ALGER- Le Collectif algérien des syndicats de la santé a organisé, mardi au Centre hospitalo-universitaire (CHU) "Mustapha Pacha" d'Alger, un sit-in de solidarité avec le peuple palestinien, victime d'une agression inique menée, depuis le 7 octobre, par l'entité sioniste, annonçant sa disponibilité à participer à toute mission médicale de solidarité en vue de soutenir les équipes médicales de Ghaza. Les participants à ce sit-in ont brandi des pancartes à travers lesquelles ils ont exprimé leur solidarité totale avec le peuple palestinien dans sa lutte légitime pour libérer sa patrie. Ils ont condamné les massacres horribles et la guerre d'extermination contre les enfants palestiniens, ainsi que le mutisme international face à ces crimes sans précédent, et appelé à faire cesser immédiatement cette agression, en scandant des slogans comme "Sauvez Ghaza", "Non au bombardement des hôpitaux, Non à l'agression contre les équipes médicales", et "les équipes médicales algériennes se solidarisent avec nos frères à Ghaza". Les manifestants, qui portaient des keffiehs palestiniens et brandissaient des drapeaux de la Palestine, ont également scandé des slogans tels "Vive la Palestine ... vive la Palestine", "Victoire pour la Palestine", "Palestine, pays des martyrs ... Palestine, pays des martyrs", "Palestine est un legs et la normalisation est une trahison", "Arrêtez le génocide", "Netanyahu est un lâche, Ghaza ne sera pas humiliée". Organisé en parallèle avec d'autres rassemblements de solidarité dans les centres hospitalo-universitaires et les grands hôpitaux des wilayas du pays, ce sit-in appelle à mettre fin aux crimes horribles perpétrés contre le peuple palestinien en général, et les habitants de la bande de Ghaza en particulier, victimes des crimes de guerre et contre l'humanité, en violation flagrante de tous les droits fondamentaux énoncés dans les conventions internationales, soulignent les représentants d'organisations syndicales médicales. Le Collectif des syndicats de la santé a condamné, par ailleurs, le bombardement des hôpitaux par les forces de l'Entité sioniste qui a montré son intention d'exterminer un peuple sans défense au su et au vu du monde entier, appelant tous les citoyens, les travailleurs, les personnels de la santé et les retraités au devoir de soutenir le peuple palestinien en faisant des dons financiers et matériels de fournitures et d'équipements médicaux pour contribuer à porter secours aux frères palestiniens dans la bande de Ghaza assiégée et isolée du monde. Composé de 12 syndicats, le collectif a souligné sa disponibilité à participer à toute mission médicale de solidarité pour soutenir les équipes médicales de Ghaza. A la fin du sit-in, les participants ont observé une minute de silence à la mémoire des victimes de l'agression sioniste injuste contre la bande de Ghaza, qui se poursuit depuis le 7 octobre.
Auteur/autrice : ameur.log@aps.dz (KHALEF Fatiha)
ALGER - Les agences commerciales d'Algérie Télécom (AT) seront ouvertes mercredi de 10h00 à 15h00, à l'occasion de la célébration du 69ème anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale, afin de "garantir la continuité de ses prestations et services", a annoncé mardi l'entreprise publique dans un communiqué. "Afin de répondre aux besoins de son aimable clientèle, Algérie Télécom a pris des mesures spéciales pour assurer la continuité de ses prestations et services à l'occasion de la fête nationale du 1er Novembre 2023", indique la même source. Pour ce faire, les agences commerciales au niveau de la wilaya d'Alger à savoir Hussein Dey, Rouiba, Bordj El Kifan, Aissat Idir, Ain Naadja, Birtouta, Ain Benian, Ben Aknoun, Bab El Oued seront ouvertes de 10h00 à 15h00, garantissant ainsi l'accessibilité de ses services pendant cette journée, précise AT, ajoutant que pour les autres wilayas, "la permanence sera assurée par les agences chefs-lieux". Algérie Télécom a tenu "à remercier sa clientèle pour sa confiance continue et adresse ses meilleurs vœux à tous les Algériens à l'occasion de la célébration du 69ème anniversaire du déclenchement de la Guerre de libération nationale", relève l'entreprise.
