatique du ministère de l'Education nationale, M. Belaabed a expliqué que l'opération sera lancée du 2 au 31 mai en prévision de la rentrée scolaire 2024-2025, soulignant que cette mesure, qui intervient dans le cadre du parachèvement de la numérisation du secteur, "permettra aux parents d'inscrire leurs enfants nés entre le 1er janvier et le 31 décembre 2018 via l'espace +parents+ en ligne, avec zéro papier et sans avoir à se rendre aux établissements scolaires". Concernant l'examen de validation de niveau prévu pour le 7 mai prochain avec plus d'un demi-million d'apprenants inscrits à l'Office national d'enseignement et de formation à distance (ONEFD), M. Belaabed a souligné "l'importance de la bonne organisation de cet examen, qui s'inscrit dans le cadre de la stratégie nationale d'éducation à distance, suivant la nouvelle orientation mondiale qui tend à transformer l'éducation et à réaliser les objectifs de développement durable (ODD)".
ALGER - Le ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale, Fayçal Bentaleb, accompagné de la Haut-commissaire à la numérisation, Meriem Benmouloud, a visité mardi plusieurs organismes relevant du secteur en vue de s'enquérir de l'avancement du projet de numérisation. La visite a concerné la Caisse nationale des assurances sociales des travailleurs salariés (CNAS), la Caisse nationale des retraites (CNR), la Caisse nationale des congés payés et du chômage intempéries des secteurs du Bâtiment, des Travaux publics et de l'Hydraulique (CACOBATPH) et l'Agence nationale de l'emploi (ANEM). Cette visite de terrain a permis de s'enquérir de la mise en œuvre du programme de numérisation des services publics fournis par les différents organismes du secteur du travail, et des efforts consentis par le ministère dans ce domaine, selon un communiqué du ministère. La visite a également permis de s'enquérir des différents services numériques fournis par les organismes sous tutelle afin de faciliter les échanges, et de la disposition du secteur à s'intégrer dans le plan d'action du Haut-commissariat à la numérisation pour contribuer à "la concrétisation de la transformation numérique qui constitue l'un des enjeux majeurs des pouvoirs publics du pays", note la même source. Le secteur du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale offre 127 services à distance, dont 102 disponibles à travers la plateforme "Khadamati", précise le communiqué, ajoutant que les services numériques permettront "d'accroître l'efficacité et la transparence dans la gestion et de renforcer l'interconnexion au sein et hors du secteur". A cette occasion, Mme Benmouloud a salué "les efforts déployés par les organismes du ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale en matière de transformation numérique pour faciliter l'accès du citoyen à des services publics de qualité". Le ministère du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale tend à "numériser l'ensemble des services fournis aux citoyens et à accélérer la cadence de la transformation numérique, conformément aux engagements du président de la République", ajoute le communiqué.
ALGER - Le ministre de la Santé, Abdelhak Saihi a baptisé, lundi à Alger, l'amphithéâtre du ministère du nom du moudjahid Pierre Chaulet, en hommage à sa mémoire et à en reconnaissance de son apport pour la formation de plusieurs générations de médecins, indique un communiqué du ministère. Cette initiative "se veut un hommage à la mémoire du défunt moudjahid Pierre Chaulet et une reconnaissance des sacrifices qu'il a consentis, lui qui a voué sa vie à l'Algérie, après avoir rejoint tôt les rangs de la Guerre de libération dans la wilaya IV historique et participé à la Révolution en tant que moudjahid et défenseur de la cause algérienne juste", précise le communiqué. La même source a évoqué les qualités du professeur Chaulet qui a choisi de "rester dans notre pays et participer avec ses frères algériens à l'édification de notre patrie, où il a beaucoup contribué, après l'indépendance, à la formation de générations de médecins généralistes et spécialistes, ainsi qu'à la création et au développement du service de pneumologie au Centre universitaire de Beni Messous", note le communiqué. Le défunt moudjahid a contribué également à "la mise en œuvre du programme de lutte contre la tuberculose, outre sa participation active aux différents séminaires, rencontres et ateliers sur le développement du secteur de la santé en Algérie".