ALGER - Le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique a annoncé, lundi, dans un communiqué, le recrutement, à partir du 15 novembre prochain, de 1.904 enseignants hospitalo-universitaires. "Le nombre des enseignants hospitalo-universitaires estimé à 4.775, augmentera, ainsi, de 40% à la faveur de cette opération de recrutement, la plus importante depuis l'indépendance", précise la même source. Cette démarche intervient en concrétisation des décisions du Conseil des ministres du 14 mai 2023, conclut le communiqué.
ALGER- Le Gouvernement a entendu, lundi, lors de sa réunion, présidée par le Premier ministre, M. Aïmene Benabderrahmane, une communication sur la numérisation du secteur de la santé qui vise l'amélioration de la gouvernance publique à travers la numérisation de l'ensemble des aspects liés à la gestion matérielle et humaine du secteur, indique un communiqué des services du Premier ministre. Présentée par le ministre de la Santé, cette communication souligne que ce processus de digitalisation du secteur "se fait, progressivement, à travers la numérisation de l'administration du secteur de la santé et du service public ainsi que l'interopérabilité avec les autres administrations publiques". La numérisation du secteur de la santé permettra de réaliser "un saut qualitatif dans la gouvernance des infrastructures sanitaires, en matière de rationalisation des dépenses financières et d'optimisation des ressources humaines ainsi que l'amélioration de la prestation sanitaire fournie au patient", précise la même source.
ALGER - Une étude sur l'hypertension artérielle, réalisée en 2021 par une équipe médicale spécialisée, a révélé que 17,4% des hypertendus avaient atteint les objectifs tensionnels recommandés par de grandes sociétés internationales d'hypertension artérielle et de cardiologie. Présentant les résultats de l'Etude PACT II, le chef de service de cardiologie au CHU, Nafissa Hammoud de Hussein Dey (Alger), Pr Djamal Eddine Nibouche a indiqué, dimanche, que l'étude réalisée par nombre de spécialistes sur un échantillon de 2.000 hypertendus de différentes tranches d'âges et de différentes régions du pays, a montré que 17,4% de ces patients avaient atteint les objectifs tensionnels recommandés, ajoutant que les hypertendus bénéficiaient "d'une prise en charge à la hauteur, qui pourrait être améliorée avec le temps en coordination avec tous les acteurs concernés". Pr Nibouche a rappelé, citant la récente étude réalisée en Algérie par le ministère de la Santé en collaboration avec l'Organisation mondiale de la santé (OMS), que 23,6% des Algériens âgés entre 18 et 69 ans souffraient d'hypertension artérielle, soit une personne sur quatre. Les données de l'Etude ont, également, mis en lumière d'autres facteurs de risque cardiovasculaire fréquents parmi les patients, notamment le diabète (65%), la sédentarité (53%), la dyslipidémie (50%), l'obésité (44%) et l'insuffisance rénale (11,3%). Selon PACT II, 38,4 % de la population étudiée présentait un niveau de risque cardiovasculaire très élevé. Pr. Nibouche a exprimé sa satisfaction quant à l'amélioration de la prise en charge de l'hypertension artérielle en Algérie et la disponibilité de tout type de médicament. Estimant que la stabilité de la maladie requiert la mobilisation de tous les acteurs pour limiter ses complications coûteuses au double plan social et économique, le responsable a ajouté en se référant à l'étude que la réalisation de la stabilité de la maladie en générale demeure toujours "faible", faute de temps suffisant accordé au malade et en l'absence d'équilibre entre la prise des médicaments et le régime alimentaire, a-t-il indiqué. Il a insisté sur l'impératif de renforcer le dépistage précoce de cette maladie dangereuse et son autodiagnostic tel que recommandé par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), en mesurant la tension à domicile trois fois par jour, à même de réduire des éventuelles complications et les coûts de traitement.