TIZI-OUZOU - Le mésusage des plantes dans le cadre de la phytothérapie ou pour la consommation, comporte des risques sur la santé humaine et peut entraîner la mort, a mis en garde Dr. Warda Issad du CHU Nedir Mohamed de Tizi-Ouzou. Rencontrée à la maison de la culture Mouloud Mammeri, à l’occasion de la Semaine nationale de prévention (15/21 avril), Dr Issad, résidente en toxicologie, a indiqué à l’APS que l’utilisation, sans maîtrise des dosages, de composition et du mode d’administration et de la partie à utiliser (feuilles, rhizome, fruit?...) des plantes médicinales, comestibles, aromatiques ou autres, peut s’avérer dangereuse pour la personne. Certaines plantes contiennent des principes actifs puissants qui peuvent, en cas de surdosage ou de non-respect du mode d’administration, entrainer des troubles digestifs tels les vomissements, les diarrhées? ?ainsi que l'avortement, la perturbation de la glycémie, le coma, le trouble cardiaque et parfois le décès, a-t-elle averti. Cueillir une plante dans la nature ou acheter une préparation sans connaître sa composition, mais juste pour ses propriétés thérapeutiques "miraculeuses" vantées notamment sur les réseaux sociaux et souvent par des non-spécialistes comme c’est à la mode ces derniers temps, n’est donc pas un geste anodin, a-t-elle prévenu. Outre le mésusage de la plante, il peut aussi y avoir un problème d’identification, du fait que certaines plantes toxiques ressemblent beaucoup à d’autres comestibles, comme c’est le cas pour les champignons que seul un œil connaisseur peut différencier. Afin d’éviter tout risque lié à la phytothérapie, Dr. Issad a conseillé aux citoyens qui souhaitent utiliser des plantes, champignons ou huiles essentielles, de demander l’avis d’un spécialiste, particulièrement le pharmacien. Pour rappel, en octobre dernier, Pr. Mohand-Akli Boubchir, chef de service néphrologie au CHU de Tizi-Ouzou, qui s’exprimait à l’occasion d’une Journée sur la néphrologie, avait mis en garde contre le mésusage des plantes. Il avait souligné que le recours à la médecine traditionnelle, par la prise non contrôlée de certaines plantes médicinales en vente libre chez les herboristes, peut conduire à une insuffisance rénale, ajoutant que certaines plantes possèdent de principes actifs trop puissants qui peuvent même causer le décès. Ces plantes toxiques si communes Une affiche sur l’intoxication par les plantes, exposée par Dr. Issad et ses collègues du laboratoire de toxicologie du CHU Nedir Mohamed, dans le cadre de la Semaine nationale de prévention, a fait cas des plantes toxiques les plus communes, qu’on retrouve facilement dans la nature ou qui sont utilisées pour décorer les intérieurs. Il s’agit du chardon à glu (Addad en Tamazight ou Chouk El îlk en arabe) qui peut causer des troubles digestifs (nausées, vomissements et diarrhées), jaunisse, perturbation de la glycémie, toxicité hépatique, coma et décès. Le laurier rose (Illili ou Defla) entraine l’irritation des muqueuses, hypersalivation, nausées, diarrhées et vomissements, douleurs abdominales et troubles cardiaques graves. Idem pour la Dieffenbachia (Bgouga en arabe) plante ornementale présente dans beaucoup de maisons, bureaux, administrations et autres espaces recevant du public, appréciée pour son beau feuillage tacheté en vert et jaune, mais qui est toxique. Elle peut causer des brulures, des œdèmes de la langue et des muqueuses, des difficultés respiratoires en plus de nausées, diarrhées et vomissements. L’affiche comporte aussi les photos d’autres plantes toxiques communes, dont le ricin, Datura ou herbe du diable à grandes fleurs blanches, clématite, Ciguë, coloquinte et Zygophyllum. En cas d’intoxication par une plante, graine ou champignon, le premier geste à faire est d’appeler, en urgence, le Centre antipoison (CAP) au 023 16 38 50 ou le Centre national de toxicologie au 023 36 77 77, a rappelé Dr. Issad.