BISKRA - Le ministre de la Formation et de l’enseignement professionnels, Yacine Merabi, a souligné, samedi à Biskra, la nécessité d’élaborer, dans le cadre des offres de formation des établissements du secteur, une carte des postes d’apprentissage correspondant aux besoins des entreprises économiques. Le ministre, qui s’enquérait, au centre de formation professionnelle et d’apprentissage (CFPA) Mohamed-Bellal d’El Kantara (60 km au nord de Biskra), de la préparation de la rentrée de la session d’octobre, a indiqué que les établissements du secteur doivent être "au niveau de ce qui est attendu d’eux en développant des spécialisations et des offres de formation conformes, également, aux souhaits des demandeurs de formation". Il a ajouté que le succès du schéma consistant à satisfaire la demande des entreprises économiques en main d’œuvre qualifiée, d’une part, et à répondre, d’autre part, aux désidérata des jeunes demandeurs de formation, passe par l’activation du Conseil de partenariat de la formation et de l’enseignement professionnels, dans chaque wilaya, en tant que mécanisme pour le développement d’une carte des spécialisations et des postes, adaptée à la réalité économique locale. Cela ne pourra être réalisé, selon M. Merabi, que par "la collecte de données dans la carte des besoins de toutes les entreprises économiques". Le ministre a insisté, dans le même contexte, sur l’importance d’intensifier les campagnes de sensibilisation parmi les élèves des établissements scolaires, à travers les médias et par le truchement des mosquées, pour les attirer vers une formation qualifiante leur permettant d’acquérir de nouvelles compétences. Il a relevé, à ce propos, que les récentes campagnes de sensibilisation, organisées avec la participation de plusieurs secteurs, ont permis à plusieurs wilayas d’augmenter de 132 % le taux d’inscription dans les CFPA. M. Merabi, mettant en exergue "le rôle des entreprises économiques, locales et étrangères, dans le suivi des parcours de formation à travers la conclusion d’accords de partenariat", a évoqué "l’importance d’une union entre les établissements du secteur de la formation professionnelle et de l’éducation, et l’environnement économique, pour réaliser les aspirations de l’Algérie dans ce domaine, notamment en dotant le marché du travail d’une main-d’œuvre qualifiée". Lors de sa visite dans la wilaya de Biskra, le ministre, qui a inspecté les ateliers de formation du CFPA d’El Kantara où il a écouté les préoccupations et les suggestions des employés du secteur, a exhorté à l’utilisation de la plateforme numérique du secteur et évoqué "l’importance de la coordination entre les structures de formation, à travers le pays". Il a ensuite donné le coup d’envoi d’une session de formation au profit de 35 enseignants stagiaires, à l’usine de production de ciment "Biskria", de statut privé, située dans la commune de Branis (15 km au nord-est de Biskra). Merabi, qui poursuivra, dimanche, sa visite de travail dans la wilaya de Biskra, donnera le coup d’envoi officiel, par visioconférence, de la rentrée du secteur à partir du Centre de recherche scientifique et technique sur les régions arides (CRSTRA). Il présidera également une cérémonie de signature d’une convention de partenariat entre la direction de wilaya de la formation professionnelle et plusieurs opérateurs économiques, avant d’inspecter un certain nombre de structures relevant de son département ministériel.
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a affirmé, samedi à Alger, que l'université s'était engagée dans l'enjeu de contribuer au développement, en érigeant les diplômés en porteurs de projets contribuant à la création d'emplois. Lors d'une conférence sur l'évaluation des opérations de recrutement dans divers secteurs, organisée par le ministère de la Communication, M. Baddari a indiqué que son secteur "a érigé le diplômé universitaire en créateur de postes d'emploi, à travers la création de start-up". Selon le ministre, l'opération a enregistré dans sa 1e étape, " plus de 270 projets innovants aptes à être agréés comme start-up, avec pour objectif d'atteindre 700 start-up vers la fin de l'année en cours, tandis que le reste des projets est orienté vers la création de micro-entreprises économiques, notamment avec la promulgation de la loi sur l'étudiant-entrepreneur, en coordination avec le ministère de l'Economie de la connaissance, des Start-up et des Micro-entreprises". Lire aussi: Enseignement supérieur: le secteur a enregistré un bond inédit en matière de recrutement Pour le ministre, ces mesures devront "contribuer à la résorption du chômage, créer les postes d'emploi et contribuer au développement". Dans le même contexte, M. Baddari a souligné que le secteur a œuvré à "la création de formations en lien avec les métiers de l'avenir, à commencer par le pôle universitaire technologique de Sidi Abdallah, à l'instar des spécialités de l'intelligence artificielle, des systèmes autonomes et de la nanotechnologie". Le ministre a, par ailleurs, présenté les données de la numérisation du secteur qui enregistre 46 plateformes dans différents services, faisant état de 2.300.000 opérations via la carte Edahabia lors de la dernière rentrée universitaire.
ALGER - L'ouverture officielle de l'année universitaire 2023-2024 de l'Université de la formation continue (UFC) a été annoncée, samedi à l'Université d'Alger 3 Ibrahim Sultan Cheibout de Dely Brahim (Alger), ce qui permettra à plus de 65.000 étudiants de consulter les différentes plateformes pédagogiques des cours. Dans son allocution à l'occasion, le directeur de l'UFC, Yahia Djaafri, a affirmé que la nouvelle rentrée universitaire concernera cette année plus de 65.000 étudiants, répartis à travers 54 centres et 10 annexes à l'échelle nationale. Le programme de l'UFC comprend 11 spécialités, renforcée au titre de cette nouvelle année universitaire par 4 nouvelles spécialités, soit un total de 15 spécialités, a-t-il ajouté précisant que les nouvelles spécialités concernaient les domaines des sciences et technologies, l'architecture, les sciences économiques, les sciences de gestion des systèmes et la sécurité des réseaux. A cette occasion, M. Djaafri a annoncé "le lancement d'un programme de formation au profit de 2.000 enseignants en vue de les accompagner et de les former en matière d'enseignement à distance", citant l'inscription, à ce jour, de 600 enseignants ayant exprimé leur volonté de participer à ce programme d'une durée de six mois". M. Djaafri ajouté que sur les listes des bénéficiaires de formation et d'enseignement à distance (tout particulièrement en filières d'informatique et de langue anglaise) , figurent des enseignants et des juristes, ajoutant par ailleurs que "cette rentrée universitaire (2023-2024) a connu l'inscription en formation de licence et de master à distance, de plus de 1.200 étudiants issus des établissements pénitentiaires". M. Fares Mokhtari, recteur de l'université Alger 1 Benyoucef Benkhedda et président de la Conférence Régionale des Universités du Centre (CRUC), a salué à son tour, les réalisations de l'Université algérienne, y compris de l'université de formation continue, tout en rappelant que désormais, et pour la première fois dans l'histoire de l'Algérie, l'enseignement en sciences et technologies se faisaient à 100% en langue anglaise. Le responsable s'est également félicité de la généralisation de la numérisation dans toutes les procédures adoptées par l'université algérienne, notamment des inscriptions universitaires qui se sont faites cette année sur internet, ce qui a facilité la tâche pour plusieurs étudiants qui ont pu s'inscrire sans avoir à se déplacer". Un cours pilote a été donné, à distance, par Dr. Naamane Saidi, intitulé "de la logique du contenu, à la logique de la compétence dans les pratiques pédagogiques numériques". Deux enseignants ont été distingués, à cette occasion, et promus au rang de "Professeur d'enseignement supérieur".