ALGER - Un accord de coopération a été signé, jeudi soir à Alger, entre le ministère de la Formation et de l'enseignement professionnels et le Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ), en vue de renforcer la place des jeunes et de contribuer au développement des programmes de formation afin de les adapter aux enjeux actuels. Dans son allocution à cette occasion, le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Yacine Merabi, a affirmé que l'accord s'inscrivait dans le cadre "d'une approche participative", adoptée par le secteur avec ses différents partenaires pour réaliser les objectifs tracés, notamment ceux liés à la garantie d'une main d'œuvre qualifiée, répondant aux exigences du marché du travail. L'accord intervient pour répondre aux ambitions des jeunes, l'objectif étant de les doter de qualifications et formations nécessaires pour intégrer le marché de l'emploi ou d'envisager des projets d'investissement pour cette catégorie, à laquelle les autorités publiques accordent une grande importance. En vertu de l'accord, les deux parties œuvreront à renforcer la formation des jeunes qui bénéficieront d'un encadrement spécialisé et d'un accompagnement dans la préparation de leurs projets, et à valoriser les modèles réussis dans ce domaine. Le ministre a rappelé dans ce cadre, que son secteur a adopté une nouvelle approche pour améliorer la qualité de la formation afin de l'adapter aux règles de la compétitivité dans le marché du travail, ajoutant que "de là est venue l'idée de la création de clubs de l'innovation et de la créativité, composés de stagiaires et de porteurs d'idées ou de projets entrepreneuriaux pour les accompagner et les orienter". Le président du CSJ, Mustapha Hidaoui, a souligné dans son allocution l'importance de l'investissement dans la ressource humaine, notamment les jeunes étant le moteur essentiel de la dynamique de développement. L'accord a été signé en marge d'un Iftar collectif organisé en l'honneur des présidents des clubs de l'innovation et de la créativité "l'empreinte de la formation".
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a affirmé, jeudi à Alger, que l'adoption de la numérisation dans le secteur des œuvres universitaires avait contribué à améliorer la qualité des services et leur niveau de gestion, en phase avec les attentes des étudiants. Répondant à une question d'un député lors d'une séance plénière à l'Assemblée populaire nationale (APN), consacrée aux questions orales, le ministre a expliqué que "l'adoption de la numérisation dans la gestion des œuvres universitaires a donné des résultats positifs qui nécessitent un appui continu afin d'améliorer ces œuvres pour être en phase avec les attentes des étudiants et leur permettre de se consacrer à leurs études". Après avoir rappelé les mesures prises pour améliorer ces œuvres, notamment la poursuite de l'aménagement de certaines résidences universitaires, le ministre a précisé qu'un programme avait été tracé pour "la rénovation de 45 résidences au titre de l'année 2023 dans 31 wilayas et l'aménagement de 34 résidences au cours de cette année". Soulignant les mesures prises dans le domaine de "l'amélioration des services de transport et de restauration universitaire", M. Baddari a insisté sur la "poursuite des efforts pour remédier à certaines lacunes" dans ce domaine. Par ailleurs, M. Baddari a appelé les titulaires de diplômes de magistère à "accélérer la soutenance des thèses de doctorat afin de leur permettre de se présenter à des postes d'enseignement et de recherche à l'université", précisant que "le diplôme de magistère, dans son ancienne définition, est un accès vers la recherche scientifique et non pas la recherche scientifique elle-même".