ALGER - Le ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Kamel Baddari, a affirmé samedi à Alger que son secteur avait enregistré un "bond inédit" en matière de recrutement, notamment pour les titulaires de diplômes de magistère et de doctorat, une élite appelée à contribuer au développement du pays. Intervenant lors d'une conférence sur l'évaluation des opérations de recrutement dans différents secteurs, organisée par le ministère de la Communication, M. Baddari a souligné que "le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune a placé l'université au centre des préoccupations de l'Algérie nouvelle, à laquelle il a consacré 10 engagements, pour en faire une locomotive de développement", ajoutant que "le développement des ressources humaines est au cœur des préoccupations des autorités supérieures du pays". La campagne de recrutement des titulaires de diplômes de magistère et de doctorat parmi les non-salariés a concerné 8000 postes, a-t-il ajouté, affirmant "qu'il s'agit d'une solution exceptionnelle à une situation exceptionnelle pour éradiquer le chômage chez les porteurs de ces diplômes appelés à contribuer au développement du pays". M. Baddari a cité, en outre, "le recrutement de 1904 enseignants parmi les assistants hospitaliers et 793 enseignants durant les mois d'octobre et de novembre", soulignant que le secteur a connu depuis 2020 le recrutement de 33.000 enseignants au rang de professeur, dont 2500 enseignants durant les sept premiers mois de l'année". Revenant aux indicateurs financiers, "une enveloppe financière de l'ordre de 14 milliards de dinars a été allouée pour couvrir le recrutement des maîtres-assistants de classe (B) entre septembre et décembre et 5 milliards de dinars au recrutement au rang de professeur". A cette occasion, M. Baddari a annoncé la préparation de la promulgation d'un texte permettant le recrutement des titulaires d'un diplôme de doctorat en période post-doctorat pour concourir au transfert de l'expertise des universités aux entreprises, précisant que les statuts particuliers de l'enseignant, de l'enseignant-chercheur et de l'enseignant hospitalo-universitaire, devraient être promulgués avant la fin 2023.
ALGER- Le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, a annoncé la création prochaine du Haut Commissariat à la numérisation, mettant en évidence le rôle crucial que jouera ce secteur dans la régulation de l’économie algérienne. "Nous sommes en passe de mettre en place un Haut Commissariat à la numérisation", a précisé M. Tebboune dans son entrevue périodique avec des représentants de médias nationaux, diffusée samedi soir sur les chaines de télévision et stations de radio nationales, ajoutant que ce Haut Commissariat "sera placé sous la tutelle de la Présidence de la République". Le Président Tebboune a affirmé que la numérisation complète de l’économie permettrait de fournir toutes les données nécessaires à la prise de décision, à même de permettre un accès précis à la liste des producteurs et de leurs produits, ainsi qu’aux quantités qu’ils produisent, et aux filières dans lesquelles il faudrait investir. De plus, le recours à la numérisation offrira une vision plus précise sur les capacités de l’économie nationale, a ajouté le Président Tebboune qui rappelle que l’Algérie n’a pas voulu déclarer plus de 225 milliards USD, comme chiffre officiel du produit intérieur brut (PIB) en 2022, alors qu’en réalité, il pourrait se situer entre 240 ou 245 milliards USD. Le président de la République a rappelé que le PIB n’avait pas dépassé 100 milliards USD en 2009, "et aujourd'hui, sans même aborder le marché et la production parallèles, nous sommes parvenus à 225 milliards USD comme chiffre officiel". == Exportation de l'électricité vers l'Europe == Dans un autre contexte, le président de la République a évoqué les chiffres records de la consommation d'électricité enregistrés cet été, avec un pic historique de 18.697 mégawatts enregistré le 23 juillet, soit le quatrième du genre au cours d'un mois. Il a indiqué que la consommation quotidienne normale d'électricité oscillait entre 10.000 et 11.000 mégawatts, or la hausse des températures et l'utilisation accentuée des climatiseurs ont presque doublé la consommation d'électricité, "pourtant il n'y a pas eu de coupures". "Sonelgaz et Sonatrach ont accompli des réalisations relevant du miracle: Sonatrach en termes de nouvelles découvertes, et Sonelgaz en augmentant la production d'électricité d'au moins 150%", a-t-il souligné. Et d'ajouter que les capacités de production de l'Algérie dépassent les 24.000 mégawatts, faisant de notre pays "le producteur d'électricité le plus puissant en Afrique". Quant à l'exportation d'électricité, le Président Tebboune a affirmé que "nous sommes prêts à exporter l'électricité vers l'Europe, comme nous l'avions assuré aux Européens. S'ils en forment le vœu, nous sommes prêts à leur exporter au moins 10.000 mégawatts/jour".